jeudi 29 juillet 2021

"Un Lieu Vif Dans L'Océan De La Ville" Poème du 29-97-2021




Paris Le29-07-2021


UN LIEU VIF DANS L’OCÉAN DE VILLE




Clameur sur ce paquebot va à l'eau la plus vive

Qui tient le temps si beau que jamais ne dérive

Hors-partage : libre : le voyages des voix

Qui sans-cesse vibre dans un bon air de joie


Le temps d'affrioler amis – amants lascifs

Qui se sont halés sous la si douce lumière

Que passe au ciel du soir l'ombre au tamis de pierre

Où cueillent espoir frais : les voyageurs cursifs


 

"Non Le Bien N'Est Pas Décadent" Poème du 28-07-2021



Paris Le 28-07-2021


NON LE BIEN N'EST PAS DÉCADENT



L'oubli de l'oubli attaque miséricorde

Et met tant en repli la culpabilité

Que terre au partage nié abonde en hordes

Qui cherchent avec rage : ennemis en Cité


Le « commun » maintenant parlant tant de « racaille »

Et qui la montre tenant couteaux entre les dents

Dans l'oubli de l'oubli défend vieilles batailles

De cette vieille lie crachant «  Bien = « Décadent ! »


 

"ICI LA VRAIE SOURCE QUI TIENT" Poème du 29-07-2021


 


Paris Le29-07-2021



ICI LA VRAIE SOURCE QUI TIENT



L'instant non aboli ne court à la promesse

Toujours il fait le lit de la grande tendresse

On s'y agenouille pour l'aimée embrasser

On trouve quenouille pour filer le baiser


La paupière du temps clignote en un regard

Qui vole puis s'étend jusqu'au sommet de l'art :

Au proche et au lointain : jour – nuit – ombre et lumière

Et jamais ne s'éteint le plus chaud de la pierre


Dans les minuits calmes tout un charme retient

Ce qui luit sans plus drame où cœur du désir monte

Prenant alors le proche en élixir qui sonde

Le reste qui ne fauche la vraie source qui tient

mardi 27 juillet 2021

"VOYAGE INSULAIRE" Poème du 27-07-2021




Paris Le 27-07-2021


UN VOYAGE INSULAIRE



Un voyage insulaire en partage d'amis

Vient balayer tout l'air dans l'océan de ville

Aux bagages d'impossible en lieu ouvrant mille

Mots-barrage sensible à tout pauvre semis


Et le poème passe – inoculée essence

Qui – semée – s'amasse : bohème en ses traits

Et trace le lointain dans un soleil de lait

Qui a la pluie éteint avant veille en présence


Où la vie transparaît au creux de toutes voix

Passant tout pré-carré en si preuse ouverture

Où l'instant s'écoule sans casser le futur

Où temps-monde s'y roule en oiseaux d'autres voies


Pas de vide en croisée d'Humains-Oiseaux : concert !

Ainsi non-déphasé le poème s'avance

Force en ailes-beauté qui pour singuliers lance

Ses sons en liberté écoutant qui le sert


Voyage dans l'instant où musique se tend

Et plus jamais n'attend qu'une course l'entraîne

A saisir nuit du temps – là  où pluie pour fontaine

En source-Humains s'entend au doux bruit qui s'étend


 

"SOLEIL BRÛLANT L'ORAGE" Poème du 26-07-2021


-


Paris Le 26-07-2021



SOLEIL BRÛLANT L'ORAGE



Cliquetant et crissant sur marbre scintillant...

En soleil excroissant brillant d'un éclat fauve

Qu'il s'essaye à l'averse il est présence sauve

Aux rayons qu'il déverse au boulevard : tout riant


Il demeure – séchant tout vite en lumière chaude

Mais son cœur s’éméchant entre nuées s'érode

Du débat contre ombre en soubresauts bavards

Qui rabattent le sombre en horizon buvard


Ouvert à la bohème où tant varient les nids

Il luit en temps-poème où ralliant ses voyages

Il tourne à ses raisons lui montrant l'infini

D'Orient en horizon où il brûle l'orage

 

dimanche 25 juillet 2021

"LE SENS DU VENT EST EN TRAIN DE TOURNER" Poème repris dans l'intérêt de l'art poétique même en Polémos





