mardi 25 janvier 2022

"SUR LES RIVES DE LA SEINE MANON GARDE SES SOURCES" Poème du 25-01-2022


Peinture : Ghislaine BARTHÉLEMY 



Paris Le 25-01-2022


SUR LES RIVES DE LA SEINE MANON GARDE SES SOURCES



Où Manon se grise de la Seine et se prend

A penser sous l'emprise où l'horizon l'emmène

A la source qui court pour elle si lointaine

Là le fleuve n'est sourd – à son exil se rend :


Oui ! Sous ciel bas et blanc : la renvoie aux bateaux

Qui – dans leur lent élan – creusent au gel en ville

Une échappée-voyage où ses secrets rutilent

En mémoire-bagage où Manon sait bientôt :


Qu'une histoire férule heurte son mouvement

Qu'une autre bouscule ce qui partout le ferme

Les rêves de Manon sont un réel sans terme

Oui la source est son nom : Paris sans fin l'aimant

 

lundi 24 janvier 2022

"DANS NOS MURS SE HAUSSE LA CONCORDE ENTRE NOUS EN DEPIT DES PRINCES" Poème du 25-01-2022



 



Paris Le 24-01-2022


DANS NOS MURS SE HAUSSE LA CONCORDE ENTRE NOUS EN DÉPIT DES PRINCES




O Rien ! Ce n'est que ça

Dans les murs repassa

Lumière de concorde

On y crut cassées : ses cordes


Que dans notre pays

On la croit bien trahie

Par princes qui l'attaquent

Non ! Elle sort de leur traque


Elle n'aurait voulu

Qu'on tue son dévolu

Pour la grande Misère

Princes lui faisant la guerre


Ceux qui ont commencé

Voulant tant la passer

Au moulinet de haine

Sont toujours tous les mêmes


A-t-elle perdu lueur

Résonnant en son cœur -

Princes la croient bassesse !

Qui sonne aux murs : tendresse ?


Sa voix ne descendit

En un grand incendie

Où on la voulait cendres

Monde ! Sa paix ? A prendre !


Oui ! En ce monde obscur

Princes la croient bien bègue

Ils confirment en leurs murs :

« L'exception et la règle »

samedi 22 janvier 2022

"D'HIVER PARIS CHANTE UNE ÂME ET UN CORPS QUE DES SOLEILS DEGLACENT" Poème du 22-01-2022

Peinture : soleil d'hiver à Paris : Camille PISSARO


Paris Le 22-01-2022



D'HIVER PARIS CHANTE UNE ÂME ET UN CORPS QUE DES SOLEILS DÉGLACENT



Le temps d'avenue nue se remplit d'un grand flux

Vitesse et masses ruent chassant tous les saluts

D'impatients sans lumière hantés par fausse absence

Dans le grand cœur de pierre – de toute âme qui pense


Or Paris respire de danser nouveauté

Contre le vieil Empire et tend ce qui regarde

En yeux de Misère : Travail d'égalité :

Place d'âme hors désert : ce beau corps qui se garde


Chantera bien ce corps en vivifiant pensée

Lançant dans son décor : fruits de la différence

Où tout un chacun vibre en foule pour passer

En ses besoins : libre partage en résistance


Il chantera car ce corps est le vif souverain

Qui ne perd ses accords contre ce qui l'opprime

Or – de place en place – malgré un gel d'airain

Des soleils déglacent force où prince s'abîme


On entend l'histoire résonner sur ses seuils

Elle hors-bruits de miroir ne rue à leur accueil

Écoute bien ami : sa rumeur fait éveil

Ventre en Paris remis du silence entre en veille


 

"TROUVER POUR FEU ARDENT SON ÎLE SANS EXIL" Poème du 22-01-2022

Peinture : Claude GUIHOT SIMONCIC



Paris Le 21-01-2022


TROUVER POUR FEU ARDENT SON ÎLE SANS EXIL


En un feu qui passe souffle l'ardent désir

Mais que peut-il sans trace en partage hors des braises ?

Incendié il y chute hors fontaine à saisir

Sa fraîche eau où feu mute en grâce qui ne pèse


Devant tous : consumé aux flammes de l'instant

Ne voit regard aimé : âme-corps qui l'attend :

Ce désir-feu où chair et ventre : mortifères

Clouées à valeur chère entrent en forge au fer !


