Le 28-04-2023
NOUS EN GRANDE ELEGANCE : CHACUN EN P'TIT ROI LE REPENSE
Morte en Cité : la vie ?
Jardins y fleurissent !
Que Printemps s'épanouisse :
Fleurs et fruits : non ravis !
Âme en corps : non tendue :
Chacun pour l'espérance
S'accorde sans errance
A la Muse entendue
Où Jardin des délices :
Musique sans supplice
Au bottes n'est donnée -
Dogmes laminés -
La Joie pour leur trappe
Pour Amour vrai s'attrape :
Où Pensées suspendues
Au cou du Roi miroitent
En voix qui ne sont coites :
L'Intranquille invendu
Qu'au silence soufflés
En courants d'air ne perdent
Leur vent de mer : salé
Ces longs désirs ne cèdent !
Mémoires vivifiées
Ils ne seront plus pliés
En triste histoire
Où vampire veut boire
« Fan-fan La
Tulipe » œuvrant :
Sa liberté offerte
Au Commun Bien ouvrant
Notre histoire sans perte
Ami : Palais Miroir
Ne reflète Espérance !
Qui y agite encensoir
A se sanctifier : tant pense !
Pour tempête a tremblé :
Oui : grand roi qui agite
Violence : à tant sceller :
Nos voix : se dépite !
Nul Sacrifice en croix
Où roi se perd en lois
Qui aboient – discriminent
Pour le Pire qui ruine
Ses cartes en château
A nier tant la Misère
Qu'il chasse pour gâteau :
Bien manger :
Oui : Nous : ferre !
En tous azimuts joue
A perdre horizon
Ce roi qui met au clou
Notre Histoire :
Oui : sans drame !
« Cent
Jours » : Napoléon :
Refait : pour quelle guerre
Où roi crie renom
Sa « Renaissance » espère !
« Formidable Miroir »
Abandonné sans suite
Par « Agora » non cuite
Où Peuple veut tant boire !
Sa distance Oui : gravée
Au marbre de Mémoire
Bien moderne à rêver
Libération sait croire !
Ses fenêtres fermées
Aux réseaux du roi-mythe :
Où pensées vides citent
Ses idées tant aimées !
Avancer : notre Démos
Où « Ressources Humaines »
Croient grignoter son os
Au Capital s'enchaînent !
Tension civile en zeste
De nos fruits : qui presse
Ce vain roi pour sa
Messe !
Pour Misère : c'est Peste !
Qui fait vivre Cité ?
N'est-ce Peuple en ses Rêves ?
Qui nie tant sa beauté
Lui veut Guerre sans trêve !
Nous en grande élégance :
Chacun en « p'tit roi » le pense
En pulsions de mort mortes
« Faisceaux » perdent escorte !
Et Commun remonté
En désirs profonds soufflent
Tant de voix qui redoublent :
Vent en chemin arpentés !
Nulle Cause à soulever
Où pour vrais plaisirs : levée
L'âme en corps se repense
Où l'Oubli blessé se panse :
Et hors-miroir de roi
L'enfance en Nous se cherche
Pour Paix en âme voit
Mesure où Plaisir se perche :
Là : au plus haut des cœurs
Commun en Peuples veille
Guerre à eux : trouve éveil
Pour leur Paix voit douleurs
De leur enfance niée
Peuples en voie d'histoire
Ne sont par haches sciés
Par rois pitres sans gloire !
Le nôtre en Négoce perd
Sa vue en Moteur qui grince
En notre Empire bien mince
Pour p'tits espoirs s'affaire !
Tant de luxe en bons vins
Pour bonne chair n'est vain
« Espoir » s'en carbonise ?
Désir en sol mort n'a prise !
Épopée rebâtir
Que les rois s'y perdent :
« Paris » « Ulysse » à re-luire
En Nous : unis ne cèdent :
Pour nul tyran trouvé
« Esclave Volontaire »
Sur nulle épée : gravé :
Nom d'Humain : tu serres !
Voir foudre et arc-en-ciel
Pauvre vie d'Ezequiel
Se perd – se divise :
Désir en feu : couleurs prises :
A l'eau en air malade
A tout reprendre : Aie garde :
Ami : Partout tous mêlés
Rois pour guerre en mêlées
Qu'inconscient : en Oubli : crèvent
Pour ces rois : tous grands rêves
Tant de peuples le crient
Savoir en douleurs : pris
Même en eaux tremblée
Même où l'ouragan porte
Même où feu emporte
Terre en vies rassemblées :
Ne silencie moteur :
Mécanique automate :
Grand Capital en cœurs
De vie : rêves n'abattent !
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