dimanche 30 avril 2023

SUC FAUX EN DURS COEURS Le 30-04-2023

Le 30-04-2023




SUC FAUX EN DURS CŒURS




Tués : Rêves et amour :

Mais c'est Misère qu'on traque

C'est Peuple qu'on embarque

Pour Guerre : tous les jours !


Alors : vain : l'amandier ?

Vaines : fleurs et cerises ?

Pour ordre en chaos lié

A prison qui divise !


Oui : Prison pour pensées !

Mais : surgis de la terre :

Grands éclairs vont passer

Sous le nez de l'enfer :


Où veulent nous perdre : rois :

Non la tendresse n'aboie

En leurs miroirs qui éclatent

Nos travaux qui s'évadent :


Où s'écoutent nos vies

Là : en oubli court : peinent

Pour sang neuf dans leurs veines :

Suc de fruits  non ravis


Que s'égrène notre paix

Où tant de tensions poussent

Sans briller en épée

Nos corps pour vraies secousses

 

N'imitant grands voleurs

Qui les pressent aux cœurs

Où pour guerre en valeur

Du travail : là : Savoir meurt


O Châteaux et Saisons

Rois en pauvre Raison

Ignorent qu'arbre sonne :

Vrai Savoir qu'ils n'harponne


Y entendre Amour rebelle

Y tendre Cité nouvelle

Pour cris de la Beauté :

Plaisirs neufs non matés


 

samedi 29 avril 2023

TUER L'ENFANT EN EVEIL ? Le 21-03-2023 Repris le 30-04-2023

Le 21-03-2023

TUER L'ENFANT EN EVEIL ?





Larmes en faux : amères

Pour tuer l'enfant d'éveil

Pour crever ses merveilles

Croient les croquer en guerre


Aveugle enfant curieux

Comme un bien pauvre Oedipe ?

Cet innocent sérieux

A la vraie vie s'agrippe


Ami ! Entends qui s'écœure

Prends mémoire en ses vagues

Qui en p'its cris élaguent

Sa pointe aiguë au cœur !


O L'enfant supplicié :

Bourgeon en arbre scié

Ton rêve à terre est lié

En âme non pliée !


Beaucoup de bruit pour Rien ?

Oui ! Pas de tintamarre !

Voix en tambour font lien

Que massacre n'égare !


Riant des larmes d'enfant

Qui se croit fort en armes

Le nie et peuples fend

Où vies d'enfants ont trame !


Oui : des princes esclaves

De la jungle ordonnée

Le nient tant qu'ils s'entravent

Où résistance nait


A l'obscur amarrée

La pire valeur monte

Niant l'enfant éclairé

Par l'arbre où Savoir compte !


Enfant ! Vois : fée vermeille

En robe universelle

Glisser dans ton éveil

Où ta pensée l'appelle !


Le pire nouveau est là

Qui à jouer le bel ange

Veut l'éveil mettre à bas

Et pour Pur Fort s'épanche !


Oui ! Qui veut rêves tuer

Quand le bon grain ils sèment

Qu'il pousse et ne soit muet

Pour chaos qui essaime !


A l'écoute on te voit :

Enfant qui interroge

En pourquois qui accrochent :

L'Infini Oui : en sol boit


Et il ne peut mentir

Soufflant aux lèvres sagesse

P'tits airs d'enfants la pressent

Qui à tous font sentir

Qu'histoire n'est pliée

En caverne des songes

Enfant qu'ombre ne ronge

Enfant-Soleil crié !


 

vendredi 28 avril 2023

NOUS EN GRANDE ELEGANCE : CHACUN EN P'TIT ROI LE REPENSE ! Le 28-04-2023

Le 28-04-2023



NOUS EN GRANDE ELEGANCE : CHACUN EN P'TIT ROI LE REPENSE



Morte en Cité : la vie ?

Jardins y fleurissent !

Que Printemps s'épanouisse :

Fleurs et fruits : non ravis !


Âme en corps : non tendue :

Chacun pour l'espérance

S'accorde sans errance

A la Muse entendue


Où Jardin des délices :

Musique sans supplice

Au bottes n'est donnée -

Dogmes laminés -

La Joie pour leur trappe

Pour Amour vrai s'attrape :


Où Pensées suspendues

Au cou du Roi miroitent

En voix qui ne sont coites :

L'Intranquille invendu


Qu'au silence soufflés

En courants d'air ne perdent

Leur vent de mer : salé

Ces longs désirs ne cèdent !