Que le deux en exil d'amour se mouchetant

De flammes – trouve île où tout intime s'adule

S'ouvrant paix en raisons sans l'abîme du temps :

Ici : bel horizon tient l'ardent qui ne brûle


 

jeudi 20 janvier 2022

"A REPRENDRE LE GOÛT DU NOUVEAU : C'EST LE SEUL PRIX POUR PENSER" Poème du 20-01-2022



Paris Le 20-01-2022



A REPRENDRE LE GOÛT DU NOUVEAU : C'EST LE SEUL PRIX POUR PENSER


D'aube exceptée : souvenir : mais durée des temps compte :

Fendue en robe-avenir : s'y tend Beauté qui monte

En nos liens : suspendue à l'instant-liberté

Qui s'y voit bien fondu – tôt l'arrête à ses comptes


Or sortant des sentiers en leurs pentes ardues

La vérité aux pieds – nos pas vont aux étoiles

Nous les voulons liées à l'horizon sans voile

Pour la grande amitié – l'obscur au clair : tendu


Vivaces : les traces où vibre souvenir -

Quand toute aube en place clarifie les nuages

Et ces temps d'abîmes crient éclairs d'autres pages

Où - aux ruines – s'arrime un nouvel avenir


Nous apprenons beaucoup des roses refleuries

Car leur temps se recoud contre gel de mémoire...

Sur pierre de Paris : tout les secrets sourient

Fontaine non tarie pour leur histoire à boire...


Qui voit dans le lointain : âme foyer pour proche 

De vagues ne s'éteint – court-circuite en son rythme

De flux électrique : Soi mobile rassis

Qui – fausse musique – joue grand large aux abîmes


D'étoffe océan vrai : qui la détisse en rit !

Variée et trop serrée elle perdrait son prix ? :

Même à ses bordures : défaire sans recoudre !

Qui « vieilles » coutures lâche pour les dissoudre :


Paris ! Âme et mémoire on ne peut t'enlever

Ne voir en ton miroir que chic replet et gloire ?

Qu'elle s'ouvre affranchie comme pour y reboire

Et sans plus de gâchis : Bouche-Travail levée !


 

L'éthique du journalisme, les informations mensongères et manipulatrices : voir sur Didier RAOULT

mercredi 19 janvier 2022

Un tour de force poétique : à lire absolument !!

 

http://t-pas-net.com/librCritN/2022/01/18/texte-sebastien-ecorce-inedit/

"D'Infortuné Désir A la Femme Marchandise" Poème du 19-01-2022


 



Paris Le 19-01-2021


D'« INFORTUNÉ DÉSIR » A LA FEMME MARCHANDISE


D'« infortuné désir » sa pauvre p'tite mort

Très rapidement vire au déni de l'amante

Jouissance en elle pliée – hors tendre qui enchante

Il ne voit qu'elle liée veut partager leurs corps


C'est p'tit oiseau en cage : il se sent impuissant :

A prêtresse l'hommage en désir n'a de sens

Car qu'elle ait pu l'aimer – que sait-il de ses sens

multiples – à tramer mur quand elle le sent ?


Fébrile – malheureux : à la haine il en vient

Lui ce guerrier peureux à cet amour ne tient

C'est alors qu'il lui siffle un venin ridicule

Il va jusqu'à la gifle – et brute : la bouscule


C'était la « belle » à s'faire et qu'on ne dise pas

Femme désespère ! Profit baisserait bas !

Il s'en va trouver alliance en femme qu'« intéresse »

Son sens des finances – il lui accorde caresses...

Ce qu'il en est de l'éthique du journalisme et du prince et sur les mensonges sur Didier RAOULT

 

https://odysee.com/@Roms17:d/18-mensonges-contre-Didier-Raoult---Idriss-Aberkane:9

"LE TEMPS DE LA VIE ET SES OEUVRES" Poème du 19-01-2022


 



Paris Le 19-01-2022


LE TEMPS DE LA VIE ET SES ŒUVRES


C'est la vie dans ses œuvres

Qui tient cœurs au beau chant

Où hiver en épreuve

Relève ses accents


A l'arbre nu : enfants

Source d'Humanité

Boivent n'étant hâtés

De savoir qui la fend


Tout un temps de désirs

Qu'un gris matin étire

Dans le ventre de ville

Où s'entend bel Émile


Nature renouvelée

Sans-cesse où n'est scellée

La condition Humaine

Qui ne tuera sa veine


Temps a cœurs aux abois

Amants – de vos ébats

Tout dans l'instant respire

Coupant souffle d'Empire


Proche et lointain mariés -

Cherche à les délier :

Un vieux feu en étreinte...

Tout leur temps peut l'éteindre


De fortune ô Cheval

En nos lunes dévale :

Au galop : l'espérance

Avance même en errance !

dimanche 16 janvier 2022

"LA CRISE VIENT ! LES LIBERTARIENS VONT MENDIER A L'ETAT Poème du 16-01-2022


 



Paris Le 16-01-2022


LA CRISE VIENT ! LES LIBERTARIENS VONT MENDIER A L’ÉTAT



Combien ne voulant voir dans leur pauvre miroir :

Revenants en histoire énucléer mémoire

Se croyant protégés dans tous leurs privilèges

Ils seront encagés dans le vide où ils s'agrègent


Vient temps de bête fauve : espérant tout garder

P'tits profits ne sauve l'Humain n'étant aidé

A moins d'être malfrat pour l’État qui le rince...

