dimanche 31 mai 2020

Gérard Grisey " ESPACES ACOUSTIQUES"

https://www.youtube.com/watch?v=IXQ5c8GUsUM

EXIL MISÈRE : LA GUERRE NOUS FORCE EN NOTRE ÎLE - MAIS SUR LA TERRE SE NOUE AUTRE AMORCE FÉBRILE ...




Le 31-05-3020

EXIL – MISÈRE : LA GUERRE NOUS FORCE EN NOTRE ÎLE
MAIS SUR LA TERRE SE NOUE AUTRE AMORCE FÉBRILE !



OUI ! La guerre qu'ils font en toi – tu l'useras
Et la gagneras – livrant à ton vif  silence
L'autre devant lequel – plus tu ne frémiras
Avec qui tu partageras vive présence


A l'amour dissymétrique – mort cédera
Son mur même – à s'écrouler devant le toujours
Sera occasion de danses - tu l'aimeras
Car – tu verras – l'élan se fera en plein jour


Ce qui fait tant disparaître dans le néant
Brûle son enfer devant les métamorphoses :
Ce qui bruisse dans l'apparaître – Ici Céans
A les couleurs de l'être multiple des choses


Nous pouvons être à leur école – incessamment
Le temps fébrile n'empêchera l'abondance
Eole en Misère emporte ce qui ment

Nous – un autre puis un autre – toujours s'avancent

samedi 30 mai 2020

Les musiciens de l’Orchestre De Paris interprètent Wagner et Strauss

https://www.arte.tv/fr/videos/097996-001-A/les-musiciens-de-l-orchestre-de-paris-interpretent-wagner-et-strauss/

LE JEU D'OMBRES - DES VOIX - DU SILENCE ET DE LUMIÈRE




Le 30-05-2020




LE JEU D'OMBRES – DES VOIX
DU SILENCE ET DE LA LUMIÈRE


Je ne voudrais pas voir le silence perdu
Sans avoir regagné les traits de la présence
Que rut d'océan en ville ne tait plus
Jusqu'à muter en nuit par ce qui luit d'absence


Si la terre en ciel s'évanouit dans l'obscur
Va danser dans les branches la corne platine
Pour exorciser la veille prise en les murs
Et mes rêves les plus forts ne tombent en ruines


Tombant de p'tis abîmes : voix mouillant romances
C'est pour départs neufs qu'elles roulent l'infini
Des rires essayés accoutumés d'errance
Font évacuer le pire en leurs maigres nids


Or à la fenêtre du songe on voit encore
Échapper au paraître qui ronge – notre être
On voit s'enraciner bohème dans les corps
C'est nuit de ramdam où se perdent tous les maîtres


Mais qu'on s'abandonne au feu restant de ce temps
Pour le traduire en poème au jeu de l'instant
Les êtres du Démos n'ont dit leurs derniers mots :

Ils sont l'écorce du savoir et ses rameaux !

mercredi 27 mai 2020

"Vie et destin" de Vassili Grossman sur arte tv

https://www.arte.tv/fr/videos/069061-000-A/le-manuscrit-sauve-du-kgb/

EST-CE QUE LES PUISSANTS NE VONT PAS EN FAIRE FLECHE DE TOUT BOIS POUR ACCROCHER LE FLEUVE DE CETTE HISTOIRE A LA "SEMPITERNELLE" POUSSIÈRE DES FRASQUES DE LEURS MASQUES

https://www.facebook.com/prince.driss.salmi1st/videos/2905861112772535/

A MA FENÊTRE - POÈME REPRIS DE L’ANNÉE 2016

A MA FENÊTRE



Le moucheté-frappé de la bruine
Sur la bouche ouverte
A la solitude
De veille –
Grise un combat
Que le « Liederkreis »
Accompagne et engraine
De lignes de cœur
Branchées dans
Une pure
« Stimmung »