Mémoires vivifiées

Ils ne seront plus pliés

En triste histoire

Où vampire veut boire


« Fan-fan La Tulipe » œuvrant :

Sa liberté offerte

Au Commun Bien ouvrant

Notre histoire sans perte


Ami : Palais Miroir

Ne reflète Espérance !

Qui y agite encensoir

A se sanctifier : tant pense !


Pour tempête a tremblé :

Oui :  grand roi qui agite

Violence : à tant sceller :

Nos voix : se dépite !

 

Nul Sacrifice en croix

Où roi se perd en lois

Qui aboient – discriminent

Pour le Pire qui ruine


Ses cartes en château

A nier tant la Misère

Qu'il chasse pour gâteau :

Bien manger : Oui : Nous : ferre !


En tous azimuts joue

A perdre horizon

Ce roi qui met au clou

Notre Histoire : Oui : sans drame !


« Cent Jours » : Napoléon :

Refait : pour quelle guerre

Où roi crie renom

Sa « Renaissance » espère !


« Formidable Miroir »

Abandonné sans suite

Par « Agora » non cuite

Où Peuple veut tant boire !


Sa distance Oui : gravée

Au marbre de Mémoire

Bien moderne à rêver

Libération sait croire !


Ses fenêtres fermées

Aux réseaux du roi-mythe :

Où pensées vides citent

Ses idées tant aimées !


Avancer : notre Démos

Où « Ressources Humaines »

Croient grignoter son os

Au Capital s'enchaînent !


Tension civile en zeste

De nos fruits :  qui presse

Ce vain roi pour sa Messe !

Pour Misère : c'est Peste !


Qui fait vivre Cité ?

N'est-ce Peuple en ses Rêves ?

Qui nie tant sa beauté

Lui veut Guerre sans trêve !


Nous en grande élégance :

Chacun en « p'tit roi » le pense 

En pulsions de mort mortes

« Faisceaux » perdent escorte !


Et Commun remonté

En désirs profonds soufflent

Tant de voix qui redoublent :

Vent en chemin arpentés !


Nulle Cause à soulever

Où pour vrais plaisirs : levée

L'âme en corps se repense

Où l'Oubli blessé se panse :


Et hors-miroir de roi

L'enfance en Nous se cherche

Pour Paix en âme voit

Mesure où Plaisir se perche :


Là : au plus haut des cœurs

Commun en Peuples veille

Guerre à eux : trouve éveil

Pour leur Paix voit douleurs


De leur enfance niée

Peuples en voie d'histoire

Ne sont par haches sciés

Par rois pitres sans gloire !


Le nôtre en Négoce perd

Sa vue en Moteur qui grince

En notre Empire bien mince

Pour p'tits espoirs s'affaire !


Tant de luxe en bons vins

Pour bonne chair n'est vain

« Espoir » s'en carbonise ?

Désir en sol mort n'a prise !


Épopée rebâtir

Que les rois s'y perdent :

« Paris » « Ulysse » à re-luire

En Nous : unis ne cèdent :


Pour nul tyran trouvé

« Esclave Volontaire »

Sur nulle épée :  gravé :

Nom d'Humain : tu serres !


Voir foudre et arc-en-ciel

Pauvre vie d'Ezequiel

Se perd – se divise :

Désir en feu : couleurs prises : 

 

A l'eau en air malade

A tout reprendre : Aie garde :

Ami : Partout tous mêlés

Rois pour guerre en mêlées


Qu'inconscient : en Oubli : crèvent

Pour ces rois : tous grands rêves

Tant de peuples le crient

Savoir en douleurs : pris


Même en eaux tremblée

Même où l'ouragan porte

Même où feu emporte

Terre en vies rassemblées :


Ne silencie moteur :

Mécanique automate :

Grand Capital en cœurs

De vie : rêves n'abattent !


 

jeudi 27 avril 2023

OU PEUPLE-OCEAN SANS COUR S'ABREUVE Le 28-04-2023

Le 27-04-2023




OU PEUPLE OCÉAN SANS COUR S'ABREUVE



Jusqu'où est on serré ?

Oui ! Pour quelle brillance ?

Joie ne peut s'enterrer 

En mille fleurs se pense !


Différences au cœur :

Qui aspire leurs forces

Nie l'Amour sur l'écorce

Qui sur l'Arbre ne meurt


Où son Savoir scellé

En Infini se niche

Et sans-cesse à couler

Sève en bouquet : si riche


Nul fantôme à crier

Pour nulle tentacule

Où la mort est pliée :

Tout le vide s'annule


Les monstres sont Ailleurs !

