lundi 31 mai 2021

"Hauteur De Temps Du Long Désir" poème du 31-05-2021





Paris Le 31-05-2021



HAUTEUR DE TEMPS DU LONG DÉSIR



Mono-nucléique désir sur chair d'azur :

Fond musique de ville en des éclairs habiles

Qui fendent son noyau exorcisant Futur

Dont tous les durs maillons banalisaient le vile



Or qu'en des bris de soleil de silence et d'ombre

En danses s'essayent des parcours déchaînés

Des mots s'en élancent en course qui renaît

Dans l'azur et pensent contre guerre et ses trombes



Autour s'entendent voix qui malgré le trafic

Tendent leur propre voie qui au gré pacifique

D'un doux vent tranquille s'égrène en p'tite joie

Sans conquérir cette île avec cris et abois



A l'allure qui boit à l'élixir d'azur

Le petit bruit se voit en désir de futur

En un creux où présent se tente puis s'assume :

Hauteur de temps osant ses sentes pour des lunes

 

dimanche 30 mai 2021

"LA PAIX EST OBJET DE VERITE" Poème du 30-05-2021

 




Paris Le 30-5-2021



LA PAIX EST OBJET DE VÉRITÉ



Deux poèmes introductifs



On ne creuse ou ne rase en toute latitude

Si c'est sans oukase que notre solitude

Sans pauvres cohortes de la triste habitude

Se fond et se porte dans chemins d'altitude



De grande richesse le petit mal d'envie

Veut rallier ses messes aux promesses du roi

Et cède bien servile aux puissants et leur loi

Même s'il est habile il vend toujours sa vie


Le poème proprement dit :



Un bruit d'enfer se fait pour clouer l'oiseau libre

Or même dans les fers c'est si bien vrai qu'il vibre

Qui a brûlé les corps qui encore chantaient ?

En un autre décor qui tue les révoltés ?



Or la tendresse est nue dans la mémoire tue

Qui se dresse n'a bu dans tout son corps en plis

Ce qui dans l'Europe collaborait aux nues

D'enfer interlopes : cette lie de l'oubli



Maintenant Petit Homme écoute bien ce prince

Goliath sur son trône nie qu'un monstre ait scellé

Seul le destin d'Hommes tant et tant à brûler

Si content que sa Rome au sang si pur le rince



Monstre sans permission sa « solution finale 

Fut sans la rémission l'objet d'un testament :

« Ce que j'ai fait de mieux » Non vraiment il ne ment

Il se prenait pour Dieu - «  C'est liquider la Race

Inférieure et maudite en n'en laissant de traces »

Et ce létal élan parut pourtant banal

A des millions de gens exercés à la guerre

Pour « empire à mille ans » terminé dans l'enfer !



Et penser qu'un Goliath nie l'auteur authentique

De cette « solution » tenue dans des discours

Est-ce pour faire épate en servile basse-cour 

Et par fausse passion jouer sa propre musique ?

Voir ce qu'il démontre : ce Cheikh préméditant

Conseils au « pauvr' monstre » celui-ci serait content :

Il faut mettre en échec cette Terre Promise

Et Goliath aussi sec refonde dans sa mise

L'ennemi qu'il lui faut à tout prix ségréguer

Avec parole-faux pour qu'enfin il s'égaye


A tout désespérer il joue avec croyance

Et en ses tours serrés il loue une vengeance

Provoquant un grand mal qui lui sert d'ennemi

O Guerre Banale plantée avec semis

Il installe la peur dans tout son propre peuple

Exorcise son cœur le faisant chanter paix

Entraîne sa douleur montrant avec épée :

« Sa Terre occuper »- « mettre aux fers –  tuer bœuf qui beugle »

mercredi 26 mai 2021

"Vérité ! Blesse Les Faux-Fuyants" poème du 27-05-2021



Paris Le 26-05-2021


VÉRITÉ ! BLESSE LES FAUX-FUYANTS !