Libertariens-maffia comptent bien sur le prince


Et riches cohortes espèrent mettre aux fers

Travail vendu qui porte : hantés : gens en misère

Qui lune en bataille – ne mendient à Fortune... :

Liberté du Travail mourant dans des brumes


Grand Capital l'assaille et la met dans ses mailles

Et pour l'instant : immune joue trique pour tune autant

Qu'il peut faire vivre : le « risque » pour ses ouailles

Qui d'« actions » si ivres n'investissent ce temps


Spéculant sur la faim – qui veut les Droits défunts

Providence au ravin - du Travail et ses fins

Qui la met en avant ne voit courir le vent :

Prince : ce Bien rivant au Grand Capital : vend


S'apprêtant pour tous liens : à prendre Commun Bien

Grand Capital retient Valeur Monnaie sur rien

Il s'essouffle augmentant misère - « actions » resserre

Pour toute banque tant que consommation serre


Les crédits exsangues seront en « Stagflation »

Car les profits tanguent et plus ne réalisent

En valeur marchande le cours de leurs « actions »

De l’État dépendent pour retrouver leur mise


Libertariens béats avez besoin de l’État

Sinon – plus de gala – il vous faut donc la guerre

Êtes malhonnêtes : pour ouvriers aux fers

Vide pensée : Faites d’État : Bon bout de gras !

samedi 15 janvier 2022

 

http://t-pas-net.com/librCritN/2022/01/14/libr-retour-yves-di-manno-champs-par-christophe-stolowicki/#

"IMPUISSANT ET VAMPIRE" Poème du 15-01-2022


 



Paris Le 15-01-2022


IMPUISSANT ET VAMPIRE !!


Tête en queue à six pieds de long en égoïsme

Jouissant à se lier à tous les faux Ulysses

Fréquentant – cynique – les traîtres au pays

Il joue sa musique de l'étranger haï


Or là bien impuissant adorant le profit

Qui l'inscrit dans le « sang du peuple » où il farfouille ?

Qui en« pure origine » essaie de tuer défit

Du Peuple qui mine guerre  où prince le souille ?


Qui veut que là : couché Peuple perde tous droits

Aimerait tant cacher qu'il tue Misère et viole

Son Corps – abolissant progrès : il fait école !

Qui creuse dans le sang son histoire à l'étroit ?

JENUFA Leoš Janáček: - Její Pastorkyňa

vendredi 14 janvier 2022

"CE RÊVE DU REEL BONDIT AU MIROIR-AMOUR ! "


 



Paris Le 14-01-2022


CE RÊVE EN RÉEL BONDIT AU MIROIR-AMOUR



En miroir se lève figure qui incline

Au chemin où se rêve un vif temps d'amour

Où sa sève à saisir est présent qu'elle signe

Et dessine à plaisirs : iris  bordant : Toujours


Couronnant tout son port de lointain qui la lasse

Elle l'approche en son corps qui alors y prend place

Pour que ne soient perdues hors de tout son espace

Caresses éperdues en oubli qui la glace


Et lande n'est lointaine où cheval au galop

En vif présent l'entraîne à franchir solitaire

Distance à l'océan – avenir gardant terre

En désirs pour accents qu'elle ne noie dans l'eau


Quand d'océan sa chair pour vive écume emplit

Silence lui est cher jusqu'au bord de tout vide

Elle tient l'infini du chemin où elle lie

-Terre jusqu'en son nid : toute sa vie lucide


Tout le lointain s'y serre et l'on sent rapprochée

Contre pauvre désert : cette fleur qui tant vibre

Séparée d'abîmes qui veulent la sécher

Mais notre temps l'anime où elle se tend : libre

jeudi 13 janvier 2022

"SOUFFLE DES PAS DANS PARIS" Poème du 13-01-2022


 



Paris Le 13-01-2022



SOUFFLE DES PAS DANS PARIS


Pas – au soir fraîchissant : et rapides foulées

Marchent – dépeçant leurs regards sur monde laid

Qui pour fric en course : crée une prison-maille

Pour travail en sources : il n'est donc rien qui vaille ?!


Vite : s'en défaire : penser à tout chez-soi -

A cause d'affaire qui renie toute joie ?