Ne prie leurs monolithes

En Pensée squelette : sœur

Du néant qu'oubli habite


Enterrer mal banal

Où l'industrie encaisse :

Oui : tant de corps avale

Et tant de vies rabaisse


Croyances et savoirs

Matérialisent rêves

Pour la paix sans miroir

Où nul roi n'y voit sève


Veille et n'attends ce Rien

Qui nos vies déboussole

Tends ce Bien ! Ne l'immole

Au crédit du sol sans lien


A vive histoire : bois

Ne coupe fil de soie

Que butinent abeilles

Et longtemps Printemps veillent


Dégagé des poignards

L'Humain en Paix vraie coupe

Le fictif et l'égare

Où Capital perd troupes


Ne laisse vie brûler

En musée tuant Mémoire

Révisée par valets

D'empires sans plus gloire


Écoute bien le vent

Qui moule la poussière

En beau laid d'aube avant

Neuve science est lumière


Prends bien tout battement

D'ailes sorties des cages

Où Liberté enrage

Savoir fictif qui ment


Tiré par pensée en treuil

En hauteur : oui : aspire

Fardeau d'enfance en seuil

De mort tuée : cœurs respirent !


Déprise : Économie

Où ton Désir ruisselle

Le juste et l'égal Amis

En dignité se pèlent :


En fruits murs : renforcés

Où murs jardinent – sonnent

Misère en suc non forcé

Si riche verbe trône


Pour son écho vider

Pensée monstre médiocre

Ne peut avaler Cité

Où ce trésor mord ogres


En embouchure court :

En boue riche : Grand Fleuve

Mémoires source abreuvent

Peuple-Océan sans cour









 

mercredi 26 avril 2023

LE PEUPLE EST--IL EXILE PAR ROI-ANGE DECHU ? Le 26-04-2023

Le 26-04-2023



LE PEUPLE EST-IL EXILE PAR ROI-ANGE DÉCHU ?



Écraser tout Étrange

Pauvre comme la Peste ?

Mais qui donc il dérange

D'Empire veut gros restes !


Empire rabougri

Qui le joue au gri-gri

Sa pente : Oui : dévale

En façade qu'il ravale !


Qui : impromptu : voit guerre

A nous discriminer

Oui sait ce roi miné

Déjà par tant d'affaires


Bel ange-roi qui sourit

Gratté par sa souris

Oui : plonge dans la fange :

L'Autre qui le démange !


Qui donc est bien « Bandit »

A noyer en esclave

O Dans la mer enclave

Pour son « Bon Roi » Pardi !


Ici : « Bandit » hors la loi :

Humain vu que Roi vise

Pour des « Camps » à l'étroit

Vrai « Ubu Roi » divise :


Pour Capital ravi

Tout le Travail qu'il ruine

Et tous ses droits : lamine

A contrôler nos vies


De qui se moque-t-il

En ses calculs si pauvres

Bien nichés dans l'alcôve

D'un nid douillet si vile ?


Tant de travaux en meurent !

Qui en perd sa demeure

Tant d'expulsés ne rient

Comme roi du mépris !



Or nous voulons vraie paix

Dans la chair de nos âmes

Guerre de qui fait drame

A nous perdre en épées ?


Qui nous tend l'ennemi

Nie notre Indépendance :

Ici dans le tamis

A perdre ce qu'on pense !


Là encore Ubu-Roi

Précipite ses lois

Qui tuent notre navire

Agora niée pour pire


Or qui navigue à vue

Se chante : « progressiste »

C'est vain calcul en piste

Pour peuple mis à nu


Pour malheur nous miner

Notre vie à bien perdre

En son court temps : ruiné :

« L'effort » en travail raide !


C'est ce prince en Ubu-Roi

Oui : pour chasse bien garde

A nous rendre à ses lois

Qu'il brille où ça barde !


Peuple joué aux dés

Par ses trésors fardé

D'étrange Ubu dépendre

Qui veut nos corps mieux vendre !


Jusqu'en contre-façon

A tuer vive Mémoire

En nous : il veut tant boire

Nos richesses en rançon


En Sources repuiser

Pour bel arche d'alliance :

Bien lié : n'est abuser

De vie quoique ce roi pense !