Paris Le 23-07-2021


LE SENS DU VENT EST EN TRAIN DE TOURNER



Le sens du vent à peine apparu chez l'Humain

Depuis Mathusalem sert savants hors-puissance

Ossifie la veine d'empereurs en ignorance

Qui hors de leur domaine essaient de tuer demain


Lumière dans la nuit au grand ciel étoilé

Apaise du bruit de tous ceux qui dominent

Mais toujours ce qui luit relève leurs abîmes

Dans le jour en appui Soleil n'est aux palais


Ptolémée, Copernic Tycho Brahé

Ont pris tous les à-pics du cosmos en trouée

Sur nescience pratique en conscience des princes...

Depuis temps antiques contre vraie science ils grincent


Darwin Lamarck Pasteur – les princes manipulent

Eugénisme à l'honneur – eux ne sont que calcul

Ils ne maîtrisent rien mais veulent contrôler

Jouant prophètes du bien pour garder leurs palais


Si science n'est aux affaires – A qui vraiment la sert

Ils lui mènent guerre pour la faire bien taire

Il ne savent rien en dehors de leurs Conseils

Qui leur servent de lien pour tenir en soleils


N'entendent ni ne voient si vent va en tempêtes

A travers tant de voix qui leur tiennent tête

Ils ne perçoivent tout qu'avec ce qui enfume :

Finance « brillante en tout » qui au virtuel allume


Leur savoir se décline en précipitation

Le vent l'incrimine de céder à la hâte

D'un médiocre pratique en si pauvre passion

D'un socle économique où des puissances matent


Tant-pis pour jours d'avenir qui du danger s'approchent

Ils ne sauront que dire exceptée l'anicroche

Et tout change – tout bouge – tout est variant aussi

Avec vent qui touche princes les sonnant bien assis


Nous irons à Charybde ils iront en Scylla

Ils feront un grand bide dans leurs beaux falbalas

Soins et nouveaux vaccins à pas vraiment comptés

Hors du contrôle malsain pour l'égaliberté

 

Il N'y A De Cohérence Qu'Ouverte Au Mouvement Réel Poème du 26-07-2021


 




Paris Le 26-07-2021



IL N'Y A DE COHÉRENCE QU'OUVERTE AU MOUVEMENT RÉEL



L'adduction de fontaine à source est bien niée

Si elle se ferme pour ses courants variables

Ce qui coule en sa veine y reste bien liée

Tout système l'enchaîne aux calculs improbables


Regarde et demeure même en ce mouvement

Qui malgré ce qui meurt est la force des choses

Elles coulent tiennent sans même d'agrément

De qui les veut en chaîne : espoir qu'elles lui causent


Il n'y a pas d'idée à se loger sans elles

Et c'est vraiment céder de n'écouter leur bruit

S'il est en étiage c'est avec fausses ailes

En ciel sans partage que l'idée a bien fui


C'est alors oublier la force souterraine

Où remue déliée du maître d'attention

Poésie sans paraître esquissant dans sa veine

Nombre-limite : d'être : infinie émulsion

"Se Donner La Lumière" Poème du 26-07-2021


 



Paris Le 26-07-2021



SE DONNER LA LUMIÈRE



Garde ta liberté au soleil hésitant

Pour que dans la Cité tu veilles bien au temps

Où les voix défilent des sources en un fleuve

Où lumière habille bien ce dont tu t'abreuves


Chante ta vérité qui ne brille au parterre

Mais instruit la gaieté avec l'étoile au corps

Pour qu'elle dessille ce qui tient à l'enfer

Et toujours scintille dans tous les faux décors


Construis ta justice non brouillée par nuées

Nulle nuit en lice pour rouiller sa parole

Qu'elle entre dans ta peau en sa brillante école

Et instruise au rabot ta vindicte en ruées


Pour que tu concoures à ce corps souverain

De voix qui t'entourent – creuse un puits pour leurs sources

Qu'elles n'abandonnent plus aucun des terrains

Où elles résonnent en fond de tes ressources

vendredi 23 juillet 2021

"CHANSON POUR NE PAS OUBLIER" Poème du 23-07-2021




Paris Le 23-07-2021


CHANSON POUR NE PAS OUBLIER !



