mardi 31 août 2021

Jean Luc NANCY se livre sur France Culture

" LONGUE VEILLE EN PARTAGE : TRANSCENDANCE IMMANENTE" Poème dit sur SoundCloud

 

"LONGUE VEILLE EN PARTAGE : TRANSCENDANCE IMMANENTE" Poème du 1er Septembre 2021


 




Paris Le 1er Septembre 2021


LONGUE VEILLE EN PARTAGE : TRANSCENDANCE IMMANENTE




Feutre fauve d'azur sur les murs : transcendance

Dans l'obscur qui hachure aux lampes le boulevard

Paroxystique instant d'une lumière d'art

Qui contre ombre se tend affranchie des distances


Puis tous les feux : la nuit qui juste ici féconde

En guirlande aux amis qui hors ennui au monde

Rayonnent du partage de la parole en jeu

Qui comme un grand gage toutes et tous émeut


Avec un p'tit vent qui roule à l'épaule en froid songe

Et savant qui s'y moule : on est quand on le ronge

On tient la vie dans ses bras on renaît bien en corps

En puisant dans ses ébats ce qui chante en accords


La nuit peut s'ébrouer – elle offre la veille

On est alors voué à y casser sommeil

Le trafic s'efface tout progressivement

Du boulevard où tracent aux trottoirs les amants


Et jeunesse aux anges vient lever ses souvenirs

Car ce qui la démange est fruit de leur avenir

Sur ce qui leur sourit : pleins feux sur sa lumière

Sa source dans Paris ne lui fait pas la guerre


Ils plongent dans la nuit tout l'espoir qui les prend

Et sur elle s'appuient aimant ce qu'elle apprend

Le sombre se dérobe au partage vivace

Et l'instant enrobe la beauté de ses traces

Jean Luc NANCY s'est éteint . Article de Jean Christophe BAILLY pour nous le donner encore à penser.

https://aoc.media/critique/2021/08/29/meme-louvert-se-referme-sur-la-disparition-de-jean-luc-nancy/

lundi 30 août 2021

BOB DYLAN Sur Spotify

 

https://souffleauvent.wordpress.com/2021/08/31/bob-dylan-sur-spotify/

"LONG INSTANT SOURCIER EN PARIS" Poème du 31-08-2021


 




Paris Le 31-08-2021




LONG INSTANT SOURCIER EN PARIS



Dans la fraîcheur du soir je me moule en Paris

Qui me pousse à m'asseoir en ce qui roule et rit

Au cœur de ces choses moulées comme des roses

Qui m'inventent en pause escaladant mes causes


D'où croisant lumière mauve de ce grand phare

Je suis l'anti-prière agenouillant mon art...

Deux femmes chuchotent récitant leurs amours

Rencontrant le miroir de cette nuit si tendre

Où leurs rires sautent éclairant l'air autour

D'un désir brûlant cendre en cherchant à l'y tendre


L'ami dans un écart a déridé mes yeux

Puis elles s'esquivent comme l'inspiration

Et l'instant dérive en clôture du lieu

On a apprivoisé le tard avec passion


Terre chair de présence avec apesanteur

Rend l'égal de nos sens volant en train si proche

Où la nuit enfile les dernières hauteurs

Vidant places hors-île où l'au-revoir ricoche

HENRY PURCELL sur Spotify

 

https://open.spotify.com/artist/3tMLo1k3iUo82coMLWXzxq?si=MZQQKf_OSzCYgyfgXXe1Tg&dl_branch https://souffleauvent.wordpress.com/2021/08/30/henry-purcell-sur-spotify/

"La Comédie Des Erreurs Et La Trahison ! Poème du 30-08-2021


 Thénardier l'infâme croqué par VICTOR HUGO 





Paris Le 30-08-2021

Une Expérience Avec

Les Ouvriers Immigrés

Des Foyers                      LA COMÉDIE DES ERREURS ET LA TRAHISON !






Oui !Qui moque l'erreur de calcul d'un Humain

Applaudit la guerre d'injustes souverains

L'erreur du parvenu oubliant la misère

C'est de la mettre à nu en lui faisant la guerre


Il déprécie l'humain qui calcule très mal

Et se lave les mains de tout le mal banal

Oublie qui l'opprime et dans sa pauvr' vie déprime

Mais jamais ne s'arrime à qui révolte estime


Il veut des protecteurs qui lui donnent son droit

Et est bien amateur des désirs très étroits

L'erreur est son calcul élevé contre entraide

De ces gens qu'il accule et lui demandent aide


Il pille ses frères – s’acoquine aux vicieux

Déclenche rapine contre les bons et justes

Il leur prend quelque idée et joue les audacieux

Mais son sens est resté dans un calcul bien rustre


Alors désorienté en comédie d'erreurs

Marchandant liberté avec ceux qui la ferrent

On l'élit délégué pour tromper en affaires

Ses frères dans le gué qui pour leurs droits ont peur


Et il s'attise haine – joue avec tous les faux

Qui veulent tondre laine aux sans-droits en défaut

Démasqué – joue l'erreur – il moquait sans recul

En pauvre « grand seigneur » celui qui mal calcule


Oui ! Il devra payer ceux qu'il a bien volé

Cet argent gaspillé est joué : tout avalé

Ne fera donc fortune : en« Saigneur » de ses frères

Plus de fausse lune pour leur faire la guerre !

