Le 30-07-2019
UN REGARD TOURBILLON
Le vent fait voler ton
amour dans les nuages
Qui s'ajoure à l'azur où
veillait le soleil...
Loin là-bas il exulte au
fond du paysage
Près duquel sa vive
fontaine m'émerveille
Je n'étais cacique de la
nouveauté …
Magique rayon qui me
visite de face
Je suis resté tacite avec
ma liberté
Mais je fus quitte de tout
bâillon pour ta trace
Pris par les toits
l'instant d'azur passa les murs
Et le vent caressa l'ombre
dans l'avant-scène
Ah ! Comme avec toi
le temps eut été mûr
Je fus sommé d'appeler un
nouvel hymen :
Celui qui court au milieu
de toutes les nuits
C'est la veille déjà
pour un horizon rose
A mille lieues ce qui
sourd c'est ton œil qui luit
Et sa raison là-bas égaye
ici mes causes
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