« Nichts ist vorbei ! »
Le socle de la nuit est bien gravé
Dans le silence en saillie
Sur le sol de ma
Propre voix
Il n’y a pas d’autre rossignol
Que celui de ce chant
Fécondant
Ma joie au-dessus
De ma ruelle qui ruisselle
De clair-obscur …

Oui ! Rien est passé !...
On n’est pas sans amour …
« Nie mehr ! » : le nid des haines 
S’efface dans le secret
Complice de la ville
Qui veille sans
Rumeurs

Bientôt on recoudra la laine
Du ciel avec la clameur
A chaque fois nouvelle –
Ecrite sur le tableau évanescent
Des vitesses précipitées
Vers le « labeur »

Mais on n’attend rien
Et l’air est suspendu à la toile noire
Nuées tendues sur les toits …
Et le temps est sans autre lien
Que celui du chant et de
Sa musique qui court – court
Dans la nuit souveraine
D’où s’est évanouie
La bruine

On n’entend pas la misère
Aux pieds d’argile
Et l’exil est
Sans air audible
Tandis que s’est essoufflée
Toute rébellion à siffler
Dans les cornes
De la promesse
D’un matin
Mutin

O Tranquille – trop tranquille rideau
Qui rissole de lumière !
Lait d’or à ma
Fenêtre ouverte !
L’air – lui-même dort
Avec la douceur
Angélique et mélancolique
Du chant qui laisse
Macérer l’oubli
Dans la tête

Et toi ! Ma sœur ! Toi : mon humanité
Entends-tu le « Liederkreis » ?...
En ce lundi dans mon pays –
Paris est mon bail
Que la beauté
Du silence
Souligne
Avec tes doigts
De fée des sables
Toi ! Que l’âme de la ville
T’installe sur le piédestal où je veille –
Je te le dis : il n’y a pas
De mur qui ne se
Surmonte …
Le merle chantera pour toi
A l’afut qu’il est de tous les éveils
Nous mettrons l’aube
A notre service
Comme nous nous représentons
Le lointain et le futur
Arracher toute
Barricade à
L’amour
Dès qu’ils rentrent
Dans nos rencontres matinales

Les monstres n’entendent pas
Le cœur de nos voix
Ils ne savent
Ecouter le
Silence
Ce « Liederkreis » aura été
Une petite école pour
Nous apprendre
Que nous
Ne pouvons surseoir
A ce qui nous tient
Debout !
Il chante la solitude à partager
Dans la jubilation
De nos désirs
Il est sans fin ce chant
Aux mille facettes d’une passion
Ouverte comme l’est
Ma fenêtre où je

Suis enchanté  

A MA FENÊTRE SUR SOUNDCLOUD UN POÈME REPRIS

mardi 26 mai 2020

AU VIF ALLANT EN NUIT - L'INSTANT INCISIF LUIT





Le 26-05-2020

AU VIF ALLANT EN NUIT
L'INSTANT INCISIF LUIT

Le faîte des remparts – l'écharpe d'or les rasât
Ramonant jusqu'au flux inondé de silence...
Hirondelles ! Criez ! Mona Lisa
De sa tourelle vous prie en sourires-lances


Un dernier chien d'écume secoue de sa rumeur
Les monolithes blancs qui sécrètent musique
Avant que – doucement – le jour délité meure

Mais sur ces lèvres fermées : lumière magique

mercredi 20 mai 2020

LES OISEAUX INDIQUENT LA LIBERTÉ SANS PRIX - LEUR RÉSEAU MUSIQUE EN CITE NOUS L'APPRIS

Peinture : Antoine MASSIANI






Le 21-05-2020


LES OISEAUX INDIQUENT LA LIBERTE SANS PRIX
LEUR RÉSEAU MUSIQUE EN CITE NOUS L'A APPRIS



Si je ne veux pas faire tomber mon amour
Dans une cage pour l'oiseau que je veux libre
Allumant ma page à la flèche du toujours
J'incendierai l'enfer aux feux de ce calibre !