dimanche 29 août 2021

"La Jeunesse éternelle de l'Amour" Poème du 29-08-2021





Paris Le 29-08-2021


LA JEUNESSE ÉTERNELLE DE L'AMOUR



Oubliée du haut cœur sans raison définie

En horizon d'erreurs : la terre de jeunesse

Au futur ignoré de poème infini

Qui aime bien errer dans l'amour et la liesse


Oublier cette errance en combat amoureux

C'est appliquer lances contre la chair de terre

Entrer en ignorance où paix rendant heureux

Avec baiser en science – hante tout son enfer


Non !Nulle norme à l'amour sinon pour les galants

Des formes de remous rissolent en fontaines

Où jouvence toujours conquiert nouvel élan

Qui monte en ce séjour où douleur ne s'étrenne


Où meurt l'instant saisi du baiser à donner

C'est de n'avoir choisi que le temps du paraître

Où norme est puissance sans la fièvre étonnée

Prétextant patience sans les sarments de l'être


Et n'est Deux partagé en instants abolis

Dans un temps tout gagé de calculs pour le lit

Penser d'abord tendresse au moment des rencontres

C'est garder en jeunesse amour qui se raconte


Firmament des amours – étoiles continuelles

Qu'on vous joigne toujours – fabricant nouveau ciel

C'est jeunesse éternelle où le cœur ne se perd

Dans pauvres séquelles où l'on cherche s'il sert


Le vieil âge « engourdi » n'est vraiment en sa poudre

Que s'il n'est étourdi en un neuf coup de foudre

Goethe en « Abschied Nehmen » avait fait cet aveu

Ne pas dire un « Amen » à l'amour : dernier vœu !

 

samedi 28 août 2021

" D'UN CERTAIN MISANTHROPE" Poème du 28-08-2021


 




Paris Le 28-08-2021



D'UN CERTAIN MISANTHROPE



Cris confluent en parole avec cet air desséché

Que la vindicte enrôle en des mots tous acides

Dictant fausse colère où le sens si haché

Semble bien bailler l'air en taillant dans le vide


Qu'il éructe en ébats solitaires tient vie

En dispute et combats d'inconnus vis-à-vis

Comme si sur la terre il n'y avait que guerre

Et qu'Humain hors ses fers mérite son enfer


Pose vrai partagé en amers fruits de mort

Plaisirs à fustiger s'il n'est pour sa personne

Il envie à loisir ce qui ne sert son corps

Et son propre désir ne veut qu'aimer le sonne


Comme si dans leur âme il ne voyait que mal

De toutes les femmes il n'attend que le drame

Ne voit en femme amie que sentiment banal

Demeurant l'ennemie des puissants qui l'entament


Il ne sait dans son cœur ce qui fait la pensée

Pour lui « l'être inférieur » ne calcule puissance

Et serait impuissant ne sachant embrasser

Le Pouvoir « si décent » qui dicte son essence


Avec sens interlope où il tient sans arrêt

Notre Misanthrope cache une humeur servile

Qu'il habille en vertu qui lui sert à parer

A tous bons mots qui tuent tel esclave si vile

vendredi 27 août 2021

JOHN DONNE Un poète devant l'éternité sur Spotify en anglais

 

https://open.spotify.com/artist/5LbUxagwHlCSeeuk9n22zM?si=7TowB7TKTlaxn7v73RNegw&dl_branch=1 https://open.spotify.com/artist/5LbUxagwHlCSeeuk9n22zM?si=7TowB7TKTlaxn7v73RNegw&dl_branch=1&nd=1

jeudi 26 août 2021

"Poème Et Tous Les Coeurs En Aimants"





Paris Le 26-08-2021



POÈME ET TOUS LES CŒURS EN AIMANTS !