Ubu déjà déchu

Dans nos pensées souveraines

Se perd en coups de massue

Chantant sa mort en scène


Galops sur cheval fou

Oui : il en perd sa selle

A se briser le cou

Au vrai se décervelle


Or a-t-il mal à l'âme

Quand casseroles l'accueillent

Il fait crier son deuil

Pour l'extrême en faux drame !


C'est son miroir tramé

Qu'en roi étrange il clame

Démocratie cramée

Il veut tant qu'on l'acclame :


Pour son « dialogue » en mort

A le nicher dans son vide

En lois à tuer Corps

De Cité : est limpide


Mais en pensées crispées

Est perdue Renaissance

A brandir son épée

Leur cécité avance


En large monde Oui perd

Même bons principes

En négoce casse pipes

Nie-t-il nerf de la guerre ?


Bottes d'empire au pas :

De ses galops se moquent

Ubu-Roi : profil bas

Pour p'tit empire troque !






 

mardi 25 avril 2023

SAVOIR SE TUE POUR NOS MOYENS TUS Le 26-04-2023


 

Le 26-04-2023



SAVOIR SE TUE POUR NOS MOYENS TUS


Nos moyens : fins les tuent

Et meurt savoir-vertu

Travail : doucement crève

A faire rendre nos rêves


Nous en valeur comptée

Pour profit : escompté

Arbre au savoir sans prise

Se dessèche en sa mise


Perdus : tant de trésors

Pour Mémoire en nos corps ?

L'énergie d'automate

Se vide et se dilate !


La pensée naviguant

C'est en nous disséquant

Qu'en vagues : ruissellent

Tous nos temps à la pelle

 

Au vide on la reprend

Où vive énergie rend

Oui : sans fins à nous perdre

Pour qui veut qu'on lui cède !


Qu'en statues bien figées

Nos corps soient sous contrôle

Qui veut tant les gager

Veut distribuer nos rôles ?


Rien de pur bien fini

Pour « ressources » qui meurent

En nous : pauvre Avanie

Où soufflent tant nos cœurs


« L'écoute » en tant de fils

Pour esquifs en plein dans l'mille

Retourne au temps qui pille

Que l'automate habille


Qui régente p'tites mains

Où : entrées sorties montent

Leurs pensées pour lendemains

Non : ne crèvent pour comptes


Qualités – objectifs : saisir :

Nos vies ? En belle entraide

Pour vide en statues raides ?

Savoir neuf n'est empire !

QUI POUR SYNTHESE FAIT SI MAUVAISE CUISINE Le 26-04-2023


 

Le 26-04-2023


QUI POUR SYNTHÈSE FAIT SI MAUVAISE CUISINE ?



Pour synthèse est serré

En corde qui moutonne

Jusqu'à la mort : ferré :

Son travail : Oui : gloutonne


Oui : si bien englué

Par la vie qu'il enfume

Que toute sa suée

Est assise en enclume


Qui : écume éclatée

En océan de vagues

A cru planter sa dague

L'a perdue : éventée


Sa cuisine en la mort

Pauvre synthèse y crève

Savoir désert en corps

Perd même ses rêves


Amère : Oui : en sa fin

Retricotant des chaînes

Pour Pouvoir a si faim

Que : servile : il dégaine :


Quoi ? Ce qu'il a perdu :

Sa force bien rendue

En langue bien pendue

Pour tant de faux vendus !

TEMPS BRUTE MIENNE : JE TE COURBE EN L'INSTANT repris le 25-04-2023



Paris Le 31-10-2021 Repris Le25-04-2023

Avec Un Point Sur HEIDEGGER



TEMPS BRUTE MIENNE : JE TE COURBE EN L'INSTANT



Temps hirsute se met aux tables et reluit

Là mutant en aimé instant rendant affables

Aux couleurs d'automne les gens quand ils s'ennuient

Temps brute qui sonne – suspendu est aimable


N'oublions qu'il parcourt l'expansion infinie

D'étoiles qui courent à cheval sur grand vide

Lui concédons vitesse en lumière hors des nids

En bonne paresse c'est l'instant qui nous guide


L'antropie malade de brûler dans les arbres

Ne tient cent décades qu'à ruer au roussi

Où le vent en tel souffle avale ses soucis

Têtes en corps au trouble en ces temps Oui se cabrent


Qui d' « Être pour la mort » a tant sabré le libre

Et cassé songe en corps quand le beau vers y vibre -

Jouant de la « question » incendiant son paletot

Averse en cogito ? Pour sa vie en étau ?