Déployant les ailes enflammées du silence
Aux abîmes d'âme de l'océan urbain -
Dans le soleil de l'égal perlant sa présence
Au creux des fenêtres – me jetterai au bain


L'être de l'oiseau en fraternelle envolée
Dans l'altitude des toits – nos baisers cueille
Sans avec un paraître vouloir les voler
Au soir il embrasse nos maisons qui accueillent


O Chante ! Merle par notre veille : affûté !
Dans la douce lumière du jour qui s'incline
Tu déclines musique en liberté fêtée
Par notre terre qui tendrement s'en avine


A la nuit et toutes ses lueurs en ballet
Un dernier vol de colombes avec cris passe
Les bruits de toutes rumeurs qui vont s'en aller

Avec lui et l'école du monde en paix qu'il trace

lundi 18 mai 2020

Qu'En Est-Il De Notre Bon Robinson ? Sur Son Île Se Plaît-Il En Chansons ?




Le 19-O5-2020

Qu'En Est-il De Notre Bon Robinson ?
Sur Son Île se Plaît-il En Chansons ?


Si la guerre est un prestige pour les tyrans
Cythère – ô Prodige – demeure dans les rangs
De Misère que tant guerre oblige à l'éveil
Il sied qu'en nous elle ne se fige en sommeil



Si liberté de la paix habite nos pas
Pour l'égalité elle implique bons repas
Où la fraternité orchestre la musique
Sans qu'un maître nous fasse céder à la trique
D'un travail harassant sans mesure ni loi
Pour que le riche fasse flèche de tout bois


Il n'est encore temps que « grand mal » disparaisse
Qui a tant attendu avant qu'il n'apparaisse
Sait qu'il peut se répandre encore en ce pays...
Qui a donc ouvert une nouvelle saillie
Dans le beau corps du Peuple que tant il haït
Il déclare avec le Poulpe qu'il n'a failli


« Soyez volontaires : travail sans satiété !...
«  J'ai atterré le « mal » vaille que vaille en beauté »
Foule se presse dans le métropolitain
Les masques tombent aux masques qui chers se payent
Lui à nous s'adresse – sachant qu'il n'est atteint

Lui ce bon « Robinson » qui toujours sur nous veille

Doux chant sur vol extraordinaire !

https://www.youtube.com/watch?v=P0v9vd4JEeo&feature=youtu.be&fbclid=IwAR2sy-rpMgezx2ZCvqVefqycogzijjMGFYOJGoS6qgxiGOfEna9GzpaQnYg

samedi 16 mai 2020

MAL A LA TERRE ?? UN VIRUS CRÉE UN VETO D'OMBRES ?! CE SONT COURONNES ET ACCRÉDITEURS DU MONDE !!!

Le 16-05-2020 MAL A LA TERRE ? UN VIRUS CRÉE UN VETO D'OMBRES ?! C E SONT COURONNES ET ACCRÉDITEURS DU MONDE !!
 1) La terre irritée sur le fil de l'avenir
 Glisse sur l'enfer avéré d'une présence
 Qui louvoie avec elle sans y parvenir
 La trouvant si belle qu'il lui enlève essence

 2) S'en croyant maître il prend toute son énergie
Pour la livrer à toute puissance inhumaine
Alors qu'il n'y aurait vraiment nulle magie
A la donner pour l'égalité souveraine
Qui pourrait tenir un équilibre si fort
Entre êtres libres et la nature en accord
En respectant harmonie entre faune et flore
Oui ! Comme dans le nid où l'oiseau vient d'éclore
C'est à l'Humanité de renaître elle-même
Non aliénée par des puissances qui ne l'aiment

 3) Non ! La terre n'est nullement notre ennemie
 De même que la misère – elle est notre amie !
 Une aube intranquille à l'aune d'un nouveau vent
 Ouvre bien nos villes à un soleil savant
 Séparé de tous esclaves qui s'y fourvoient
 Ce sont agioteurs qui nous font perdre la voie
 Nulle nature en ces flux virtuels qui font la ronde
 Autour du futur des accréditeurs du monde