Poème bétonne la souffrance inutile

Que misère entonne sans l'espoir ni la joie

En larme monotone et chant de survie : vile

Qu'encore elle s'étonne aux beautés qu'elle voit


L'angoisse du futur épousant résistance

Dans le présent ne dure avec liens partagés

Surmonte le passé : nostalgie en errance -

Si elle aime embrasser liberté partagée


On t'a rose arrachée hallier où merle chante

On aimerait cacher chant de ce qui enchante

Est à rose et merle la misère éprouvée

Ses rêves en perles ne peuvent être entravées


Tous ses colliers d'espoir relient sens et mémoires

Individus plus chœur : musique sans miroir

Car le calcul y ment – c'est prince énormément

O Peuple va tramant tous les cœurs en aimants

 

« La Palestine au cœur » : Rencontre Mediapart aux Suds à Arles

Interview du professeur Didier Raoult sur CNEWS (23/08/21)

Joy for the Planet - Louis Fouché: LA JOIE AU TEMPS DU CORONA

mercredi 25 août 2021

"GLISSEMENTS DU SOLEIL MATINAL DANS UN CROISEMENT D'OCEAN PARISIEN" Poème du 25-08-2021


 




Paris Le 25-08-2021

A La Brasserie « Les Ogres »



GLISSEMENT DU SOLEIL DANS UN CROISEMENT D’OCÉAN PARISIEN



En équerre sur murs : lumière – azur au ciel

Puis chaux placarde pierre en façade à son aile

Puis Soleil s'est posté pour boire en rue d'en-face

Il vient dans sa beauté s'asseoir tout à sa trace


Puis touche les trottoirs en arpège qui glisse

Allège et fait bien voir brin de boulevard qu'il grise

Et pesant le moment de venir là tout prendre

Sa lumière ardemment s'allonge à l'ouest en cendres


Émeraude en éclaircie l'arbre scintille aux branches

Érodant l'ombre ici sans soleil dans sa tranche

Mais qui jazze en la rue et joue entre les murs

Et sur boulevard mue en gage du futur ?


Bientôt Un en Sun Ra il illuminera

Alors il sonnera – Flo dansera aux «Ogres »

Le Romain naviguera en sa couleur ocre

Jaune pour un gala d'empire en son aura

mardi 24 août 2021

Fauré - Germaine Thyssens-Valentin (1956) 13 Barcarolles

"LES DEUX MAMELLES POUR TIRESIAS" Poème du 24-08-2021


 




Paris Le 24-08-2021


LES DEUX MAMELLES POUR TIRESIAS



Inexpérimenté : Prince et sa liberté !!

Lui qui voue la cité à casser plus la misère !!

Il apprendrait encore en pures vérités

Lui qui livre son corps aux riches qu'il vénère ?!


Qui ment relativise et en parfait cynique

En Pouvoir pactise : Comedia Del Arte 

Nie toute égalité des différents fêtés

Joue la fraternité pour bien cacher l'inique


Qui prépare fascisme : opposition niée

Dans le peuple qui trime – traité d’extrémistes

Et conspue les chômeurs dont les droits sont sciés

Veut que les vieux meurent sans repos ni limite


Pour police augmente : Deux milliards : l'arsenal

Et pique monstre fortune à notre hôpital

Moquant la Misère qui réduit l 'APL

L'étudiant galère paie trois fois plus l'écuelle


Et toujours le même traitant en terroristes

Qui la « patience » aime crève yeux extrémistes

Sa guerre on ne la voit ? Sa terreur est flagrante

Faux aveugle le croit : intérêts pour prébendes ?


Même pas : il prend peur de la colère juste

Qui n'est pas la terreur contre quoi il se bute

Peur de tout : consensus – ressentiment et plainte

Que jamais il pusse sortir de cette étreinte


Aux diktats du Prince s'appuyer sur mouvements

Pour le prendre en ses pinces en ses « guns » où il ment

Jeune est bien ce prince – son unique expérience

Est pouvoir qui le rince en un unique sens


Il est déjà bien vieux et attend La Marine

Qu'il double à ses « beaux yeux » dans des lois de vrai crime

Marine : « des pauvres ont un devoir moral :

Empêcher qu'on sauve frère immigré: le mal » !?


Or la France est Une : ce que le prince nie

Quand il s'oppose immune à l'errant démuni

Il joue pour Marine car ne veut voir Misère

Au Pays qu'il abîme : pauvre effroi : notre terre !!


« Séparatisme » quoi ? – Marine joue tout contre

«La violence s'accroît » : l'islam plus ceux qui montrent

Avec démocrates contre les mêmes partis

Du vide autocrate qu'ils sont en « belle partie »


Pour peuple casser droit – le prince s'y prépare

Marine est à l'étroit : « sang et sol » dare-dare

Ils ont commune haine en jeunes des cités

Et tondent la laine à qui craint liberté


Tous deux n'aiment justice pour l'égal – le libre :

Corrompus en lice pour châteaux où ils vibrent

Certains – autre casquette aimeraient les doubler

Avec France en musette et Pétain bien ciblé


Prince tel Pétain assume miracle à Lourdes

La France il résume - pour lui ce n'est pas bourde

« Fille aînée de l’Église » est en foi qu'il balise

On voit bien sa mise en tous ces gens qu'il vise


Mais nier pays réel n'a qu'un temps plutôt court

Ce n'est Misère au ciel ni Pétain jouer qui sauvent

Une constitution élaborée par peuple

En mouvement d'attrait vaincra ces viles poulpes

lundi 23 août 2021

"Ciel De Paris Juste Après Couché De Soleil Evolue Vers La Nuit - Portant Bien Notre Veille" Poème du 22-08-2021