Guerre faite au désir ? Nous allons en chanson

La tendresse redire et prendre les leçons

De l'oiselle libre pour caresses sonnantes

Sans aucun calibre de norme raisonnante


Juste en nature osée pour déchiffrer ses lèvres

Juste à ne pas raser dans une couleur mièvre

Le dessin du soleil sur sa chair de velours

Et laisser la veille s'affranchir d'un poids lourd


Si mes mains profilent ta belle esquisse aimée

En rayon tactile courant jusqu'à ton ventre

C'est onde de plaisir en ton chemin tramée

Où l'averse en désirs comble sens d'un seul centre


Le deux éclate en un sans guerre profilée

Dame ! Tu es quelqu'un que mon baiser emporte :

Prodigue sur tes seins – il éclaire un palais

Où comme en un essaim tes petits cris emportent


O Palais gémissant en la futaie d’Éros

Vent sauvage indécent la parcourt aux ravines

Mais tendre au corps lustré par le sel et Hélios :

Palais rêvé d'attraits en forêt qui racine


 

jeudi 22 juillet 2021

"LE SENS DU VENT EST EN TRAIN DE TOURNER " Poème du 23-07-2021





Paris Le 23-07-2021


LE SENS DU VENT EST EN TRAIN DE TOURNER



Le sens du vent à peine apparu chez l'Humain

Depuis Mathusalem sert savants hors-puissance

Ossifie la veine d'empereurs en ignorance

Qui hors de leur domaine essaient de tuer demain


Lumière dans la nuit au grand ciel étoilé

Apaise du bruit de tous ceux qui dominent

Mais toujours ce qui luit relève leurs abîmes

Dans le jour en appui Soleil n'est aux palais


Ptolémée, Copernic Tycho Brahé

Ont pris tous les à-pics du cosmos en trouée

Sur nescience pratique en conscience des princes...

Depuis temps antiques contre vraie science ils grincent


Darwin Lamarck Pasteur – les princes manipulent

Eugénisme à l'honneur – ils aiment leur calcul

Leur science s'écroule c'est qu'ils n'ont rien prévu

Ce qui les chamboule c'est leur grande bévue


Si science n'est aux affaires à qui vraiment la sert

Ils lui mènent guerre pour la faire taire

Il ne maîtrisent rien du procès de connaissance

En prophètes du bien ils allèchent puissances


N'entendent ni ne voient que vent va en tempêtes

A travers tant de voix qui leur tiennent tête

Ils ne perçoivent tout qu'avec ce qui enfume :

Finance « brillante en tout » qui au virtuel allume


Pour science-médecine en précipitation

Un vent l'incrimine de céder à la hâte

Des profits politiques pour nettes intentions

D'intérêts pratiques que les puissances matent


Surtout plus aucun soin et tant-pis pour les gens

Tant-pis pour tous les points d'avenir qui s'approche

Et tout recommencer après les anicroches

Remède miracle assez près d'automne exigeant


Tout change tout bouge tout est variant aussi

Et le vent qui louche sur nos princes sonne fort

Mais avec leurs pinces eux résonnent tout à tord

Et notre prince est de diktats farcis


Lui qui il y a deux mois disait tout le contraire

Il nous met en émoi là et bien nous atterre

Et c'est pour tout vraiment : même et unique chanson

Oui ce prince nous ment ! Ne prenons plus l'hameçon


Nous irons en Charybde il ira en Scylla

Il fera un grand bide dans son beau falbala

Et nous verrons nos soins passer avec notre vent

Et le moindre vaccin lancé par vrais savants

 