Marcher contre souci – espérer qu'en sa veine

Ne se trouve rassi l'amour en ses fontaines


S'apaiser de ce temps courant : rythmes forcés

Garder ce qui nous tend d'amitié en partage

Marcher pour Mémoire  de ce qui met en cage

Pas :  sortent du miroir où notre âme est cassée


Que le Verbe soit Acte Ici pour réinventer

De Paris un pacte d'amour clair révolté

Et qu'on puisse entendre voix en pensées qui montent

C'est pari à prendre comme d'un puits qui compte


Saisir au pas en avant notre vie écumée -

Marée haute rivant océan de la ville :

Les courants du désir y viendront bien tramer

En cœurs : ce qui s'y mire de secrets subtiles


D'où les pas en accord de tout leur flux nous sourient

Et la nuit nous surprend : Parions hors obscur vide

Pour la beauté qui prend grâce en murs de Paris

Et brillante en leurs corps elle sort du livide

mercredi 12 janvier 2022

"Lintendant SANSHO" Un film de MIZOGUSHI

 

https://www.arte.tv/fr/videos/101332-000-A/l-intendant-sansho/?fbclid=IwAR3QjurDZOe2dsZuZRlG7BLuB5AGrWxMR_mgsq2u9j1ozCqV98G7iOVMzjA

Les Livres de Philosophie: Abdallah Khammari : Bachelard et la mathématique d...

Les Livres de Philosophie: Abdallah Khammari : Bachelard et la mathématique d...:  L'Harmattan - Janvier 2021 Il y a, chez Bachelard, une double suite transdisciplinaire, l'une philosophique, l'autre poétique, ...

Hiroshima mon amour (1959) - Alain Resnais - fr. (subs.esp.)

mardi 11 janvier 2022

"AUX VRAIS AMIS POUR LE PAYS POUR TOUS PAYS" Poème du 12-01-2022


 Peinture : Pol LEDENT 




Paris Le 12-01-2022


AUX VRAIS AMIS POUR LE PAYS – POUR TOUS PAYS



Dans ce monde où tu vis la lumière se perd

D'immonde obscur survit Misère en un enfer

Que de tous murs se lève en sa rumeur nouvelle

Temps de nouveaux rêves à rendre vie plus belle


Qu'on y sente d'hiver s'éclairer le divers :

N'oublie tous pays vers l'humus où il repousse

Contre vide en saillie où trahis : tant de pousses

Ne seront ébahis et prendront vie en Terre


Nuit-il : ce qui monte dans silence : Travail ?!

Il ne faut qu'on conte pour sa nuit un stand-by

Qui veut tant déférence en si « sainte allégeance » :

De leurs pieds d'errance pour profits : gens qui pensent ?


On aimerait que danse en veille pour la Paix

Ce qui en brouillard lance un horizon aveugle

Que de phare en bel Art se voit guerre sapée

Que Raison claire ait part contre profits qui beuglent


De guerre à ton pays – Toi : ton histoire bouche

Un beau coin non trahi où des blés replantés -

Par gel ne sont fendus– Amie ne sois hantée

Ton amour où est du ton pays partout touche 

"CE SAVOIR : QUI VEUT LE NOYER OU L'INCENDIER ? " Poème du 11-01-2022


 



Paris Le 11-01-2022



CE SAVOIR : QUI VEUT LE NOYER OU L'INCENDIER ?



Le gai gratuit savoir portant partage et joie

Voit : devoir au pouvoir son si libre air – le broie

Il n'attend que chaînes en la peur de penser

Quand l'ego l'entraîne : ne va s'y rabaisser


Or non angélique : sa vérité rend vie

Belle sans reliques mais couvre son histoire

Qu'il ne laisse écraser par prince qui l'envie

Et aimerait raser ou changer pour sa gloire


Mais il n'y a prison pour savoir-liberté

Quand doute est sa raison – il cherche vérité

Où sujet et objet pour désir et pensée

Il ne craint pour rejet de paraître insensé


Ce savoir marchandé – en un temps : bel éclat

Au souffre achalandé – en feu sonne son glas

Stéréotype – histoire en emprunts où banal

Fait bruits s'édifiant gloire en profit si vénal


Pour concurrence-guerre : achètent – utilisent

Son partage pour fers où s'affichent bien libres

Ceux pour qui : ce savoir s'envoie – se banalise

En change pour pouvoir quand il perd son calibre


Le Rien en eaux froides de l'intérêt : l'oubli

Où savoir mort – moite serré d'humides plis

S'ossifie très vite dans un grand fond de vase

Où l'envie en vide fait poussière et le rase

lundi 10 janvier 2022

"La Pensée S'élit Au Choix Où Vibre Paris" Poème du 11-01-2022




Paris Le 10-01-2022



LA PENSÉE S’ÉLIT AU CHOIX OU VIBRE PARIS



Si pour l'amour du vent la pensée correctrice

Voit l'arbre gravant sur son souffle du matin

L'entrée en son monde rallumant tout l'éteint

C'est qu'éveil y abonde en sa science électrice


Ramure : choix d'instant qui crée une nature

Où se boit et se tend du savoir belle allure

Contre ciel de bure : la pierre en boulevard

Fait qu'en couloir de murs la ville vole l'art


Et de ses joues pâles vibre corde d'accueil

Où s'aspire et se cale en sa rumeur lointaine

Pour pensée correctrice à travers ces vifs seuils

En leurs lèvres : actrice lumière : gris teint


Choix d'instant en arbre fleurit bien pour la ville

Il n'en est plus ce sabre à brandir sur durée

Celle-ci s'effiloche en ce rythme où les traits

Des voix sont si proches en belle paix civile


Du travail lancine l'appel de la vitesse

Sa pesanteur n'élime au vent vif la tendresse

Que le gel ne brûle la dansante pensée :