Ami du poème – saches qu'il perd son temps -

Qu'au mètre le vrai sème – A le saisir est l'instant

Où vertical avance à contre-ciel – « je pense »

Qui sans maître en mes sens me pousse à vive danse


Et qui s'est bien cru maître en bon « berger de l'Être »

Crut– en ses temps mettre« Son Sol » hors Humain

Oui : pauvre ombre – en forêt perdue : brille au paraître

En hiver égarée : sa lumière est sans main


 

lundi 24 avril 2023

OR IL N'Y A AUCUNE MORALE EN CAPITAL ! Le 25-04-2023

Le 24-04-2023




 OR IL N'Y A AUCUNE MORALE EN CAPITAL !



Unifier Capital

A scier Peuple qui gronde

Oui : là : en mal banal :

C'est prince en ses rondes :


Pour si vite avancer :

Des mesures extrêmes

Oui : il veut tant casser

Pour Capital qu'il aime


Mais il ne peut fixer

Que la mort dans ses langes

Où : enfant agacé

En pauvr' bête il fait l'ange


Comme un furet il court

Après toutes les cours

Pousse violence en drame !

Pliées : Révoltes d'âmes ?


Or là : exaspéré

De ne pouvoir serrer

Tant d'énergie qui monte

Sur lois-gabegie il compte


A diviser miner

Pour l'Un Pur discrimine

Jusqu'à science et art ruine

En « conseils » : laminés


Or qui joue : l'atterré

Sur Autonomie Pure :

Compte tant et assure

Que sa vie n'est serrée


Mais : Partout : dépendant

De Concurrence : il ferme

Sa vie en la vendant

Peau niée en épiderme


L'Un en Prince la mord

Pour en vider caresses

Où plaisirs sans tendresse

Qui s'ennuie sans vif corps ?


Qui voit sa vie tendue

Veut vive Indépendance

Âme en corps non vendue

Sa vie en travail : pense


L' "Autonomie " vidée

Se perd dans la morale

Où plaisirs lapidés

Errent en mal banal


Vanter : cœurs désarmés

En ce moment où souffle

L’Énergie qui redouble

En temps long non calmée ?


Prince veut jouer : il tend

Belle obole mais vide

Au peuple qui attend

Où Misère est limpide !


Pauvre est donc Capital !!

Pauvres donc nos réserves ?

C'est mensonge sans trêve

Niés : le juste et l'égal !


En Chaos bien rendu

A engrosser Marianne

Qui joue au Charlemagne

Et nous aime vendus ?


Beau Prince a dit sa messe :

Prendre corps et richesses

Pour Capital : est fier

De perdre nos lumières


Mais l'éveil du printemps

En mille fleurs prend rêves

Où ne crève en ces temps :

Vie montée en leur sève


 

dimanche 23 avril 2023

PRINCE EN MIROIR SE FERRE ! Le 23-04-2023

Le 23-04-2023



PRINCE EN MIROIR SE FERRE



Ne perds veines en chair

Où ta vie mène au clair :

Ton désir est sans guerre

A l'Autre qu'il ne ferre


Il est là : bien présent

A côté : n'écrasant

La Beauté qui ne hante

Toute grâces qu'il chante


Oui : par le souffle en murs :

Ouverts à bel azur :

Tu entends comme il monte

En ton âme où cœur compte


Et jamais : disparue :

En toujours pauvre promesse :

Coupe aux lèvres : bien bue

L'Autre en l'Humain se dresse


L'Identique pour guerre

En Énergie multiple

Noyée : Non : plus sensible

En son miroir : perd : Terre


Amis ! Sortez des murs

Où l'Uniforme guette

Baisers d'Humains n'assurent

La Paix dans pauvres guêtres


Capitale fiction

En prison : Oui : enferme

Tout amour sans passion

Qui là : pour Haine : germe


Les êtres déguisés

En Identiques Purs

Oui : donnent la nausée

A qui Musique : assure !


Oui ! Musique : Fais danser

La richesse embrassée

Où corps en âmes scellent

Bruits de vie qu'ils appellent


Où l'oubli a sauté

Dans la corde de mémoire

La douleur n'est hantée

Par Prince en fausse histoire !