 




Paris Le 22-08-2021



CIEL DE PARIS JUSTE APRÈS COUCHER DE SOLEIL

ÉVOLUE VERS LA NUIT – PORTANT BIEN NOTRE VEILLE




Au loin : obscure nuée – proche : ciel en orange

Proxime : miel en suée tient blanc-gris en traits d'ange

Traversé par des vols d'oiseaux en sa lumière

Il remue contre sol – gravite au gris de pierre


Puis – rubis en son fond – effaçant ses variances

Qui – mates se refont – y trace un bleu d'essence

Là – l'arbre-émeraude auréole les murs

Comme s'il les érode aux couloirs de l'azur


S'élancent non émues : voix en sens qui dénudent

La ville qui remue et tout silence éludent

Le rouge en horizon encore se maintient

Bouge ! Vive raison au cœur de nuit qui vient


Traits bleu-roi triomphants entre tâches bien noires

Dont la plaque se fend... Rubis sur fond d'ivoire...

Puis nuit tu portes voix résonnant entre lampes

Où suif du ciel s'envoie dans leur bruit qui s'y trempe

dimanche 22 août 2021

"CONTRE LA PESANTEUR : LES VOIX" Poème du 21-08-2021


 




Paris Le 21-08-2021

Brasserie « Les Ogres »



CONTRE LA PESANTEUR : LES VOIX



Dans la nuit de Paris – en éclats : les voix dansent

Avec tous les sens nourris d'enfilade : on y pense

Seul à seul en leur rythme on avance on sourit

Musique qui s'arrime en présence est féerie


Dans la fugue de veille : en verbe : non assis

Que les voix s'essayent à alléger soucis

Lancent susurrement – alors rires aux corps : fusent

Mais en étirement la danse des voix s'use


Leur ballet s'écartèle en corde de la nuit

Quand l'heure se ficelle au tard d'après-minuit

Heure de scène pliée où des cœurs s'abandonnent

A plus se relier à grâce en fleurs qui sonnent


C'est pesanteur du temps qu'arrache bien l'instant

A belle étoile on tend – Paris : sa voix s'étend

Qui va – entre en désirs et les lève en des rêves

Où Paris – belle Elvire instille belle sève

vendredi 20 août 2021

"Pour Bien Faire Rimer Paix Avec Liberté Arrimer Tout Son Coeur A Toute La Beauté" Poème du 20-08-2021


 



Paris Le 20-08-2021



POUR BIEN FAIRE RIMER PAIX AVEC LIBERTÉ

ARRIMER TOUT SON CŒUR A TOUTE LA BEAUTÉ



Si ton cœur elle anime entends-tu cette paix

N'attends qu'elle s'arrime à rancœur contre épées

Avec ressentiment trace bien ta rupture

Car toujours plus il ment – Ton futur est Nature


Et dans la solitude écouter la beauté

Est à l'altitude de la vraie liberté

Avec elle on avance avec gens sur la route

De sa résistance qui la guerre déboute


Et c'est son partage – radicalement seul

Qu'humain en courage aime sans être veule

Hors-guerre qui mène mal-corps en son domaine

Le poème se sème avec belle fontaine


C'est fleur du silence – Sens quand elle est flétrie

En son innocence vous vous perdez meurtris !

Lors en votre science le savoir sans confiance

Laisse voix d'essences pour pouvoir sans présence


L'aimer sans la dissoudre en pauvre altérité

Quand elle cherche sa poudre en son fruit-liberté

S'attendre sans plus haine à ce qu'on tende chaînes

Aux mains à fontaine qui coule hors des arènes

mercredi 18 août 2021

Vaccin et variant Delta

"LE MUR INVISIBLE" UN FILM Arte d'une dimension poétique certaine avec des implications philosophiques incontournables

https://www.arte.tv/fr/videos/041337-000-A/le-mur-invisible/

L’Univers (Partie 1/11). Cours « tout public » Aurélien Barrau. Introduc...