On le sait : elle y glisse et n'en est pas cassée


Pour ces temps où Paris en fontaines : cherchée

Tout un fond non tari en mémoire perchée

Saute non perverti par de trop viles chaînes

En veines bien senties où cœur nouveau l'entraîne

 

dimanche 9 janvier 2022

"ANALYSE DE SITUATION : CE QUI BLOQUE L'AUJOURD'HUI" Poème du 10-01-2022


 

Paris Le 10-01-2022


ANALYSE DE SITUATION : CE QUI BLOQUE L'AUJOURD'HUI





Que météo trompe ! Progrès n'est-il pas là

Mais qui l'a mis à l'eau et dans l'obscur scella

La mort de recherche gratuite et en conscience

Fait ruine où s'assèche l'âme de notre science



SCIENCE MÉDECINE ET PROFITS


Relativisons : si notre science se visse

A toute raison du profit : le vrai l'anime ?

Nous est chère : Santé – grands trusts vite s'en saisissent

Prince en est si hâté qu'il tait tous autres offices

Nous contrôlant rend temps d'énormes bénéfices.

Médicaments vantant : Prince va mentant

Ne les met sur marché : recherche instrumentant


Or qui veut tout gâcher et en profits ruer

Sait qu'Adventis sans crédits aux labos est tué

Trusts vissent dédit aux Princes qu'ils enrôlent

Et qu'ils ne soient fâchés pour variants hors-contrôle



START-UP NATION


Prince est vraiment très fier de la « Start-up Nation »

Qui croit pour son ère au « Grand Post-Capitalisme » ?

« Débrouillard » « Turn-over » « Risque » « Chrono » : ça "trime" :

Pauvre air – plus d'innovation – les profits font passion !!!


Plus de « sur-diplômés » Super-puissants Gaffas

Sont si bien à aimer et qui va alors en rire

Achetant Start-up Nation ils feront tout le pire

Y plaçant leurs actions: Prince aime ces malfrats




Jeu Des Dits « Écologistes »



Et pour l'écologie tant de menteurs jouent double

Qui sait qu'en gabegies Nestlé Total Bayer

Et tant et tant d'autres pour menteurs jettent trouble

Jouant faux apôtres : eau saine, pur sol, pur air !!!



A QUOI LIER LA QUESTION DU CLIMAT



Certes la météo peut toujours se tromper

Mais Climat est à l'eau : villes vont y tremper

Banquise fond vite quand sécheresse menace

Millions d'Humains quittes de venir en nos places

Grand Capital encore et princes jouent sa balle

Nature : son grand Corps et tout le ciel s'emballent

L'oxyde de carbone hait les poumons du monde

Les princes annonent gardant profits immondes



LA MANIE FAUTE DE POSITION DE RÉVÉLER DES CORRUPTIONS



Qui jouant tant au vrai révèle tant scandales

En maintenant apprêts pour essentiel profit

Attisant tant la peur – la tenant pour normale

De qui voit Capital monstre auquel lui se fie


Nul mot sur travail-marchandise et ses profits

Croit que tous maux de morts visent la République

Ce qui lui ferait tord c'est bien cette logique

Étrennant corrompus : celle-ci il dénie



L'OUVRIER BIEN BOURGEOIS : SA POSITION



L'ouvrier bon bourgeois croyant dur comme fer

Comme il y fut roi en Capital d’État

Ou en maffia d’État – chef en syndicat ferre

Pour le Prince en bon plats : l'ouvrier : carne en droits



SON CHEF POLITIQUE



Que son chef politique ait aise en beau miroir

D'ouvriers en trique – leurs grèves isole et taise

Reste en fausse musique pour que Raison s'apaise

Bon programme emprise ferrant peuple hors-espoirs

De son bon droit prend prise où bien commun n'a part

Joue l'aveugle où crise guerre prince prépare

De tensions civiles ne veut voir en le peuple

Où d'attention vile fait rente :  arbitre meuble...

Mussorgsky - Songs and Dances of Death - Vishnevskaya / Rostropovich

samedi 8 janvier 2022

Les start-up ! Effarant de médiocrité : pas un hasard : tout est réglé et voulu pour le profit Immédiat . Rien n'est traité sérieusement ! Rien sur les innovations technologiques, presque rien sur Recherche et Développement, rien sur l'autonomie financière, rien sur les gros investisseurs , sur la concurrence et le rôle de l'Etat : On entend des gens qui glorifient et mendient en même temps des profits , qui défendent le turn-over des employés, sous-évaluent les dits "sur-diplômés " et encouragent à fond la "débrouillardise" ! BREF : méprisable tellement c'est lamentable sans parler de vouloir subordonner l'université à ce Capital ! Tout et son contraire et le Prince parle de Start-Up Nation !!!