Vente en cœurs désarmés :

Un grand et nouveau souffle

Qui Maintenant : redouble

L'énergie neuve aimée


D'où le Capital tend

Pauvre obole perdue

En chaos descendue

Dans nos rêves : se fend



Qu'il crie longtemps sans corps

Que : seul il tend : richesses

C'est bien eux que sa mort

Tue doucement pour sa messe


Détends-toi donc : mon âme

Reprends vie à ce drame

Où Capital veut guerre

Qu'il s'y perde et s'y ferre


 

vendredi 21 avril 2023

ON EN RIRAIT SI CE N'ETAIT PAS SI SERIEUX : VOYEZ BIEN CE QU'A FAIT NOTRE SI CHER PRINCE AUSSI !

 

A qui notre dit "Prince" a-t-il décerné la médaille de la "légion d'honneur" ? Oui : à qui : Coucou Amazon :
Blanche Gardin ·
Très très cher Monsieur Bezos,
Je suis au regret de devoir refuser votre invitation à participer à la prochaine saison du jeu « LOL: Qui rit sort ! » diffusé sur votre plateforme d’Amazon. J’ai bien compris qu’il ne s’agissait que d’une seule journée de tournage, seulement voilà, ce jour-là, j’ai dentiste. Et, en tant que troisième fortune mondiale, vous le savez, il faut de bonnes dents bien longues pour réussir dans ce monde.
Il se trouve aussi que je serais gênée aux entournures (pour ne pas dire que ça me ferait carrément mal au cul) d’être payée 200 000 euros pour une journée de travail même si je perds à votre jeu, quand l’association caritative de mon choix remporterait, elle, 50 000 euros, c'est-à-dire 4 fois moins, et encore, seulement si je gagne.
Oui, ça me gêne de toucher, pour 8 heures de travail, cette somme affolante de la part d’une entreprise qui :
- Ne paye pas ses impôts en France et bénéficie même d’1 milliard d'euros de crédit d’impôts alors qu'elle fait 50 milliards d’euros de chiffre d'affaires.
- Qui émet 55,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre par an (soit l’équivalent des émissions du Portugal) seulement avec ses data centers, sans parler des milliers de camions, d'avions…
- Qui utilise la main-d'œuvre des camps de concentration ouïghours.
- Qui détruit les emplois du petit commerce et toute la vie sociale qui va avec.
- Que les emplois qu’elle crée en en détruisant d’autres sont des emplois éreintant dans des entrepôts déshumanisés, où on traite les employés comme des robots qu’on essore en leur mettant une pression folle avec des cadences infernales et qu’on empêche de se syndiquer…
Tout ça pour quoi ? Pour qu’on puisse commander des couches pas chères depuis notre canapé en se grattant les couilles. Oui, ça me gêne.
D’autre part, en tant qu’actrice et auteure de films, je caresse le rêve un peu fou que mes futurs projets puissent sortir dans une salle de cinéma. J’ai bien conscience que le niveau de dissonance cognitive est très élevé à notre époque, mais vous conviendrez que faire de la publicité pour votre plateforme (puisque c’est de cela qu’il s’agit je crois) reviendrait à me tirer une balle dans le pied. Je n’ai pas envie que dans dix ans plus personne n’aille au cinéma et qu’on soit tous en train de mater des séries sur le canap' en se faisant livrer des burgers par des sans-papiers qui pédalent sous la pluie.
Si toutefois, me lisant, vous tombiez des nues, ou de l'espace (je connais pas votre emploi du temps ces jours-ci) en découvrant des choses dont vous n’étiez pas au courant et qui vous peinent, et que ça vous donne envie de repenser entièrement votre entreprise, alors peut-être que vous pourriez me réinviter ultérieurement. Et que je pourrais accepter. Lol.

jeudi 20 avril 2023

POUR LA DILIGENCE D'AMOUR ! Le 20-04-2023

Le 20-04-2023





POUR LA DILIGENCE D'AMOUR !



La diligence d'amour

En chemin chaotique

Avance en sa musique

Débarrassée des cours


Toutes pierres sous lui

En un si grand poids éclatent

Que sous baisers des roues

Trésor d'âme est agate


Qui en transport chérit

Le soleil en vitesse

Diamantée de tendresse

En désirs oui marie :


Ces beaux yeux d'amants

Entreserrés qui puisent

En transports calmement

Vie en bruits qu'ils n'épuisent


A ce train : iront loin

Oui jusqu'à Cythère

Pour leur amour à point

Veillant à libre terre




Jeunesse : Voies la vie

Diligentant ravie

Ce transport magnétique

En ta vive musique


Nul décret n'abolit

L'attraction ou cœurs vibrent

Nul chaos ne les lie

En leur chemin bien libre


A rendre le Commun

Ici pour Avenir : rentre

En Bien : si fort ciment

Que Capital s'éventre


 

mercredi 19 avril 2023

PRENDRE L'ENERGIE QUI FLAMBOIE ET LIBERE Le 20-04-2023 ( corrections apportées)