Un poème inédit phrasé-chanté sur SounCloud

"L'Arc-En-Ciel Du Juste Dans Le Feu Pacifique De La Colère" Poème dit sur SoundCloud

 

"L'Arc-En-Ciel Du Juste Dans Le Feu Pacifique De La Colère" Poème du 18-08-2021


 




Paris Le 18-08-2021



L'ARC-EN CIEL DU JUSTE DANS LE FEU PACIFIQUE DE LA COLÈRE



Qui fait fleurir guerre pour un peu de lumière

Fait s'assombrir sa terre en bourgeons non éclos

Dont la racine pourrie meurt sous éclats de fer

Sous un ciel équarri qui en feu noie en flots


Cette colère au vent fait pétiller des flammes

Où remue le Savant pris entre feu et eau

L'on pourrait le chanter pour relever son âme

Qui n'avait vu beauté être mise à zéro


Prendre avec cet ami les fruits du vrai partage

Éteint feu au tamis où passent les beaux airs

Qui ne sont pas bloqués au milieu de la rage

Et redonne la clef des ferments de lumière


Dans les feux de la guerre à poursuivre l'impur

On perd la lumière – on perd l'arc-en-ciel du juste

Les amis de la paix sont socle le plus dur

Pour empêcher l'épée de tout fendre au feu rustre


Seule colère à tenir : Contre qui réduit vie

A nuit sans plus fleurir : mettre sous l'éclairage

Du Juste sous la rampe en effets de partage

Rayonnant sous lampes du Poème Ravi

lundi 16 août 2021

"Cynisme Et Ultra-Religieux Face A La Science Réelle et Appuis Des Princes





Paris Le 17-08-2021




CYNISME ET ULTRA-RELIGIEUX FACE A LA SCIENCE RÉELLE ET APPUIS DES PRINCES





Qui nie que le soleil projette ombres sur murs

Non n'est pas en veille et casse bien tout l'éveil :

Cynique théâtral avocat d'un sommeil

En machine banale au pouvoir dans le dur


Qu'attraction de terre rompe avec religion

Et soit pour elle enfer - cyniques ne voient question

Or c'est corps de soleil qui en est l'origine

Mais qui encore veille sur les sources divines ?


Que la lumière soit source en métamorphoses

Et qu'il y ait une course du temps dans les choses

Religieux voit ragots - cynique y voit chaos

D'univers niant l'écho ils parlent de vains « mots »


La cellule et l'atome : tout dans la musique

Jusqu'au petit Homme : Déribonucléïque !

Doute sur l'origine ? Il fait bien les choux gras

De croyance intestine où cynique a bout de gras


Du génie génétique : sélection naturelle

Ce n'est même musique avec Homme réel

Car qui voit génies donnés dans de rares gènes

Confond avec manie Homme animal sur scène


Religieux crie aux dons cynique y voit la force

Pour tous deux : l'étalon... Mais quand cela se corse ?

Ils ne doutent de rien – cynique est dans ce Rien

L'eugénisme est le bien : le pouvoir et ses liens


Plus aucun doute alors... L'or des deux se maintient

Plus de méthode et doute en la science qui cherche

Elle est calcul qui coûte à ces si sérieux derches

Si Son corps est bien or technique on la paie bien


Comme dans tant d'autres et dans notre pays

Ce sont bons apôtres qui l'ont toujours haï

Mais ils sont pires ici juste pour pouvoir servile

Qui est toujours assis sur les savoirs civils



Cyniques et religieux sont dans un doute faux

Et il n'y a aucun lieu où ils ne soient offices

De la domination ou du saint sacrifice

Vérités en action sont sous leur échafaud


Dans sa grande expansion ainsi de l'univers

Jusqu'au grand infini et même en son envers :

Au petit infini : limites débordées

Corps incalculables en son mouvement gardé !


La substance attribut divin a explosé

Et d'eux-mêmes imbus les cyniques crient au rien

Les religieux cherchent horloge du vrai bien

Et ces tristes derches catastrophe ont glosé


O Mathématiques célestes ouvrez voie !

Votre pensée pratique est leste en ouverture

Devant la fermeture et la grande imposture

Pour notre grand futur que les princes dévoient

 

"Atahualpa YUPANQUI" Radio sur Spotify

 

https://open.spotify.com/playlist/37i9dQZF1E4Ch0zh5U8Cxv?si=c77bb3e764704826

"L'ENNUI EN PASSION" Poème du 16-08-2021


 



Paris Le 16-08-2021


L'ENNUI EN PASSION



Un ennui en passion hors complaintes sur soi

Est dans toute attention à ce qui donne joie

Si déréglant ses sens hors existant cynique

En la belle présence il joue bien sa musique


Quand on nie que s'effeuille exténuée à leur seuil

La pensée sans l'écueil des sens qu'elle recueille

Un vide en Rien osé au faux la banalise

Et en oubli tassé le tout se néantise


Mais où est donc l'instant du partage réel

Si sans-cesse l'on tend à nier l'idéel

N'être en un pauvre ciel mais lié à beauté tendre

Montre qu'hors du faux miel on s'applique à y tendre


Si vrai ennui médite en poème où il veille

Sans sa part maudite – par lui il sème éveils

Il ne méprise l'autre et sans besoin d'apôtres

Il le jugerait banal si en mal il se vautre


Or l'ennui compassé levé contre qui pense

Ne peut embrasser l'idée qui est dans présence

Et rien n'y fait vraiment si dans son vide il ment

Il tient guerre en amant du Non-Homme aisément


Cet ennui hors des sens a besoin d'ennemis

Loin de leur présence « joue » avec faux amis

A qui se veut égal en pensées singulières

Il «veut l'original » et leur fait bien barrière


Si n'étant d'aucuns sens qu'il ne peut dérégler

Il « joue la présence » pour toujours tout régler

Cet ennui sans vérités en liberté pose

Ne la voit en Cité : égalité qui ose

dimanche 15 août 2021

"Poème Amour et Résistance" Poème du 15-08-2021


 