"SORTIR DE LA CONSCIENCE MALHEUREUSE !" Poème du 23-07-2021





Paris Le 23-07-2021



TOUTE UNE HISTOIRE JUSQU'AU PRINCE ACTUEL



Et si tant insiste la violente parole

C'est qu'en elle persiste – au trépassé – le fer

Rouge de la douleur qui bien d'elle s'envole

Passant dans le le malheur de l'autre pour enfer


A ce vitriole se meurt toute tendresse

Qui alors s'enrôle dans le mal si banal

Qu'avec la « bête immonde » il devient radical

Et dans notre monde perd la moindre sagesse


Fabrique d'ennemis devient monnaie courante

Identités-semis : sang-sol : fausse patrie

Que contrôlent puissants fiers de garder leurs rentes

Jusqu'à ce qu'indécents ils voient source tarie


Et l'ancien tyran-prince a rugi en basse-cour

Il a usé ses pinces en rage avec massacres

Les rentes des puissants trouvent nouveaux discours

Ayant fait couler sang – ils gardent leur saint sacre 1)


Ils sont non inquiétés pour des Humains en cendres

Glosent fraternité – pavoisent liberté

Pauvre ressentiment contre l'égalité

De son p'tit firmament ment pour ne pas descendre


Et nos puissants actuels jouent à l'universel

Ils voudraient brûler sel de la terre et enfin

Mettre nouveau tyran pour toutes leurs fins

Casser le moindre errant sans aucune séquelle


Or dépositaires des paroles violentes

Princes de la terre veulent plus que jamais

Les livrer aux puissants que leur liberté hante...

Ces rivaux indécents sont tous deux à tramer :


« Fabrique d'ennemis au cœur-même du peuple

« Reprendre ce semis pour garder nos meubles

« Toujours plus casser terre et « Matériel d'Humains »

« Trouver terrains de guerre où briser leurs demains »


Cycle que rebelles veulent là arrêter

Semant à la pelle leurs si belles révoltes

Sur tous les continents jusques en nos cités

Des peuples s'y tenant en tirent récoltes


Notre prince égalise en nous discriminant

Riches défiscalise et pauvres pénalise

Contre la liberté tant il illégalise

Que dans notre santé il va dominant


Et faisant chantage à retraites et chômage

D'un prétendu langage « Universel » Ennemis

Fabrique servile  pour galerie d'étalage

D'humains trop tranquilles à passer au tamis


Croyances et exil il instrumentalise

Pour conscience débile et les livre à la mouise

De pêcheurs en eau trouble et il joue jeu double

Où tant de mal souple nous divise et s'adoube


Sur lieux où ils passent les justes sont en la paix

Même si gens s'y cassent en douleur contre épées

Ils fabriquent un monde pour égal en lumière

Libres contre immondes cœurs ossifiés de pierre


C'est : autre radical : juste – beau pour Nature

Et tout contre le mal où prince et puissants règnent

Oui ! Le paysage des ressentiments saigne

Santé Âge Chômage Exil Femmes : Futur



1) Notes : les collaborations d'industriels allemands, français, italiens, espagnols avec le régime nazi ont été intenses et fructifiantes : elle n'ont jamais été condamnées et ça continue à tirer des dividendes sur des populations entières en un total mépris d'elles en les chassant ensuite ou en rendant insalubres leur environnement. Voir notamment BAYER ( IG Farben et son industrialisation des fours crématoires ainsi que ses expériences sur "lots" tous morts de prisonniers d’Auschwitz) BAYER avec cette société est restée impunie et est absolument libre de racheter le monstre Monsanto responsable du massacre des sols et plantes ainsi que de ses produits hautement cancérigènes. BAYER toujours bien vue par notre président 

 

lundi 19 juillet 2021

Contrôle, Espionnage et Meurtres : Le logiciel Pégase

https://www.franceculture.fr/geopolitique/projet-pegasus-decryptage-en-cinq-questions-reponses?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpyTMrM68scRS2XEgTLR8H8&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=669678#xtor=EPR-2-[LaLettre19072021]

Le Devenir Du Journalisme ( Médiapart )

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/150721/la-crise-sanitaire-revele-l-inquietant-declin-du-journalisme

"INFINIMENT" émission de France Culture

https://www.franceculture.fr/emissions/infiniment?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpyTMrM68scRS2XEgTLR8H8&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=669678#xtor=EPR-2-[LaLettre19072021]

dimanche 18 juillet 2021

Combien de logements insalubres en France ?

https://www.fondation-abbe-pierre.fr/nos-actions/lutter-contre-lhabitat-indigne/lhabitat-indigne-en-france

Combien de sans-abris en France ?

https://www.alternatives-economiques.fr/combien-y-a-t-vraiment-de-sdf-france/00094472

COMBIEN DE PAUVRES EN FRANCE ?