 

Le 20-04-2023 (CORRECTIONS)

PRENDRE L’ENERGIE QUI FLAMBOIE DANS LA PAIX ET LIBERE



L'énergie qui flamboie

Tout l’Humain-Frère y boit

Qui n’y voit que décors

Tue la vie âme et corps



Or elle renait – trace

Chemin qui ne s’efface

Dans l’Histoire égayée

Qui va tant l’éveiller

Dans ses feux d’artifice

En tous corps elle glisse



Nul ne peut la plomber

Pour la faire tomber

Dans le vide et la guerre

Nul vraiment ne la ferre

Car elle arme Misère

Les bras d’amour la serrent

 

Oui :  tuée elle renait

Dans la Paix dégainée

Elle hante les fantômes

Et tout tyran s’assomme

En des lois gabegie

Elle trame en magie

La danse de nos jours

Pour ses voix de toujours



La mort alors s’y gomme

L’économie perd normes

Où en fétiche s’affairent

Ses modèles de guerre

Pour probable calculent

Mais la vie forte annule

Alors ce pauvre hasard

Où l’identique s’égare



Oui ! La vie bien tenue

Dans sa tension s’embrasse !

Doux baisers en chair nue

D’énergie point ne lassent

Tous parcours en voyage

Pour l’Ici sans bagages



Où la culture aliénée

Générale et bornée

Perd mouvement essentiel

Du si bel arc-en-ciel



Où différence en Frères

Vient en grande lumière

Qui plie le relatif

Dans ses pas non hâtifs



Oui : pense la distance

Où tout lointain s’avance

Où la vie émanée

De tous murs de silence

Ville en son parfum danse

Par nos sens entraînés



Nul n’y peut abolir

Les voix qui fort respirent

Dans nos instants de veille

Où tendue : Vie s’éveille :



Où frères en l’ailleurs

Pour l’Ici au meilleur

Se penchent bien en nous

Que l’énergie-vie noue

N’attendre là qu’y pousse

En parfum la vie douce

Où la paix la prend vive 

Sa force ne dérive





Pauvre Idée éthérée

A vouloir nous blanchir

De la force en désir

La paix n’est aspirée



Or la vie en bouquet

Ouvre impressions qui courent

En un savoir bien gai

Né hors miroir des cours



De l’Égal prendre essence

Y fondre en différences

Nos rêves en jardin

Qui peuvent être étreints



Mais d’être tant saoulés

Pour morale avaler

En guerre amalgamés

C’est en boîte et séries

Qu’ils sont bien consumés

Pour guerre consommer



Céder sur nos désirs ?

Non ! Larguer les amarres !

Nul port pour nos navires ?

Nul cri à lancer : Gare !



Non convergence en Fleuves

En embouchure : assis ?

Mais : vie courant : ces fleuves

En ces désirs à quai

Pour l’horizon s’égaient

A y saisir leurs clefs

Ils vont l'ouvrir – appeler :





Tous ports pour l’or reprendre

Et d’eux en Bien s’éprendre

Jusqu’en divers pays

Partout où nos mémoires

Pour Ici sont saillie

Où la vie prend l’Histoire



Le Capital admire

Prince en vide miroir

Qui fixe pauvre histoire

Pour guerre en point de mire

Et Jungle à livre ouvert

Là sonne un faux théâtre

La vraie vie ne se perd

Pour fictif idolâtre !



Navigation finie

Si nos corps s’abandonnent

A une telle avanie

Où la mécanique tonne :



Pour corps : fausse musique

En sueur jusqu’à la mort

Et Cause dans la trique

Pour guerre en vrais décors



Or l’Humain reprend vie

Habillant Monstre froid

Qui croit briller ravi

De son bon suc qu’il boit

Le Capital distrait

Par Monstre froid-spectacle

Son clash vient : en débâcle

En corps vidé d’attraits



Or qui donc croit encore

A l’Égal si abstrait

Ne voit Paix vive en ports

D’Empires bien soustraits !