Paris Le 15-08-2021


POÈME AMOUR ET RÉSISTANCE



Je t'adjoins poème : tout-parties de l'amour

Et quand tu essaimes je rejoins ton séjour

Qu'importe de mourir je prie ceux qui s'aiment

De toujours me nourrir – et pour ma fin soient fontaine


Bien tarie pour vainqueurs dont le cœur est à vendre

Victoire qui écœure avec espoir à rendre

Mais que résistance renvoie à tous amants

C'est qu'en espérance ils boivent son moment


Sentir l'étroitesse de ceux qui parlent vie

Mais avec paresse sans-cesse autres envient

Car eux oublient l'amour et son séjour plus tendre

En cœurs Humains toujours sans plus rien en attendre... :


Que l'essentiel partage en la vie de tous sens

Dont une Cité sage emplie de sa présence

Raccommode bien là les sentiment sublimes

Avec un amour non las pour beauté juste et digne

samedi 14 août 2021

"De L'Innommble Relever Chair A Poème Et Du Sens Aimable Chérit Tout Ce Qu'Il sème" Poème du 14-08-2021


 




Paris Le 14-08-2021


DE L'INNOMMABLE RELEVER CHAIR A POÈME

ET DU SENS AIMABLE CHÉRIR TOUT CE QU'IL SÈME



Si tant est qu'en partage on file pour amis

Au meilleur des gages à tirer en poème

Une toile en peau lisse où tous les sens se sèment

Sans voile ils nourrissent un merveilleux semis


Quand les voix échangent paroles en pensée

Que rires se rangent du côté des lumières

On joue un peu l'ange tenant leur joie assez

En vers qui arrangent leur vie en terre entière


Et la nuit en Paris sourit bien plus profond

Dans notre âme guérie de la guerre à tout autre

Où l'Humain en corps perdu ou meurtri se vautre

Une source d'accords fait circuler son fond


On est tout découvert de monter le cheval

Qui galope en ses vers en tenant une ligne

Où on est nu mais libre en ses courses bien dignes

Où le moindre ami vibre à ce corps animal


En une âme et un corps on saisit l'incertain

Pour casser le décor des amours impossibles

Et royaume-silence hors de la mort reteint

Le séjour où s'élance le poème sensible


Exhaussant l'innommable où se couche sa chair

On touche sens aimable où lover sa brillance

Poème dans l'instant lève un rythme si cher

Que l'on tend en rêves l'abîme de présence

vendredi 13 août 2021

Lautmann et Cavaillès deux Mathématiciens novateurs et Résistants conséquents assassinés par les nazis

https://www.cairn.info/revue-philosophique-2002-3-page-293.htm

Cavaillès : Mathématicien novateur et Résistant conséquent assassiné par les nazis

http://www.sphere.univ-paris-diderot.fr/IMG/pdf/SurCavaillesV9bis.pdf

La "notion unificatrice" de topos - Olivia Caramello

Alain Connes, Les Mathématiques et la pensée en mouvement : conférence CPES

"AVOIR RAISON" Avec Germaine TILLION, l'ethnologue résitante sur France Culture

https://www.franceculture.fr/emissions/avoir-raison-avec/avoir-raison-avec-germaine-tillion

Musique proposée à aimer sur Spotify

 

https://open.spotify.com/playlist/37i9dQZEVXcOHcpv5fMP6U?si=b08d78bb42934e68 https://souffleauvent.wordpress.com/2021/08/13/musique-proposee-a-aimer-sur-spotify/

" HASARD-CANICULE : TENIR LOINTAIN AU PROCHE" - Poème du 13-08-2021


 




Paris Le 13-08-2021




HASARD-CANICULE : TENIR LOINTAIN AU PROCHE



Canicule : instant clos que frais hasard bouscule

Dans rencontres à flot où phare au temps bascule

On trouve en océan-ville où court le trafic

De quoi tirer céans des amis la musique


Naviguant à fleur d'eau on flirte avec la pierre

Au regard aussitôt où l'on heurte lumière

Demeurant dans l'ombre toute décapsulée

Par les yeux à leur comble – on expatrie le laid


S'y rangent les amis avec fleur de l'instant

Agitant au tamis d'air la chaleur du temps

Juste pour respirer au rythme d'un poème

Puis aller bien stirer dans le soir qui s'enchaîne


Jugulé par présence : enfer sans horizon

Sous ses bulles d'absence explose en la raison

Les voix monocordes perdent toutes leurs cordes

En concert s'accordent : amis qui les débordent


L'ouverture au proche tient fraîcheur du moment

Des murs elle décroche ombre qui plus ne ment

Pour le lot du partage ouvrant lointain en proche

Pour clos tournant page : ce train vers nuit rapproche

mercredi 11 août 2021

Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ?