 

"LE TEMPS D'HIVER EN PARIS N'EST CROIX AUX RECOLTES DU BONHEUR" Poème du 8-01-2022


 



Paris Le 8-01-2022



LE TEMPS D'HIVER EN PARIS N'EST CROIX AUX RÉCOLTES EN BONHEUR



Du temps d'hiver ta croix au chez-soi garde temps

Où gel du divers croies pour bonheur que tu vises !

Retiens qu'habillant temps d'arbres nus se retend

Tout savoir qui s'étend où neuf en ville a prise


En une sève qui dure ils font rêves briller

Où pluie froide épure résistante récolte

Pour printemps à venir et qui ne peut plier

Quand aujourd'hui tenir annonce ses révoltes


Et n'est nul vent mauvais à casser le futur

Qui ne peut entraver cette passe qui monte

En la paix des désirs pour vraie chair d'aventure

Où Misère en Corps mire Paris – s'y apponte !


N'attends que s'y raye mémoire du pays

Tends d'hiver sa veille pour qu'il ne soit trahi

Et la soif du nouveau en Justice fait boire

Tout son beau suc qui vaut pour qu'y renaisse : espoir

vendredi 7 janvier 2022

"ICI L'HIVER NE BRISE VITRE AUX CENT LUMIERES EN ACCUEIL" Poème du 7-01-2022


 



Paris Le 7-01-2022



ICI L'HIVER NE BRISE VITRE AUX CENT LUMIÈRES EN ACCUEIL



Vitre aux cent lumières faisant briller l'accueil

Où dans son miroir fier la nuit franchit un seuil

Pour ombres qui dansent en Paris dans la veille

Dont lèvre ici lance brillant contre sommeil


Qu'on sourit au proche vif en parole-éclairs

Qui d'instant décoche de p'tits jets de tendresse

Quand la pluie presque en gel pique Paris de son air

Ici : ne s'y plie l'aile aux rêves qui se dressent


Voix non monocordes – ils forment chœur de paix

Où sourires ont corde et viennent tout happer

Du souffle de l'hiver : ici : en espoirs libres

Unifiant le divers qui nous réchauffe et vibre


Et n'est faux partage l'instant qui va dansant

Allumant tous âges à gaieté d'avenir autre

Cent lumières font fête à beauté d'instant nôtre

Qu'à leur miroir on mette un long désir passant


Où l'on sent du lointain frontière s'abolir

Quand tout l'obscur s'éteint ici : au souffle d'âmes

Qui nourrissent Paris et les font là élire

Au temps qui les marie au proche hors de tout drame

jeudi 6 janvier 2022

"VIGUEUR DE L'INSTANT TOUCHANT L'UNIVERS EN EXPANSION INFINIE" Poème du 6-01-2022


 


Paris Le 6-01-2022


VIGUEUR DE L'INSTANT TOUCHANT L'UNIVERS EN EXPANSION INFINIE



Vitesse de l'instant ! Non ne te perpétue

En langueur qui attend ! Abolis ce qui te tue

Monte dans la puissance où se capte vivace :

Éternelle présence en y laissant tes traces


Mais ne cours après rythme où se perd le travail

Car sueur qui le lime est grande ombre en ses mailles

Accepte la paresse où pousse rose au monde

Dans belle tendresse monte en causes fécondes


Qu'en essentiel présent tu ne perdes mémoire

Pour l'obscur arasant vif passé en sa moire

Ton bonheur se lève pour Misère accueillir

A ton heure sa sève est là pour t'épanouir


Tu sauras ô Instant que tempête en ses grains

N'est pas ce qui attend un nouveau temps d'airain

Que tout proche avenir en immortalité

Est transfuge à tenir: la fausse liberté


Si l'écume de vie en durée d'océan

Comme marée ravit l'ampleur de tes accents

Ne courbe ton espace que pour monter en place

D'univers qui trace contre monde bien las


Imite bon Riemann : l'expansion infinie

Sort bien en ses vannes moment de sœur étoile

Quand – insurgée nouvelle – elle ouvre dans la toile

De lumière si belle un temps jamais fini


Instant ! Vent sidéral porte bien en passion

Toute une vie égale en son champ d'attraction

A l'Humain qui se cherche en un bonheur qui fuse

En Maintenants où perche un lendemain sans ruse

mercredi 5 janvier 2022

"La Poésie En Paris Excède Toute Ombre Où La Guerre Insiste ! " Poème du 5-01-2022


 