Qu'y navigue la Vie

En liberté si forte

Que nos désirs servis

Par l’Énergie oui : portent

Tous fleuves à leurs bords

Jaillissant hors décors :



Où voix nouvelles tracent

En souffle que ne lasse

La vertu des aurores

Pour leur Bien en débord



Tu peux entendre Ami

Tout ce Bien n’est remis

A Sainte Providence

Ni à bien pauvre Chance

Mais à ta voix qui chante

Pour grâce qui s’enchante

De Vie en Énergie

Qui est la seule magie :



Partageant Singuliers

Dans le Commun liés

A différence égale

Détruisant Mal banal !



Mille fleurs en bouquet

Seront là en banquet

Pour mille fruits de Vie

Qui ne seront ravis !


lundi 17 avril 2023

FORCE EN DESIR DE BEAUTE NE SE CONJOINT QU'EN L'AMOUR

 

Le 17-04-2023



FORCE EN DÉSIR DE BEAUTÉ NE SE CONJOINT QU'EN L'AMOUR




Errance en guerre nuit

Oui : à tes pauvres nids

Abîmés en misère

Où le Capital serre

Ton désir bien capté


Qui en manque a chanté

La vie sans plus douleur

Immortelle et sans cœur

O Ce n'est pour morale

Que Désir en toi s'affale


Pour Beauté-Femme niée

Sa vie multiple est sciée

O aigre en toi remonte :

Force ferrée sans compte

Dans tes nids bien perdue

Pour âme en corps bien nue


Désertée : l'énergie

Là : en Capital : morte :

La beauté sans magie

Au Désir ferme portes


En sortir : recréée

Partout : universelle:

Force en Désir d'attraits

Dans l'amour a son sel


Tire-le en commune

Veille à bien partager

Hors-normes : engagé :

Désir de beauté : assume !

vendredi 14 avril 2023

TOUTE UNE JEUNESSE POUSSE SA VIE ET PRINCE S'Y PERD Le 14-04-202


 

Le 14-04-2023




TOUTE UNE JEUNESSE POUSSE SA VIE QUAND PRINCE S'Y PERD


En tropismes levés : les bourgeons du Savoir

De l'abîme aux pavés ont le monde à revoir

En la pleine beauté ils scellent : l'univers

Pour ce temps des Cités : grands yeux sur Vie : ouverts !


Qui leur prend tous beaux fruits pour oppresser l'amour ?

Oui : leur sueur jusqu'en nuit prenant leur eau vive

Sur l'ouvrier s'appuie pour gagner force active

Qui en grand chemin luit et partout va son cours


Oui ! Pour vrais lendemains déjà elle resème

En tant et tant de mains comme fontaine essaime :

Grains où même gamins vibrent de vie aux sens

Pour leur désir carmin : libres d'en prendre essence

LA FICTION EN SYSTEME TOTAL PERD MYSTERE ET VERITES Le 14-04-2023

  Le 14-04-2023



LA FICTION EN SYSTÈME TOTAL PERD MYSTÈRE ET VÉRITÉS



Mort en Profit nous prend :

Nos fruits qu'il ne nous rend

Niant leur poésie d'âmes

Où se rêve Beauté Femme


Qui crée Vrai Immortel

Non en Homme Total :

Mais : Vie : savoir du ciel :

Tombée en mystère égal :


En tout Humain : Où brillent

Nos yeux vifs d'Infini

Pour sa vie non finie

Tant constellés qu'ils cillent :


Pour qui lui fait la guerre :

Ce Capital Fictif serre :

Sa propre vie en fuite

A y courir sans suite :


Musique-Chose en Prince

Sa mécanique grince

Pour chosifier nos corps

Entraînés dans sa mort :


Il ne pourra les prendre

Qu'à totalement suspendre

Sa propre vie à nos cendres

Il mourra pour tout vendre !


Notre énergie : fusion

D'Atomes de sa base :

Sort de bulle en Actions

Où plus-value s'arase :


Ce Capital-fiction

Si gros : ne voyant : mains

Perd Imagination

Vide de lendemains


Profit massif dévale

Et nos Rêves avalent

Sa guerre en atouts

Où il va perdre tout

 

En Nous-mêmes n'est mythe

Le flux de vie multiple

Corps en âme embrassé

Pour promesse effacer

 

Pour désir en partage

Hors du prince qui rage

Et Là : même en mystère :

Le Commun bien ouvert


Reprend force en la terre :

Pour moment en tension

Qui n'enchaîne ou ne ferre

Sa Matière à Fiction :


Qu'Âme en fétiche crame

Travail perdu en lui s'arme :

Capital gros n'a repères

Qu'en rivaux pour sa guerre :


En son univers borné : niée :

Sa fiction est pliée !