LOI RENSEIGNEMENT : LES FRANÇAIS SOUS SURVEILLANCE

PASSE SANITAIRE : COMMENT MACRON A PRIS TOUT LE POUVOIR

"Sortir De L'Irrésolution De L'Être" Poème du 12-08-2021





Paris Le 12-08-2021



SORTIR DE L’IRRÉSOLUTION DE L' ÊTRE



L'irrésolution d'être en brûlure au silence

Est soluble au « parlêtre » en ce qui est souffrance

Découpant la parole au parchemin des lettres

Vous sauriez être école au parlement-paraître


Qu'en vitesse sur place où se glace pensée

S'offre en fait sans traces : ni futur – ni passé

Dans le temps en suspens vous ne voyez tremplin

Qu'où votre temps se pend : au vide – au trop plein


Ensemble ? Instants sans suite où parole contre l'autre

Qui pense à la fuite « d'étranges » sans apôtres

Or partagez savoirs – échangez vérité

D'être sans le pouvoir en l'instant de beauté !

 

"LE SOLEIL D'AURORE PASSE SUR PLACE EN PARIS" Poème du 10-08-2021


 




Paris Le 10-08-2021

Place De La Nation


LE SOLEIL D'AURORE PASSE SUR PLACE EN PARIS



L'insu d'ignorance n'est jamais à l'aurore

Qui instruit toute science aux vraies gammes du clair

Où valse la lumière en avant de tous corps

Jusqu'à détruire fière ombre en partage de pierre


Jouant saltimbanque un héros en soleil

Aux arbres où il tangue les émonde et bien veille

Que tienne en la place cette clarté d'airain

Ouvrant toutes traces pour éclats d'or serins


Se perd la vitesse tout autour dans le vent

Passe dans la paresse au creux-matin savant

La pierre à l'ouest attend de vêtir belle veste

De satin blanc au temps chaud venant sans plus restes


S'égaye en arc-en ciel : travail infatigable

Portant en kyrielles son sérail bien aimable

Où le bruit partage : treille en beaux fruits des rues

Où l'aurore rend sage au soleil qu'on a bu

"UN MÊME CHANT AU CLAIR DANS LA NUIT" Poème du 11-08-2021




Paris Le 11-08-2021



UN MÊME CHANT AU CLAIR DANS LA NUIT




Dans l'abracadabra d'un chant passant minuit

Le temps à bout de bras porté en la parole

Va au cœur exploser en long instant qui luit :

Musique divisée qui tient en son école


Sans course au devenir – avec fumée d'un sens

- Nostalgie d'avenir en source de présence –

    Veille est indocile pour demeurés aux sens

Portant non serviles une vraie quintessence


Ce sont les voix d'amants appelant le lointain

Et formant le ciment – trame vers le matin –

D'harmonie sans frontière – atteinte sans prière

Pour lever en terre le charme de lumière


Et qu'espace effacé dans sa courbe de temps

Résonne d'embrasser encore au fil d'instants :

Regards et corps en ligne où tant de force intime

Hors la puissance insigne – à l'univers s'arrime !


De borne au composite – en joie s'affranchissent

Œuvrant pour qui habite en un monde infini :

Ils tiennent liberté même en dehors des nids

Où belle égalité en différents : ravissent

 

dimanche 8 août 2021

"SOLEIL BRÛLANT L'ORAGE" Poème dit sur SoudCloud

"LE CHANT DE LA TERRE" G.MAHLER

https://open.spotify.com/album/1LauEyQNOIWjxHSM3ggmYR?si=8IzGWwaQQ7ecGb1DC2Wzsg&dl_branch=1

"Partage Fraternel Non Chu D'Ombre En Réel" Poème du 9-08-2021


 