Son temps spolié – son temps bafoué... Les murs Les murs

Peuple délié – peuple floué... Épure Épure

Pour puissants qui volent pour le sang et le sol

Faux mythe salvateur rehausse la violence

En cité pour la peur pour qu'elle ose vengeance

Et perde toute paix : l'espoir et sa parole

Pour puissants paix c'est guerre en ce clapet qui serre

Le si triste miroir en si profonds abîmes

De grande mémoire pour qu'elle s'assassine

Ignorant révoltés qu'un enfer tue et tait


Qui dit la vérité doit être exécuté

« Hitler ne voulait pas la « solution finale » » 1)

Qui atterre nos pas ? Qu'un prince bien banal

Portant haut l'étoile pose ainsi un grand voile

Sur l'histoire réelle et déchire sa toile

Peut casser la mémoire et orchestrer l'oubli

Et dans cette moire mettre son peuple au pli :


(Ce que pourrait dire ce prince) :

Vous pouvez me croire je suis le commandeur

Et votre unique ciel suivez donc mes ardeurs

Une seule religion un seul peuple en Loi 2)

C'est celle de Talion pour tous ces ennemis

Qui vouent à destruction notre terre Bon Droit

Et s'ils veulent garder lopin et leurs semis 3)

Et s'ils veulent garder grappin sur leurs maisons

Quand nous le voulons chassons-les sans rémission

Cela est notre bien c'est pour notre nation

Et quant aux rébellions sur la ville prison

Non ! Ce n'est vraiment rien si on sait les mater


Moi je défends vos liens en ma guerre sacrée

Même si naguère certains ont hésité

J'ai planté fers en terre ils sont si bien ancrés

Qu'on ne peut les lever qu'en brisant notre loi

Car oui ! Vous le savez ! Je suis bien votre roi

Tant-pis pour le veau d'or que j'ai vraiment servi 4)

Il est Là dans mon trésor et ma guerre est envie

Si nécessaire à famille travail patrie

Et fournit affaires pour fourmis aguerries

(fin du discours du prince)

FIN DU POÈME

Notes 1) Discours de 2015 – 2) Nouveau Préambule à la Constitution – 3) Loi sur l'interdiction du boycott des occupations – 4) Faits notoires et prouvés de corruption

 

mardi 25 mai 2021

LE PAPE ET LA MAFIA Sur Arte tv

 

https://www.arte.tv/fr/videos/057254-000-A/le-pape-et-la-mafia/

"Avons-Nous Attrapé Un Charme ? " Poème du 25-05-2021


 




Paris Le 25-05-2021


AVONS-NOUS ATTRAPE UN CHARME ?




Si le vent arrache du ciel des grains de pluie

Soleil en panache torsade en les nuages

Ce si fier mois de mai qui clame l'aujourd'hui

En pt'tis clins d’œil tramés dans notre paysage


Valsent lumière et ombre en arbres émeraude

Et de nouveau : la trombe au suif tombant en pierre

Vous dites giboulées Oui ! Mars était-ce hier ?

Oui ! Ces traînées de lait – las ! De pluie Vous taraudent ?


Ce temps est si fébrile en la chair de nos vies

Qu'il lui laisse un frisson mais nous tenons en l'âme

De quoi aimer ville comme la belle Dame

De tant de nos chansons qu'elle nous a ravies


La peau du ciel urbain est à notre bohème

Notre aubépine en pain de tout espoir piqué

De révolte à venir si par simple poème

Nous pouvons bien quérir plein charme qui égaie

lundi 24 mai 2021

"INSTANT A PENSER VIF DANS LE VENT ET LE SOLEIL A PARIS" Poème du 24-05-2021


 




Paris Le 24-05-2021



INSTANT A PENSER VIF DANS LE VENT ET LE SOLEIL EN PARIS




Assoupi dans l'instant tu mouchettes l'ennui

Qui halète en ce temps et s'apaise en le bruit

Puis – sans un sous vaillant – orchestrant ses vraies spires

Tu vas te réveillant – lançant ce qui inspire


Et le ciel fécondé au vent et au soleil

Vient alors seconder doux partage de voix

Sur la terrasse vive où l'on mange et l'on boit

Temps vide qui s'esquive au creux de notre éveil


C'est Paris propulsé en une belle allure

Où lumière lancée exacerbe Nature...

