mercredi 19 avril 2023

PRENDRE L'ENERGIE QUI FLAMBOIE ET LIBERE Le 20-04-2023 ( corrections apportées)


 

Le 20-04-2023 (CORRECTIONS)

PRENDRE L’ENERGIE QUI FLAMBOIE DANS LA PAIX ET LIBERE



L'énergie qui flamboie

Tout l’Humain-Frère y boit

Qui n’y voit que décors

Tue la vie âme et corps



Or elle renait – trace

Chemin qui ne s’efface

Dans l’Histoire égayée

Qui va tant l’éveiller

Dans ses feux d’artifice

En tous corps elle glisse



Nul ne peut la plomber

Pour la faire tomber

Dans le vide et la guerre

Nul vraiment ne la ferre

Car elle arme Misère

Les bras d’amour la serrent

 

Oui :  tuée elle renait

Dans la Paix dégainée

Elle hante les fantômes

Et tout tyran s’assomme

En des lois gabegie

Elle trame en magie

La danse de nos jours

Pour ses voix de toujours



La mort alors s’y gomme

L’économie perd normes

Où en fétiche s’affairent

Ses modèles de guerre

Pour probable calculent

Mais la vie forte annule

Alors ce pauvre hasard

Où l’identique s’égare



Oui ! La vie bien tenue

Dans sa tension s’embrasse !

Doux baisers en chair nue

D’énergie point ne lassent

Tous parcours en voyage

Pour l’Ici sans bagages



Où la culture aliénée

Générale et bornée

Perd mouvement essentiel

Du si bel arc-en-ciel



Où différence en Frères

Vient en grande lumière

Qui plie le relatif

Dans ses pas non hâtifs



Oui : pense la distance

Où tout lointain s’avance

Où la vie émanée

De tous murs de silence

Ville en son parfum danse

Par nos sens entraînés



Nul n’y peut abolir

Les voix qui fort respirent

Dans nos instants de veille

Où tendue : Vie s’éveille :



Où frères en l’ailleurs

Pour l’Ici au meilleur

Se penchent bien en nous

Que l’énergie-vie noue

N’attendre là qu’y pousse

En parfum la vie douce

Où la paix la prend vive 

Sa force ne dérive





Pauvre Idée éthérée

A vouloir nous blanchir

De la force en désir

La paix n’est aspirée



Or la vie en bouquet

Ouvre impressions qui courent

En un savoir bien gai

Né hors miroir des cours



De l’Égal prendre essence

Y fondre en différences

Nos rêves en jardin

Qui peuvent être étreints



Mais d’être tant saoulés

Pour morale avaler

En guerre amalgamés

C’est en boîte et séries

Qu’ils sont bien consumés

Pour guerre consommer



Céder sur nos désirs ?

Non ! Larguer les amarres !

Nul port pour nos navires ?

Nul cri à lancer : Gare !



Non convergence en Fleuves

En embouchure : assis ?

Mais : vie courant : ces fleuves

En ces désirs à quai

Pour l’horizon s’égaient

A y saisir leurs clefs

Ils vont l'ouvrir – appeler :





Tous ports pour l’or reprendre

Et d’eux en Bien s’éprendre

Jusqu’en divers pays

Partout où nos mémoires

Pour Ici sont saillie

Où la vie prend l’Histoire



Le Capital admire

Prince en vide miroir

Qui fixe pauvre histoire

Pour guerre en point de mire

Et Jungle à livre ouvert

Là sonne un faux théâtre

La vraie vie ne se perd

Pour fictif idolâtre !



Navigation finie

Si nos corps s’abandonnent

A une telle avanie

Où la mécanique tonne :



Pour corps : fausse musique

En sueur jusqu’à la mort

Et Cause dans la trique

Pour guerre en vrais décors



Or l’Humain reprend vie

Habillant Monstre froid

Qui croit briller ravi

De son bon suc qu’il boit

Le Capital distrait

Par Monstre froid-spectacle

Son clash vient : en débâcle

En corps vidé d’attraits



Or qui donc croit encore

A l’Égal si abstrait

Ne voit Paix vive en ports

D’Empires bien soustraits !



Qu'y navigue la Vie

En liberté si forte

Que nos désirs servis

Par l’Énergie oui : portent

Tous fleuves à leurs bords

Jaillissant hors décors :



Où voix nouvelles tracent

En souffle que ne lasse

La vertu des aurores

Pour leur Bien en débord



Tu peux entendre Ami

Tout ce Bien n’est remis

A Sainte Providence

Ni à bien pauvre Chance

Mais à ta voix qui chante

Pour grâce qui s’enchante

De Vie en Énergie

Qui est la seule magie :



Partageant Singuliers

Dans le Commun liés

A différence égale

Détruisant Mal banal !



Mille fleurs en bouquet

Seront là en banquet

Pour mille fruits de Vie

Qui ne seront ravis !


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