 4) Ni mobilité flexible : Vacuité !
 Ni leur fixité intangible : Surdité !
 Les deux liées sont à la terre : le Léthé
 Un fleuve déplié sonne Vie en Cité
 Nous sommes ce fleuve – Rien ne peut l'arrêter
 Toute étape à franchir est déjà nouveauté
 Dans ce monde les rois tiennent à l'arrêter
 Il sortira de terre avec lyre et beauté
 Du mal sa ronde ira pour famine et misère
 Noyer le véto en nombres qui les font taire

vendredi 15 mai 2020

LA TRAVIATA DE Verdi Opéra de Paris

https://www.operadeparis.fr/magazine/la-traviata-replay

mardi 12 mai 2020

Barbara Hannigan et ses rêves de Hongrie

https://www.arte.tv/fr/videos/086139-000-A/barbara-hannigan-reve-de-hongrie/

FIGURES DE LA PENSÉE OUTRE SITUATIONS D'OPPRESSION

https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/philosophes-emprisonnes-44-rosa-luxemburg-antonio-gramsci-varlam-chalamov-penser-a-lepreuve-de-la-violence

CE QUI EBRANLA LE MONDE !

https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/philosophes-emprisonnes-24-parce-quelle-tourne-giordano-bruno-et-galilée

film "Les fausses confidentes" de Luc Bondy


Les Fausses Confidences – le film from Theatre Odeon on Vimeo.

Deux œuvres majeures du romantisme français finissant

https://www.facebook.com/franceinter/videos/vb.122067514495044/1212076542296421/?type=2&theater&notif_t=live_video&notif_id=1589288472003927

lundi 11 mai 2020

TEMPS DE BELLE IRRIGATION EN ENERGIE QUI ÉTEND BELLE PROPAGATION SANS MAGIE - VENUE DE LA TERRE : L’IDÉE DE LA JUSTICE QUE LA MISÈRE ADVENUE FAIT ENTRER EN LICE ... DANS CE MONDE CLOS - AU MIROIR DE QUELQUES OMBRES : VOIR AU HALO DE NOS RONDES : CALQUE MOINS SOMBRE !





Le 11-05-2020


TEMPS DE NOUVELLE IRRIGATION EN ENERGIE
QUI ÉTEND BELLE PROPAGATION SANS MAGIE
VENUE DE LA TERRE : NOTRE IDÉE DE JUSTICE
QUE LA MISÈRE ADVENUE FAIT ENTRER EN LICE
DANS CE MONDE CLOS AU MIROIR DE QUELQUES OMBRES :
VOIR AU HALO DE NOS RONDES CALQUE MOINS SOMBRE !




La terre irritée sur le fil de l'avenir
Glisse sur l'enfer avéré d'une présence
Qui louvoie avec elle sans y parvenir
La trouvant si belle qu'il vole son essence


Il la salit en lui prenant son énergie
Pour la livrer à toute puissance inhumaine
Alors qu'il n'y aurait vraiment nulle magie
A l'harmoniser avec l'Egalité Reine
Qui ne pourrait tarir un équilibre fort
Entre âmes libres et leurs corps tout en accord


Et respectant harmonie entre faune et flore...
Et comme dans le nid où l'oiseau vient d'éclore
L'Humanité renaît – si fière d'elle-même
Qu'en pensées coupées des puissances – elle essaime


Non ! La terre n'est nullement notre ennemie
De même que la misère : elle est notre amie...
Une aube intranquille à l'aune d'un mauvais vent
Ouvre halo en nos villes pour soleil savant
Séparé de tous esclaves qui les fourvoient :
Ce sont agioteurs qui nous font perdre la voie


Nulle nature en ces flux de virtuelles rondes
Et nul futur dans les accréditeurs du monde
Leur flexible mobilité tue tous nos droits
Leur fixité intangible est mort de Nos lois
Les deux liées sont à la terre le Léthé...
Un fleuve déplié donne vie à Cité !