Quelque part fleurissent encore des appels

Oui ! Qu'on les chérisse – les prenant à la pelle


Ne pas tordre au passé la vie où frise monde

C'est à l'élire assez aux avis qui le sondent

Qu'en présent corps surgit Désir qui le féconde

Où de tout arbre agit le présent qui abonde


On en aura fini pour l'actuel qui le ronge

Avec pauvre déni de tous les simulacres

En laissant bien passer pas et paroles âcres

Qui fulminent assez de ne pouvoir tuer songes


Le dur crime décime et le fin mal s'étale :

Horreur jusqu'en cime – chutant au piédestal

Des princes spéculant sur pire : « encore ailleurs »

Leur criminel élan tire envie du malheur



Qu'on ne les entende par ici ces médiocres

Que la musique tende à tous les effacer

Nous que le bonheur attire hors de leur vain socle :

Cœurs et raisons virent en nos êtres - assez

samedi 22 mai 2021

"DE SI PAUVRE PUISSANCE ET SI CONTRE NATURE" Poème du 22-05-2021


 




Paris Le 22-05-2021


DE SI PAUVRE PUISSANCE ET SI CONTRE NATURE



N'entre pas en guerre des oracles frondeurs

Il n'y a miracle qui ne soit à douleur

Car tout événement vient après catastrophe

Toute gageure ment dans sa trop riche étoffe


Fais en sorte qu'advienne en un corps bien chantant

Le battant de fontaine en amour qui exulte

Pour faire enfin couler le futur – sans insulte

A l'âme où s'est hâlé son remous dans l'instant


Le ciel n'est vénéneux qu'en ce monde endurci

Où un fiel immonde lui fait nœud sans Mercie

Là où il se relie au brasier qui fulmine

Au clavier qui se lit en pôle où il culmine


Mais prince qui agite aux drapeaux des puissances

L'argent qui les rince ruinant la peau du ciel

A faire ruisseler le sang dans la croissance

Pousse là à couler de la terre sa bielle


Le sang et la sueur de tous les innocents

Réveillent la lueur qui contre toutes guerres

Démontre la limite au cœur des « tout-puissants »

Qui ne nous habite : la rancœur pour affaires


Car là nul concordat d'églises bien souveraines

Aux bulles ne céda jamais leur sainte arène

En sauvage guerre par peuple interposé...

Mais il suffit d'un air bien métamorphosé :


Des levées civiles aux corps recommencés

En citadelle vile où encore pavoisent

Contre la belle paix ces grands guerriers qui toisent

En deniers et épées violence qui leur sied


Il n'est qu'à tenir tête en temps accélérés

Le vent en tempête soufflera là encore

Encore au rythme phare où l'océan si fort

Brusquera rive à part des puissants affairés


Et si vague après vague on reprend tout aux princes

Leur fausse paix s'élague en un charroi si mince

De si pauvre puissance et si contre nature

Que dans leur inconscience ils perdent le futur

vendredi 21 mai 2021

" Le Sens Dénudé" Poème du 21-05-2021




Paris Le 21-05-2021



LE SENS DÉNUDÉ



Je vais désopilé mordre ma mort au corps

Et casser tout le laid qui fait tordre lumière

Et ne le regarder qu'au tu de la misère

Pour ne plus le garder au silence d'un port



Et le sens dénudé aux confins d'horizon

Fera en chair céder ce qui aux nerfs défaille

Au bruit de l'oppression et en ses fers défaille

La petite passion de dorer sa prison



Que le mensonge usé : « la vie est insensée »