 

https://www.francetransactions.com/le-saviez-vous/combien-de-pauvres-en-france.html

CHÔMAGE EN FRANCE - Les chiffres

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/chomage/chomage-le-nombre-de-demandeurs-d-emploi-en-categorie-a-recule-de-0-4-au-premier-trimestre-mais-augmente-de-6-3-sur-un-an_4549217.html

Un autre appui essentiel pour notre président : Xavier NIEL

https://www.lexpress.fr/actualite/politique/prison-avec-sursis-pour-xavier-niel_460958.html

Cet appui essentiel pour notre président : Comment Bernard Arnaud l'homme le plus riche du monde détourne des sommes colossales de l'impôt ?

https://www.levif.be/actualite/international/bernard-arnault-un-redressement-fiscal-a-un-milliard-d-euros/article-normal-819385.html?cookie_check=1626660819

IMPORTANTE INFORMATION D'ANALYSE SUR LES VACCINS ET LES ANTI-CORPS . Renforcer vraiment les anti-corps naturels par des soins !

https://www.facebook.com/100010134961970/posts/1593951597619324/

Pourquoi leur fortune a si augmenté dernièrement ? LES 10 FRANÇAIS LES PLUS RICHES DU MONDE !

Chronique : Bolloré, coupable ?

Pas de prison pour les grands escrocs ? Renaud Van Ruymbeke [EN DIRECT]

Pas de train pour aller à Persan Beaumont ( lieu de la marche)17 Juillet 2021, Marche à l’appel de la famille d’Adama Traoré et de ses...

Manifestation contre le pass sanitaire à Paris

Florilège De Musique Contemporaine (France Musique)

 

https://www.francemusique.fr/emissions/carrefour-de-la-creation-l-integrale/carrefour-de-la-creation-du-dimanche-27-juin-2021-96127

"JEU DE PLUIE DANS LE SOLEIL" Poème du 11-07-2021





Paris Le 11-07-2021

Un Moment Prolongé

Dans Paris


JEU DE PLUIE DANS LE SOLEIL



Chaque fois que soleil étoffe ciel c'est bruine

Qui imite abeilles – pique et le met en ruines


Or soleil insiste pour la moindre éclaircie

Et c'est tant qu'on assiste au combat de lumière

Contre couleur blafarde incise en cette pierre

Et rue qui buvardent plomb qui les a farcies


Arbre en auréole semble couvrir les voix

C'est à son école qu'on prend connaissance

De tout le devenir du temps aux nuées qu'il boit

C'est à son vert luire qu'azur filtre en essence


Et le soleil vainqueur s'anime vers les toits

Sans trop chauffer les cœurs où s'anime la joie

Et le soir est jovial aux tablées où l'on cause

Elles sont comme un bal où l'on sent bien les roses

 

mardi 13 juillet 2021

"UNE AUTRE FÊTE A MARIANNE" Poème du 13-07-2021




Paris Le 13-07-2021

Place De La Nation


UNE AUTRE FÊTE A MARIANNE



O La main généreuse avec les arbres qui savent

N'est pas de l'oiseuse et se gagne en nos cœurs

Car ils ne l'épuisent en levant son entrave

Foule rebelle y puise en peuple sa vigueur


On tiendra bien le seuil où la Dame éveillée

Cassera bien le deuil où statue on la pose

Et pénétrera l'âme en vertu réveillée

Contre tous les drames d'un pays sans plus cause


Tombent tant de trombes comme en un été de tombe

Que fête sera sombre en « fastes » nationaux

Pour ce qui est de nous ce sont les rayons d'ombre

Des princes qui renouent avec signes royaux


Et même qu'il ne pleuve sombre fête à casser

Un peu plus la veuve qui est Juste Marianne

Du pays séparée – ne la fait trépasser

Et lui bien renaîtrait hors princes qui la damnent


Ces fêtes de palais ne touchent son vif cœur

Et sont pour enrôler tous les serfs de ces princes

Et notre Marianne ne vit qu'hors de leurs pinces

Ne leur vendant son âme elle sait qui l’écœure


Que bien l'on y sente : Le Futur pour Marianne

Ce ne sera rente des festoyeurs royaux

Vent pluie soleil radieux – attrapons le noyau

De temps de tous aïeux en tous cieux pour sa manne


 

lundi 12 juillet 2021

"GRAIN ET AZUR ALTERNENT CONTRE MASCARADES" Poème du 12-07-2021


 