Nous sommes ce fleuve par Nature apprêté
Et nous nous abreuvons du monde hors du Léthé
La terre en sortira avec Lyre et Beauté
Personne ne hantera plus nos nouveautés
Et Famine et Misère seront en nos rondes

Nul ne les fera taire avec un veto d'ombres !

vendredi 8 mai 2020

jeudi 7 mai 2020

DANS L'INSTANT LA DÉTRESSE QUI SE CONSUME ALLUME LE TEMPS DE LA TENDRESSE CONFINÉE





Le 7-05-2020




DANS L'INSTANT LA DÉTRESSE QUI SE CONSUME 
ALLUME LE TEMPS DE LA TENDRESSE CONFINÉE 



Matin doux … Flirtant avec les toits : zig-zag d'ailes...
D'ailleurs... Et soudain... : Par vagues : les hirondelles
Qui sans stridence rendent léger le silence
Pour nous abréger le temps de prendre présence !


De l'azur un elles viennent poser les balises
De notre printemps pour qu'il se revitalise
En ce commun exil forcé derrière murs...
Que la pensée de la ville prenne autre allure !


Avec elles ce poids du lointain senti proche -
Que des nichées d'amour épousent et approuvent -
Pèse moins que l'écrin de plumes qu'on y trouve :
Ce secret jamais éteint que notre âme approche


Or franchir de l'océan-ville les distances
Y sentir la foulée du monde en conséquences
C'est un pas d'aile qu'hirondelle ne fait plus
Dés que posée sa ronde en lieu qui lui a plu


Qui connait exil misère labeur de l'Humain
Ne renait dans la ville à l'heure de la « toile »
Et si du cri de l'hirondelle il ne se voile
C'est qu'au soir il prise ses ailes pour demain


Car si l'aube n'est pas rancunière en amour
C'est qu'elle a toujours été sobre en sa mémoire
Le cri des colombes la mesure toujours

Pécunière Fortune n'y impose moire !

J.S. Bach: 6 Suites for Cello Solo (Full Album) played by István Várdai

Un appel de Vincent Lindon : « Comment ce pays si riche… »

mercredi 6 mai 2020

Mozart: The Great Piano Concertos, Vol. 1

SUR SA CHAIR LISSÉE SE LIT ENCORE TOUT UN MONDE




Le 6-05-2020




SUR SA CHAIR LISSÉE SE LIT ENCORE TOUT UN MONDE



Du vermeil des roses je me hisse vers toi
Du soleil j'apprends à épousseter les ombres
Et recueille son instant passé sur les toits
Puis je t'accueille à distance de ses décombres


De ma fenêtre l'obscur disperse les bruits
Sauf celui du malin merle qui nuit annonce...
Ton être musique en silence comme en puits :
Pique salpêtre aux murs y mêlant sa semonce


Mais ton étoile ne se consumera pas
Vénus sur Paris a beau être dans un voile
Elle est la cavalière-muse de mes pas
Toi ! Dans l'apparaître non usé de ma toile


Des naseaux de Pégase tu as aspiré
Le souffle et tu l'as fait valser dans les genièvres
Puis l'alcool de tes baisers m'est monté aux lèvres
Que j'ai marouflées dans un vase de spirées


Rien oublié de ce furieux coup de hasard
Car les ailes curieuses de ton art limpide
M'ont lié à ce rempart contre les yeux du vide
C'était le pied volant en lumière d'un phare


Paris cette nuit – en poème naviguant !
M'aidant d'un pari qui luit à travers des vagues
Celui d'essaimer la vérité qui s'élague

Au puits de ton amour : je vais là l'irriguant

mardi 5 mai 2020

ARTICLE PASSIONNANT A LIRE ET ANALYSER

http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html

"Le discours du père" Emmanuel Macron -le coronavirus et les citoyens

https://www.tdg.ch/suisse/france-ecoute-discours-pere-suisse-assiste-reunion-famille/story/27566348

Klavierabend (1987) Vladimir Horowitz. Goldener Saal, Wiener Musikverein

lundi 4 mai 2020

UN TRÈS FIN CONCERT A PARTIR DE RECOMPOSITIONS !

https://www.arte.tv/fr/videos/097445-007-A/hope-home-episode-34/

OR QU'A LAISSER ÉPANDRE NOTRE HUMANITÉ - NON-AUTRE ELLE DRESSE A SE TENDRE : SA BEAUTÉ !