Ne fait songes raser l'habitacle des choses

C'est ce qui aux maisons tient spectacle de roses -

Rend sève à la raison grâce aux bruits de pensées



Ma misère volage habite le grand monde

J'y creuse un paysage où roussit le soleil

Dans le monde des soirs où fleurissent mes veilles

Et je sais toujours boire à la moindre des rondes



Mon vers est aux pachas : pauvre et déliquescent

Je souffle comme un chat empruntant ses accents

Contre toute aversion – de mon p'tit coin je saute

Et sans malversation j'ai fait le point – je trotte



Je ne hurlerai pas comme loup en tanière

Avec ciel en mes pas je franchis toute ornière

Sur route décadente en y cueillant la joie

Qui n'est en attente de promesses de roi



Oui ! Un chant monocorde est trop à l'unisson

Il n'est dans mes cordes d'en faire une chanson

Mon mètre expatrié – j'aime toujours que danse

A aucun maître lié : la misère qui pense


 

jeudi 20 mai 2021

"A La Croisée Des Chemins Je Chante" poème du 20-05- 2021


 




A Paris Le 20-05-2021




A LA CROISÉE DES CHEMINS JE CHANTE



Hors éphémérides à couper au ciseau

Se creuseront rides sur ma peau d'oiseau libre

Avec mon temps rivé dans mon corps en biseaux

Tout pour l'instant rêvé qui dans mon être vibre :



A arracher montagne en ma pauvre sueur

A soulever campagne en ma plume vorace

Jusqu'à l'océan-ville où laisser humble trace

Je chante non-servile en petites lueurs :



Pour ce temps si espiègle à liquider nos lunes

Qu'un autre temps du siècle est en train d'épouser

Pour lesquelles se fonde un autre monde immune

A l'horizon d'un sens qui ne va s'épuiser

"L'Ancillaire Beauté De Paris" Poème du 20-05-2021





A Paris Le 20-05-2021



L'ANCILLAIRE BEAUTÉ DE PARIS




La souveraineté solaire au p'tit matin

Affranchit au grand air les murs de leur grisaille

L'ancillaire beauté : Paris aux épousailles

D'azur n'est pas hantée en trafic qui l'étreint



Ton temps vaticine pour le chant solitaire

Qui doucement s'avine en croisée du travail

Ta parole voltige en la maille de pierre

Lentement elle érige en Mai les retrouvailles :



Celles des terrasses qui s'étaient évanouies

Celles bien tenaces de la paix des révoltes

Que Prince n'a pu vaincre en sa profonde nuit

Et maintenant l'on trinque aux futures récoltes



Et c'est à la levée des roses printanières

Qu'en espoir bien lavé par la « chose publique »

On s'emploie redressé par un anniversaire :

La Commune dressée avec le merle attique



Le petit vent qui monte en portant les rumeurs

Dans la ville sonde la portée de tous cœurs

Où l'on ne s'époumone à les faire valser

Contre l'oubli qui sonne à vouloir les vexer

 

mercredi 19 mai 2021

"UN SOUFFLE EN FRUIT DE LA PAIX" Poème du 20-05-2021




A Paris Le 20-05-2021


UN SOUFFLE EN FRUIT DE LA PAIX



Ton chant toujours vainqueur des illusions perdues

Déshabille en un cœur ta guerre ainsi indue

Et son fruit pour la joie en ton corps ne s'absente

Même si tu la bois reste dans son attente

Qu'en une seule heure – gardant éternité

Il ramasse bonheur c'est lot de sa beauté

 

lundi 17 mai 2021

UN ENSEMBLE DE PERCUSSIONS REMARQUABLE Dans sa cohérence, ses sonorités et son rythme

https://www.arte.tv/fr/videos/098594-000-A/the-big-three-grubinger-the-percussive-planet-ensemble/ 

samedi 15 mai 2021

"Contre L'Indécent Musée" Poème du 15-05-2021





Paris Le 15-05-2021



CONTRE L’INDÉCENT MUSÉE



La terre est inféconde au musée d'aujourd'hui

Qui fabrique l'immonde en y tuant ses fruits

Et bientôt le désert qui flirte avec la nuit ?

Fini donc le bon air ? Achevé avec bruit ?



Mais se lèvent des voix là : au futur promises

Elles indiquent la voie qui est déjà de mise :

En finir avec guerre à la Nature et l'Homme

Où Capital et fers sont à l'ancienne Rome

Ce que règne du faux est toujours aux empires :

Décadence des sots que l'oppression attire !