Paris Le 5-01-2022



LA POÉSIE EN PARIS EXCÈDE TOUTE OMBRE OU LA GUERRE INSISTE



Le poids de poésie appuyé sur la porte

Du sens où se saisit le jardin de beauté

Prend lorsqu'elle s'ouvre : terreau de liberté

Où Paris vit – se couvre en grains qui lui apportent


Instant du soir fécond propulse le charmant

  • En saut du Rubicon : l'émulsif de fontaines

    Excédant le fini où nous gardons nos chaînes

    Franchissant l'infini en veille se tramant


En tête d'océan s'entend feu d'arc-en-ciel

Où de Paris : accents d'exil remuent si proches

En lumières-travail sur l'ombre qui s'y mêle

Et – au lointain – leur maille en mille fleurs ricoche


C'est l'heure pour cueillir et Misère compter

Qui ne peut saillir de ces oripeaux du monde

Or – comme vertige – la laideur de l'immonde

Montée d'hommes-liges voudrait tant l'appâter


Que se cueille clarté pour passer tous les murs

Et qu'à leur seuil chanté là jusqu'à leurs fenêtres

On puisse voir lueurs grandir la joie d'allure

De Paris à son heure : assurant son bel être


C'est la veille : hiver lance sa respiration

Et son souffle au travers de ses fleuves égaye

De Paris : sa lumière en paix contre tensions

Où froide ombre-guerre voudrait qu'elle se raye

mardi 4 janvier 2022

"QU'EST-IL DE LA PENSEE ? - QU'EN EST-IL DU FAUX PARTAGE ? Texte-Poème du 4-01-2022

 



Paris Le 4-01-2022



QU'EN EST-IL DE LA PENSÉE ?



Est-ce communiquer ? Pour le virtuel autre

A travers des paquets d'infos où l'on se vautre ?

Est-ce pour partage : se pendre sur l'e-phone

Et se mettre en rage si plus il ne résonne ?


Oui est-ce vouloir croire et pour se lamenter

Que son petit standing vaut chère discussion ?

Qu'affaires sur son ring mérite nos passions ?

Et bien écouter miroir-Pouvoir sur Santé !


Est-ce partager Vide en fausse Humanité ?

Est-ce désir avide en fausse liberté ?


Est-ce récriminer qui n'est vraiment du pays ?

Vouloir discriminer : le vouloir tant haï ?


Et est-ce rejeter pensée libre et gratuite ?

Est-ce jouer l'oubli et se mettre en repli ?


Est-ce être carpette pour bons et justes droits ?

Être ramasse-miette et marcher là tout droit ?


Est-ce utiliser l'autre en vile marche-pied

Pour jouer bon apôtre et au Pouvoir se lier


Est-ce collaborer pour « Francisque » et « Pétain »

Et franchement adorer cirque qui tout éteint



QU'EN EST-IL DU FAUX PARTAGE ?



Est-ce au nom du partage opprimer tout singulier ?

Est-ce au nom du partage opprimer Misère ?

Est-ce au nom du partage adorer le Profit?

Est-ce au nom du partage en vouloir à l’Égal

Est-ce au nom du partage écouter tant Pouvoir ?

Est-ce au nom du partage habiliter Laideur ?

Est-ce au nom du partage aliéner son Amour ?

Est-ce au nom du partage hanter sa vie de Plaintes ?

Est-ce au nom du partage aimer Trahison ?

Est-ce au nom du partage aimer sélectionner ?

Est-ce au nom du partage aimer Rivalité ?

Est-ce au nom du partage vanter tant l’Absurde ?

Est-ce au nom du partage avaliser l'Obscur ?

Est-ce au nom du partage avaliser tout Mal ?

Est-ce au nom du partage abhorrer le Progrès ?

Est-ce au nom du partage incendier vraie Justice ?

Est-ce au nom du Partage Vanter bien la Guerre ?

lundi 3 janvier 2022

"ON APPREND TOUJOURS DE L'EVEIL DE PARIS" Poème du 3-01-2022


 

Paris Le 3-01-2022



ON APPREND TOUJOURS DE L’ÉVEIL DE PARIS




Sous les lampadaires : des ombres translucides

Suspendant corps dans l'air – avancent sur le vide

Écailles de lumière en marbre-macadam

Bordent murs de pierre que tout le sombre dame


Le mouvement s'accélère – enseignes illuminées

Tout un flux macère ville où tout le jour perce

Fenêtres trouant murs leur fait un macramé

Bientôt au jour impur lampadaires s'affaissent


Flot de véhicules grandit fleuves de rue

Travail alors bouscule éveil – le met à nu

La radio siphonne pour compagnie : grand monde

Et le temps résonne du travail prenant rondes


Le ciel armé de blanc taille crème des murs

Et d'ici tout le plan urbain creusant vitesse

N'oublie proche et lointain croisant leur belle allure

Du nouvel an un train pressé cause tendresse


Petit vent secoue ville – expulse-t-il souvenir ?