Paris Le 12-07-2021


GRAIN ET AZUR ALTERNENT CONTRE MASCARADES




Soleil en son éclat rit-t-il à ces nuées

Est-il vraiment hors-là pour ces suées allaitantes

On sait : ciel de Paris veut encore muer

Fontaines non taries contre sueurs brillantes


Prince croyant tenir dans le ciel de Paris

Le soleil à chérir pour prise de Bastille

Poudroie peuple ébahi de frasques qui habillent

Son histoire trahie et... : grain non tari !


Mais lumière est plus forte après la belle pluie...

Tant le grain s'emporte dans le vent de l'oubli

Que même avions tueurs dans nuées – en mascarade

Ne s'annoncent vainqueurs en temps de pétarades


Peuple-Azur – en nuées – peut-être l'oublié...

Au futur à ruer saura d'intelligence

Faire belle vertu et ne plus se plier

Au faux orage où tuent toutes fausses puissances


Or la paix au long court n'est à guerre se vendre

Lumière en son parcours n'est pas happée de tendre

A tout Humain qui court : ce vif temps sans retour

Qu'éternel en son tour contre ombre qui y sourd


Devant nous : l'infini et les bornes du prince

Dans son si grand déni n'écornent sa présence

Et son grand appétit de si riche puissance

N'est que la maladie d'un temps médiocre et mince

vendredi 9 juillet 2021

"AUTOUR D'ADAMA TRAORE" Poème du 9-07-2021




Paris Le 9-07-2021



AUTOUR D'ADAMA TRAORE



Il joue au bon prince : défenseur d'assassins

Car même si « ça grince » il montre sa centaine :

Cent compères en pleurs contre violence et haine

Ils tuent deux fois qui meurt aux coups de leur dessein



Pour barrer mémoire : son frère qui a vu

En grand désespoir qui a commis le meurtre

Reste en dure prison pour que « justice » pleutre

Tienne contre raison exemple de vertu



Suit injustice au cœur parlant « race » en cité

Elle envoie à sa sœur menaces et injures

Est-ce que le Pétain vient toujours là nous hanter

Comme en grave « destin » de traces qui là durent ?



Le mouton c'est le loup et le prince le sait

Qui prépare ses coups pour mettre en confidence

« Humains » très serviles en les rinçant assez

De sa conscience vile où tiennent les puissances



Ah ! Des jeunes meurent ? Insulter leur avenir !

Ainsi ils s'écœurent de propagande faite :

« Cités de racailles sans culture et si bêtes ! »

Qu'elles soient sans travail : c'est misère à tenir !


 

mardi 6 juillet 2021

"VARIATIONS DANS PARIS" Poème du 6-07-2021



A Paris Le 6-07-2021


VARIATIONS DANS PARIS


Dans un ciel d'orage brise sentant son mars

Tourne toute la page – en risette de farce –

Du soleil de juillet et emboutit ses lèvres

Qui au frais ne brillaient – d'un vif baiser sans trêve


S'il n'y avait-elle s'embrouilleraient-ils les corps

De notre azur hors-ciel ? On n'a rien vu encore :

Si soleil jette un œil à travers les nuages

C'est Grâce qui l'accueille au coup de vent qui rage


Là jouent à cache cache ombre fraîche et lumière...