 

jeudi 13 mai 2021

Poème : Pour Certains : Le Paradis Avec La Guerre A Côté : A Tout Prix




A Paris - Le 14-05-2021




POUR CERTAINS : LE PARADIS AVEC LA GUERRE A CÔTE : A TOUT PRIX !



De sa tendre chair bondit le char de ses sens

Qui de ses nerfs abonde y serrant sa vitesse :

Cause de guerre en soi que cette vraie présence

Où l'autre qui le voit l'éprouve avec bassesse



Car c'est bien cet autre qui plonge son instinct

Violent et se vautre – rongeant l'os de sa guerre

Dont il est l'amant : il est si fier : il le tient

Ce si pauvre dément qu'il veut mettre à ses fers



Car l'autre n'est pas seul – il garde tout son clan

Mais il est bien veule car il ne tient élan

Qu'en amour du conflit avec ceux qui ne pensent

Tout à fait comme lui basant tout sur vengeance



Tranquille ici ?– Ailleurs il tue sans plus vergogne

Tout ce qui n'a pas l'heur de bien lui ressembler

Approuvant le voleur pour un État qui cogne

Il veut bien sûr malheur pour ceux qui l'ont ciblé !

 

mercredi 12 mai 2021

(Place de La Nation) "Retendu : Ce Vol d'Air en Résistance" Poème du 12-05-2021


 




A Paris Le 12-05-2021




RETENDU : CE VOL D'AIR EN RÉSISTANCE





Si de cette bouche cratère travail sort

Ce n'est comme mouches brûlées par le sommeil

Mais en sel de la terre hanté par le soleil

Qui en mai de bel air peut le rendre plus fort




Les marronniers fleuris ne sont des lilas blancs

Mais Paris les chérit avec tendre Marianne

Qui d'un œil attendri nous lance son élan

La Justice sourit à travers sa belle âme




Et le trafic grossit en cercles de rumeurs

Mais nous disons merci au ciel qui l'apprivoise

De haleur chaude qui nous transforme en rameurs

Comme en fraîche émeraude où la place pavoise




La distance qu'on prend roule en charivari

Transporté on se rend au moule de présence

Où se coule l'instant de ce siècle en pari

Qui de p'tits riens retend vol d'air en résistance

mardi 11 mai 2021

LA VOIX ARRACHEE AU VIDE


 




Paris Le 11-05-2021



LA VOIX ARRACHÉE AU VIDE




Je vais en conquête des printemps partagés

Brûlant en ma fête les instants de lumière

Incendiant l'habitude où tempête la guerre

Je loue ma certitude en un bail au viager

Je : ne suis qu'épine plantée en chair du vide

Tout mon cosmos s'abîme en son retrait liquide




Écoutant le merle se refait-on chanson

C'est doux bruit qui scelle l'horizon de la ville

En appui qu'il donne au resserrement des fils

Entre souffle qui sonne et éclats de raison

Puis – entré dans la nuit – revenant au silence

On se dit : plume luit contre vorace absence




Et le rêve aux cendres ne se consumant pas

On rentre en ce ventre d'amitié fraternelle

En écho du chuintement à travers la ruelle

Pour voix glissant s'armant de tendresse en leurs pas

C'est pour la maisonnée victoire à l'arraché

D'entendre espoir qui naît dans leurs rires cachés




Puis : Vide sous paroi du sens dans le silence

Qui a rides en poids sur ma peau repliée

Mais – là : l'avalisant en turgescente essence

Qui donc va balisant en écorces liées

Tous les beaux fruits du monde en ce cri déjeté

Qui – dans l'huis des rondes – ouvre hasard de tous dés




Et bonne fortune n'entend cette musique

Qui battant en lune le retour de raison

Sans horizon pour prince – allume et tout repique

Dans l'eau qui nous rince : plans de rêve en chansons...