Or elle l' habille - le propulse en avenir

Paris gagne en instant où le temps se suspend

Un marche-pied nous tend l'oubli : Vide s'y pend


Ne t'y accorde pas qu'à piétiner poussière :

Du rythme de nos pas qui l'essouffle en lumière

Vont tous les passages lancer hasards futurs

Y demeurent sages leurs soins : fond de nature


Or le suc de Paris se boit sans la promesse

Il n'est jamais tari : pris en toute saison

Et avec arbres nus : il nous est droit d'aînesse

Jusqu'en fleuve-avenue : Misère est sa raison


Et qu'on n'attende pas que s'y perde l'éveil

Presque tous ont ses pas en matin vénéneux

Poudre lancée des fées nous font sentir qu'il brille

Elle moule les faits sur nos chemins sinueux


C'est la belle Elvire qui ressource l'amour

Elle est là – nous attire et comble résistance :

Âme et corps désunis perdant leur bel ajour

En rencontres amies : son souffle leur rend sens


Que le travail n'y meurt : levant hasard souverain

Que s'y creuse douleur : en partage elle monte

Sens vibrant de Paris : jeunes-vieux sont d'airain

Que ce monde marie paix avec qui la compte


Là contre pierre-crème une lèvre s'éclaire

On y vient et sème pour hasard : vifs éclairs

On y fait essaimer l'art d'une belle écoute

Où l'on sent se tramer la vie contre faux doute

dimanche 2 janvier 2022

Didier RAOULT ET Son Courage

Didier RAOULT ET Son Courage

 

https://twitter.com/raoult_didier/status/1477196071235469312

"PRINCE GARDERA POUVOIR POUR RENFORCER AU MEILLEUR LES PLUS HAUTS PROFITS EN DESIGNANT DES ENNEMIS Texte poème du 2-01-2022


 

Paris Le 2-01-2022



PRINCE GARDERA POUVOIR POUR RENFORCER

AU MEILLEUR LES PLUS HAUTS PROFITS

EN DÉSIGNANT DES ENNEMIS



Grand Capital choisit : liquider le progrès

Il jette ses lazzis sur son lien à Misère

Il le met tout en cage et prince lui sait gré

Avec diktat en rage où pensée est désert


Mais avait-on bien vu ce qui tant l'animait

Il ne faut de bévue : c'est haine de Misère

Pour dévotion au prince en son temps il s'affaire

Il veut tant qu'il rince bien sa fortune aimée


Et qu'il dévore en fric les pensées encagées

Pour – pauvre musique – les tenir en son antre

Or ravalant ses crocs : l'ami a tant gagé

Prince qu'il l'aime escroc celui qu'il disait chantre


Pour tout poulpe : vile doit être le travail

De ces gens habiles en mains qui le font vivre

Usant bien leurs cordes en vertus qui tant vaillent

Son profit en hordes qui le rendent bien ivre


Qu'à cœur-joie : finira – en étant réélu

Prince – jusqu'à mort : droits du travail et du peuple

Sa « Révolution » marche et ouvre pour grand poulpe

Temps de guerre lâche qui lui vaudra Salut


Grand poulpe le sait : Crise menace son Corps

Qui ne trouvera prise en masse si énorme

Qu'en banque pour actions – à casser p'tit aux normes :

Crédits en provisions – prince tuera l'apport


Concurrence niée : gros poulpe connaissant

Tous ceux qu'il veut plier pour voir accréditer

En banque profits liés à tous super-puissants

Prince en sa dette allié pourra peuple mater


Resteront ses profits qui – avec « Stagflation »

Voudront au défit du peuple faire tension

Sur pays – où petits vampires d'aventure

Vendront pour appétit le peuple mis au mur


P'tite affaire en passion où p'tit s'est dédié

Ne faisant attention au peuple qu'au service

Qu'il croit par demande lui offrir bénéfices

S'illusionne : commandant crédits incendiés


Livrant Pays – Europe aux bons super-puissants

Qui voudra qu'on gobe le saint état de guerre ?

Prince pour peuple au fers – il rendra indécent

D’État-Providence : Air : droits aux grandes affaires


Prince veut pour Schengen que frontières se ferment

En Europe et sa scène – où il deviendra chantre -

A l'immigré d'ailleurs et que l'Europe draine

L'inégal travailleur hors-droits pour poulpe au ventre


Et Prince en Europe tiendra en Commission

Tout son jeu interlope et par « innovations »

Hors progrès des peuples et leur mémoire en ruse

Instrumentée pour poulpe ouvrira guerre aux russes


Il nous faudra choisir : s'unifier à tant d'autres

Pour temps proche en avenir et que coopérant

En intérêt commun on ne joue les apôtres

Du profit tout en main et peuple aille serrant


Ogives du profit dressées contre Misère

Explosant le défit de l'Humain qui la sert

Que la libre expression ne soit tuée en ses nids

Que barbare intention en soit toute bannie


Prince qui veut demain boucher la pensée libre :

Nul progrès : vides mains : fini : on ne s'y fie

Paix au pays où bruisse mauvais vent qui vibre

Qu'une clarté en luise pour peuple en défit