Et dans sa grand' marche aux décombres de l'été

Le ciel toujours varie – prurit des courants d'air

Mais dans notre Paris gens ne font aparté


Or brise est plus calme et arbres moins ébranlés

En leur épaisse palme où ciel tourne en son lait

Et le marbre de rue plus forgé de trafic

Ne nous sabre plus la gorge de sa musique


Est-ce un temps d'épure pour ces gens accrochés

Dans une lente allure au vif air de la ville

Avec blues aérien pour instant moins fébrile

Qui souligne le lien qui n'est aux corps tranché ?


Ici le vide au vent ne triomphe vraiment

Mais décide savant si le temps trompe ville

Car ici il dérouille au ciel l'ennui tranquille

Où l'azur se débrouille en bulles-firmament


Or voilà que la brise éclatant les nuées

En à-coups s'avise de lumière en suée

Tournent vite vite comme manège en ruée

Mailles bleues qui mitent blanc ciel en leurs trouées


Gage que l'orage fuit encore en Paris

C'est qu'en sa pierre un mage avec corps diamantaire

En éclats y fabrique une agate équarrie

De lumière-musique haussant tons au bel air


 

lundi 5 juillet 2021

"Un Vrai Poème N'Assèche L'Eau Des Fontaines" Poème du 6-07-2021



Paris Le 6-07-2021


UN VRAI POÈME N’ASSÈCHE L'EAU DES FONTAINES



Il te faut la constance en ses remparts souverains

Il te faut la patience en gare où tu regardes

Avec ce jugement sans conscience bâtarde

Ce grand bien en aimants de tout travail d'airain


Tu passes ce blanc voile où craque ton Paris

Impressions sans étoile où tu conquiers lumière

Pour source de poème en prise sur la pierre

En course où tu aimes qu'elle ne soit tarie


Le temps de ressaisir qui brille en airs si frais

Sans plus te départir de Paris qui te grise

Si l'orage guette sans que tu n'y aies prise

Que ta rage démette ample galimafrée


Du désordre en choses ton chant sera vainqueur

Tu casseras nécrose et il sera à l'heure

Tu garderas la rose et y mettra ton cœur

Pour qu'aucune cause ne t'apporte malheur


Poème : vigueur d'âme – entretient un jardin

Sème rigueurs en trame où tout art se recherche

Fine géométrie pour canaux qui ne sèchent

Où fleurs jamais flétries y appellent mutins


Proche près du lointain : belles navigations

Dans le grain qui atteint l'océan de la ville

Ne rendent pas aux fers mains en plein dans le mille

Les prennent et serrent grain avec attention


Et c'est notre pays – c'est bien notre Paris

Où tant d'exils haïs ont perdu leur brillance

Alors qu'en leur saillie – ils furent bien guéris :

Paris et ce pays où tient leur vie d'absence


Si tempête en Paris allume la raison

Brut argent en paris dits garder leur distance

Qui en est égaré au fermé horizon

En viendra à errer : faux Paris sans présence


O Jeunesse ! N'oublie qu'en nouvelle tempête

C'est bassesse qui plie avec si p'tites têtes

Ouvres-toi à l'avenir de Toutes les Fontaines

Que prince veut tarir pour nous poser ses chaînes


dimanche 4 juillet 2021

"L'EMPREINTE DANS PARIS DU SOLEIL SE BATTANT CONTRE LES GRAINS" Poème du 4-07-2021




Paris Le 4-07-2021



L'EMPREINTE DANS PARIS D'UN SOLEIL SE BATTANT CONTRE LES GRAINS


Lève l 'œil de la paix pour petite chanson

La vraie prosopopée au silencieux soleil !

Matin ébouriffé presse sa grande treille

Avec nuées en bouffée prises à son hameçon


Un vent frais consume par coups de brise air nu

Chaque fois s'allume la lumière en la rue

L'instant est si léger – c'est si bien que ma plume

Vient alors y gager l'oiseau libre et l'assume


Le p'tit train du matin frise déjà midi

Mais le soleil éteint au Zénith ne se se dit

Pierre rumine gris – son blanc a été pris

Horizon : azur se plie aux nuées en ses bris


Mais encore un clin d’œil juste sur le plein seuil

De l'auvent qu'il cueille : soleil sans pâle écueil

Le temps valse à demeure – il est un bal qui leurre

Plume joue aux rameurs – elle plonge dans l'heure


Tout tient sans canicule et Paris ne se brûle

Sa robe de tulle nous sort de notre bulle

Grain soudain la surprend – vent cassé en train prend

Empreinte qui bien rend Paris lavée en grand


L'averse a vite rué au rythme passant nuées

L'astre du jour a sué – ville aussitôt a mué

Lumière y resplendit – grains de pierre en brillance

Mais sera-il maudit : grain-éclair en relance ?