En nuit qui avance le vide est constructeur

Dilapidant la chance où courent ses tuteurs

lundi 10 mai 2021

INFORMATIONS RELATIVES AUX VACCINS ANTI-COVID ET AU CONTRÔLE BIO-SANITAIRE

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« 4000 décès après vaccination, ce ne peut être une coïncidence. »

by brunobertezautresmondes

L’ancien Vice-Président de Pfizer qualifie de « mensonge » la présomption de coïncidence concernant les décès après vaccination COVID-19. — Le blog de Skidmark

7 mai 2021

L’ancien Vice-Président et Directeur Scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, a qualifié aujourd’hui de «mensonge» la présomption de coïncidence concernant les morts qui interviennent après vaccination contre le COVID-19.

«Tandis que la vaccination contre le COVID-19 implique un grand nombre de gens, nous vaccinons habituellement tellement de personnes contre tant d’agents pathogènes qu’il est impossible de rendre compte de l’augmentation du nombre de décès signalés au VAERS après le COVID-19 uniquement sur la base du nombre de personnes vaccinées, »déclare-t-il.

« Ceux qui contestent [le lien avec] les près de 4.000 décès après vaccination contre le COVID-19 aux États-Unis disent généralement que « ces rapports ne prétendent pas montrer un lien de causalité. C’est juste une coïncidence », déclare Yeadon.

«La réplique à ce mensonge est que, si c’est une simple coïncidence, c’est-à-dire que les gens meurent [en temps normal] et si on vaccine X personnes, on obtient un certain nombre de décès par l’effet du hasard.

«Eh bien, oui, c’est vrai. Mais ce qui n’est pas vrai, c’est que cette très forte augmentation des décès suite à la vaccination contre le COVID-19 est une simple coïncidence. Si c’était le cas, alors le nombre de décès suivrait le même rythme, la même proportion dans la population vaccinée, comme on le verrait dans le VAERS.

« Et ce n’est PAS ce que le VAERS nous dit. Au lieu de cela, presque TOUS les décès signalés peu de temps après la vaccination interviennent après la vaccination COVID-19. »

Yeadon poursuit : «Ce qu’il y a de choquant dans les données statistiques c’est que près de 99% des décès signalés au VAERS après vaccination sont survenus après la vaccination COVID-19.

« Les 1% restant concernaient TOUS LES AUTRES VACCINS COMBINÉS.

« Quiconque refuse maintenant de l’admettre est un « théoricien de la coïncidence ». »

Yeadon poursuit en mettant en garde contre les ramifications du «Passeport Vert», le qualifiant d’«apartheid médical illégal» : «Il est très important que les gens comprennent ce qui se passe.

«L’intention est d’imposer partout des passeports vaccinaux. Mais c’est un subterfuge. Il s’agit du premier système d’identification numérique de format commun et interopérable à l’échelle mondiale, qui comprend un indicateur de santé modifiable (vacciné, O ou N).

«Cela ne change rien sur le plan de la sécurité individuelle. Si on est vacciné, on est protégé et on n’est pas plus en sécurité si on connait le statut immunitaire des autres.

« Comme en Israël, on sera obligé de présenter un VaxPass valide pour accéder à des installations définies ou pour accéder à des services. Pas de VaxPass, on est refusé.

«Ce système n’a besoin d’inclure que 50% + de la population adulte pour se mettre en place, vu son énorme pouvoir coercitif sur les non-vaccinés.

«C’est un apartheid médical illégal.

«S’ils réussissent, cela ne servira à rien de le refuser; ils passeront à l’étape suivante, et la minorité sera exclue.

« Un système VaxPass comme celui-ci donnera à ceux qui contrôlent la base de données et ses algorithmes un CONTRÔLE TOTALITAIRE TYRANNIQUE sur nous tous.

«La SEULE façon d’arrêter ce cauchemar biosécuritaire est de NE PAS SE FAIRE VACCINER POUR DES RAISONS NON-MÉDICALES !!!

« Je crains que, si nos adversaires réussissent à obtenir ce contrôle absolu, ils l’utilisent pour nuire à la population. Il n’y a pas de limite au mal qui découlera de cet objectif stratégique. »

L’ancien Directeur Scientifique de Pfizer conclut par un plaidoyer: «NE PERMETTEZ PAS À CE SYSTÈME DE DÉMARRER, car il deviendra impossible à arrêter ensuite.