Paris Le 9-8-2021



PARTAGE FRATERNEL NON CHU D'OMBRE EN RÉEL



Troubles dans le présent doublés à l'horizon

Par nuée noire arasant toits de protection sombre

Elle s'avance avec vent frais sortant de saison

Qui ne laisse en suivant la nuit qui tombe : qu'ombre


Précipité de suif aux barricades-murs

Que rend là incisif l’œillade de l'orage

Venant amadouer faux tenants du partage

Qui aiment parader et de misère n'ont cure


D'où courent nos troubles : n'oublier le moment

Qui fait un peu moins d'ombre et l'azur annonce

C'est d'un autre horizon avec coups de semonce

Qu'ils prennent leur raison prenant Chair qui ne ment


Puis la ville-lumière où serveurs de la joie

Travailleurs pour Cythère entendent bien la voix

Partage fraternel de quoi l'instant se monte

Non chu d'ombre en réel pour leur ton qui démonte

mardi 3 août 2021

Leïla SLIMANI Romancière d'origine marocaine

 

https://www.franceculture.fr/emissions/les-masterclasses/leila-slimani-lenvie-de-raconter-des-histoires-remonte-a-mes-5-ou-6-ans?actId=ebwp0YMB8s0XXev-swTWi6FWgZQt9biALyr5FYI13OpyTMrM68scRS2XEgTLR8H8&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=672419#xtor=EPR-2-[LaLettre02082021]

"VRAIMENT !!! Poème du 2-08-2021


 




Paris Le 2-08-2021



VRAIMENT !!!



Jeune prince couard : fils de Médiocrité

Il trône avare et sans plus dépense apprêtée

Prend notre économie – lui qui est « pauvre astre » au mur

Pour ses riches amis tenant désastre obscur



C'est son heure d'aveu où il se prétend roi

Et marchand de bonheur : veut-il vraiment paraître ?

Mais pour qui le malheur ? Pauvres rançonne à paître

Riches : ce sont sa gageure pour qui il fait les lois



Du haut du « poulailler » on voit l'acteur trembler

Ah ! Il sait bien piailler – il aboie – il roucoule

Après s'être raillé de quoi nous a semblé :

Drame non égayé : Résistance qui roule



Car ce si triste acteur aimerait tout casser

Et des créateurs de fric fictif embrasser

Qui lui crée dent longue juste pour qu'il décime

Peuple et sonne le gong pour le ronger aux ruines



Que pays soit théâtre avec mauvais acteurs

C'est qu'on attend un pâtre à garder qui moutonne

Sans plus d'orientation que finances qui tonnent :

Guerriers en direction du prince : ses tuteurs !

dimanche 1 août 2021

"L'Instant Non-Aboli Du Désir" Poème du 31-07-2021



Paris Le 31-07-2021


L'INSTANT NON-ABOLI DU DÉSIR



L'instant non-aboli ne court à la promesse

Toujours il fait le lit de la grande tendresse

On s'y agenouille pour l'aimée embrasser

On trouve quenouille pour filer le baiser



La paupière du temps clignote en un regard

Qui le vole et l'étend ce si délicieux art :

Au proche et au lointain : jour nuit – ombre et lumière

Et jamais ne s'éteint : chaude alcôve en la pierre



Dans les minuits calmes tout un charme retient

Ce qui luit sans plus drame où cœur du désir monte

Prenant alors le proche en élixir qui sonde

Le lointain que ne fauche vraie source qui tient


 

"Tentative De Clarté" Poème du 1er août 2021





Paris Le 1er août 2021


TENTATIVE DE CLARTÉ



Le fluide évaporé où se morfond la cause

De ce rêve éthéré fond aux pâles couleurs

Soudain Soleil lucide hausse nouvelle haleur

En veille hors-ton livide et au vif azur pose


Menuisier de lumière en charpente des choses

Tu défais leur barrière et se sentent les roses

Sur halliers de la ville où chantent non-serviles

Étourneaux habiles et merles bien civils


L'instant au corps varie – qu'ombre soit de retour

Le soleil en Paris n'a donné tous atours

Et vibrent ici les voix où mouille sa présence

C'est alors qu'il se boit en belle intermittence


Or de nouveau coiffé par d'épaisses nuées

Qui viennent parapher signature d'azur

L'astre si limpide se nourrit de la bure

Demeurant timide de l'horizon en ruées


Et tout le soir hésite à broder l'avenir

Proche et si avide d'embrocher l'inconnu

Qu'il tient à le tenir pour du ciel assainir

Les poches des nuées et les livrer à nu


Plomb fondu puis argent avec plus loin ; platine

Or ici tous les gens qu'aiguise sa patine

Se moquent qu'il varie : l'horizon de Paris

Souhaitant qu'il se marie au désir qui sourit


Les nuées menacent de faire couler le plomb

Un courant d'air trace blackboulant tout l'espace

Du soleil se couchant – rendant dans l'ombre : oblong

Son feu qui va mâchant l'horizon en sa place


Sourire latent – Terre lève-t-elle espoir

Dans l'ombre que serre ce trouble qui insiste ?

Notre nuit verra-t-elle ici trombes à boire

La lumière si belle où la ville résiste ?


Mais l'éclat de Paris ne peut être défait

Et ni même tari par pluies intempestives

En nuit elles brillent sans aucun air surfait

Près de son corps vrillent et sa lumière suivent

 

Au Brésil : Une classe de savoir et d'amour !

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