 

samedi 3 juillet 2021

"SAISON EN ENFER" Poème du 4-07-2021


 




Paris Le 4-07-2021

Rue d'Aubervilliers

Crack intensifié depuis 4 ans


SAISON EN ENFER



Ce ne sont même pas Édens artificiels

Qui font là mettre au pas la jeunesse réelle

Des drogues pour bien tuer – des drogues qui rendent fou

Dans leur vague en ruée : la révolte renfloue


Qu'on les parque en jardin – ils ne sont plus mutins

Politiques radins leur envoient des mâtins

On prend morts à la pelle et dealers enrichis

P'tits dealers s'emmêlent dans la guerre en gâchis


Et des familles pleurent et des autres survivent

Système est à l'heure pour des gens qui bien vivent

L'on dira : « C'est comme ça : l'enfer pour certains

Qui veut qu'on le rasât soutient bien les mutins »


L'on dira : « Tout est lié : il faut mener bataille

Aux jeunes des quartiers – n'ont rien de bon qui vaille »

Au sommet on rigole et maffia tient parole

Bien libre et fait école en semant sa vérole


Sans travail c'est sans pain il n'y a rien qui aille

Pour y mettre bien fin – et qui serre la maille ?

Riche dealer ricane et la maffia pavoise

Prince emboucane ce si bel âne qu'il toise

Stabat Mater

jeudi 1 juillet 2021

"Et Le Démos?" Poème du 2-07-2021



Paris Le 2-07-2021


ET LE DÉMOS ?



Leur romance est sauce tellement liquéfiée

Dans leurs haruspices sans la honte liée

A la grande hausse du mépris qu'on leur porte

Que leurs plats glissent sans mal en leurs langues mortes


Épuisant mal banal ils préparent le pire

Prince en « Bacchanale » joue le plus beau des sires

Et en son corps le poulpe insulte bien le peuple

Il ne bat pas sa coulpe – se sent bien dans ses meubles


Caressant La Marine il joue contre travail

Toujours plus il mine jeunes vieux en batailles

Misère – épuisement – il se fout de leur mort

En vigie qui ne ment pour puissants en décors


Et extrême il reluit en sa « révolution »

Il nous mène en la nuit : sa réelle mission :

Attiser avec haine une guerre civile

Et Marine en veine pour ses moutons serviles


 

Bénéfices et risques de la vaccination COVID

"TENDRESSE D'UN PARIS INSOLENT" Poème du 1er Juillet 2021


 



Paris Le 1er Juillet 2021



TENDRESSE D'UN PARIS INSOLENT




La petite douceur qui se fige dans l'air

Prouve tant la minceur du trafic si rigide

Que tant de gens sourient au soleil si timide

Qui clignote en Paris sous nuées qui le serrent


Temps s'arrête pile dans l'instant qui ne meure

Et guette en la ville une joie de vainqueurs

Pour gens civile qui l'éprouve en sa voix

Où s'ouvrent mille et mille haleurs qu'ici l'on voit


La lumière a sauté en un soleil qui dure

Et ne fait trop hâtée la veille avec l'azur

C'est en si bel été qui ne brûle les cœurs

Que se trouve apprêtée la plus belle des heures


Enfants femmes jeunesse amants avec vieillards

Rehaussent tendresse en instant bien gaillard

La petite caresse où tend un vif partage

Qui rend la sagesse de l'unité des âges


Si l'unification de toutes solitudes

Si la réparation pour toute la misère

Pouvait pousser passion contre tous les déserts

Si tablées en action y trouvaient latitude ?


On aime tant rêver dans les veilles qui durent

Avec voix bien rivées au soleil à l'azur

Pour que renaisse un Paris insolent

Où poésie s'adresse en un chant indolent !