« Un exemple : votre VaxPass émet un bip, vous demandant de participer à votre 3e, 4e ou 5e vaccin de rappel ou anti-variant. Sinon, votre VaxPass expirera et fera de vous une personne exclue, incapable d’accéder à sa propre vie.

«Quel choix vous restera-t-il?

« Aucun. Vous serez sous contrôle. Pour toujours. »

L’ancien Vice-Président de Pfizer qualifie de « mensonge » la présomption de coïncidence concernant les décès après vaccination COVID-19. — Le blog de Skidmark

 

NOUS SOMMES LES FLEURS - WE ARE THE FLOWERS - WIR SIND DIE BLUMEN Poème du 10-05-2021





Paris Le 10-05-2021




NOUS SOMMES LES FLEURS

WE ARE THE FLOWERS

WIR SIND DIE BLUMEN




Oui ! Nous façonnerons un monde

A hauteur de notre présent

Que nul aveu–prière immonde

Ne peuvent rendre si plaisant




We–together - from a short fall

Will kiss the full heart of a call

By climbing again our dream

For the whole flow of a great stream




A chair des choses en déchet

Cueillons la rose sans cacher

Tous les piquants qui la protègent

Nous en ferons boule de neige




Kannt man wieder es bedeuten :

Wir ohne Plage–zusammen

Um einen Wirkel für Blumen

An ihren Kronen fest halten ?




Couronne corolle de rêves

Elle en tête de toutes fleurs

N'est en quête vraie d'aucun leurre

Elle souligne la vie brève




And she has no king for value

No hope except for human being

Yes ! The flower caught her for you

The spring's colour that you're seing




Et le pourtour instantané

De tout un présent qui s'anime

Glisse en ses tours non surannés

Dans les fleurons les plus intimes




Wieder und wieder die Schönheit

Wie eins mit wirklichen Wahrheit

Schallen immer unsern Körpern

In Plötzlichen Purpurwörtern !




Where we can find ever again

Le bruit relevé de nos peines

Wo hier und her hören wir zu

Le chant constant coulant dessous

La face-monde qui s'ébrèche

Sowie es gang mit der Breche

It's breaking ever more the end

Où nous pensions aller nous scindre




Ever more – Immer mehr- En plus :

Que jamais au prince ne plusse

Voir son histoire disparaître

Dans la gloire des fleurs à naître

 

dimanche 2 mai 2021

Patrick Marcland, Mazeppa, monodrame pour soprano et petit ensemble (1èr...

Classical Music for Reading - Mozart, Chopin, Debussy, Tchaikovsky...

Le Celan des philosophes

SUR TA CHAIR LISSE SE LIT ENCORE TOUT UN MONDE




Le 6-05-2020





SUR SA CHAIR LISSÉE SE LIT ENCORE TOUT UN MONDE




Du vermeil des roses je me hisse vers toi

Du soleil j'apprends à épousseter les ombres

Et recueille son instant passé sur les toits

Puis je t'accueille à distance de ses décombres



De ma fenêtre l'obscur disperse les bruits

Sauf celui du malin merle qui nuit annonce...

Ton être musique en silence comme en puits :

Pique salpêtre aux murs y mêlant sa semonce



Mais ton étoile ne se consumera pas

Vénus sur Paris a beau être dans un voile

Elle est la cavalière-muse de mes pas

Toi ! Dans l'apparaître non usé de ma toile



Des naseaux de Pégase tu as aspiré

Le souffle et tu l'as fait valser dans les genièvres

Puis l'alcool de tes baisers m'est monté aux lèvres

Que j'ai marouflées dans un vase de spirées



Rien oublié de ce furieux coup de hasard

Car les ailes curieuses de ton art limpide

M'ont lié à ce rempart contre les yeux du vide

C'était le pied volant en lumière d'un phare



Paris cette nuit – en poème naviguant !

M'aidant d'un pari qui luit à travers des vagues

Celui d'essaimer la vérité qui s'élague

Au puits de ton amour : je vais là l'irriguant