Le 4-05-2020


OR QU'A LAISSER ÉPANDRE NOTRE HUMANITÉ
NON-AUTRE ELLE DRESSE A SE TENDRE  :  SA BEAUTÉ !


Passant outre l'assèchement sous les langueurs
Nous nous assolons dans les puits de nos solitudes
Qui se décèlent au creux des mains en nos cœurs
Nous tissons fils aux demains hors-désertitude


Les pas de tant d'êtres : nous les rencontrons
Or – faisant fuir tout paraître en notre bohème -
Nous savons qu'au mètre qui sépare : mettrons
Celui de notre être vigilant en poème


Pourtant la marée de pauvres et travailleurs
Passe sous l'épandage urbain en silence...
A retrouver le halo d'une nouvelle heure

Hors de nos puits nous lancerons la belle danse

MUSIQUES DU MONDE

http://petitesplanetes.bandcamp.com/album/me-hi-na-ko

dimanche 3 mai 2020

"MA NUIT CHEZ MAUD" de Rohmer sur arte tv.fr

https://www.arte.tv/fr/videos/001091-000-A/ma-nuit-chez-maud/

"LA BELLE NOISEUSE" de Rivette sur arte tv.fr

https://www.arte.tv/fr/videos/005166-000-A/la-belle-noiseuse/

Patrick QUILLET au mieux de lui-même !

https://www.facebook.com/patrick.quillier/posts/3893644737344124?notif_id=1588530951013840&notif_t=close_friend_activity

Janacek - Idyll for string orchestra, Gharabekyan, I TEMPI

samedi 2 mai 2020

UNE EX-DEPUTÉE LREM RÉVÈLE LES DESSOUS DE LA MACRONIE

Ain't Got No, I Got Life - Nina Simone

CONSTRUIRE LE BALLAST POUR LE TORRENT DE NOS CHANTS





Le 2-05-2020



CONSTRUIRE LE BALLAST POUR LE TORRENT DE NOS CHANTS


Rumeur-silence ! Par toi sommes affectés !
Si au bas d'échafaudages un monde tremble
Prenons-le avec sa saucée : dans la beauté
Qui – dans le sang de son miroir – toujours rassemble...


Temps des primevères ! Terre déjà gonflée
Au souffle premier n'est en guerre versatile
Contre gouffre de misère – encore appelée 
Paix mais étouffée aux enchères mercantiles !


Eaux fortes imprimées sur parchemin du mal
Montrez chemin qui flétrit âme de science
Quand du charme fleuri elle déserte le bal
Et ne sait qu'ouvrir au prince son allégeance


Que se garde en mémoire ce trou dans le temps
Que n'éprouve – fardée au regard du mensonge
La pompe de gloire se mirant en étangs
Comme faux trompe la mort contre tous nos songes


Sur chevauchée du printemps qui porte la vie
Arrachons traces du mal – qu'il ne recommence
Son banal par nous chassé qui plus ne sévit
Si partout à sa place heureux égal avance


Un monde de « désastre obscur » se consumera
Sous l'eau et l'astre des rondes qui aux corps brillent
Qui au ballast en port nouveau de chants verra

Encore scintiller étoiles qui l'habillent !...

APPRENDRE ET PENSER : LE TRAVAIL MANUEL !

https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/travaux-manuels-0

VOILA QUI EST CLAIR !

https://www.facebook.com/watch/?v=698226517384141