Le 2/10/2016
CE QUI OUTREPASSE LA PEUR ET OUVRE ENCORE A L'AMOUR !
En un Lieu Où Mémoire
Sonne Encore : Automne est Mieux à Donner Espoir et Liens
Et ce qui a Tant Tonné
aux Corps n'est aux Temps qu'Adieux pour du Rien et sans Remords...
O Des Mains se Serrent ?
Référées à l'Humain, elles sont à mille lieues du Rien et
Entonnent
En Ville l'Art qui n'est
Mort pour Demain et se Déferre de ce qui Mord Odieux, si servile
dans
la Mort à Révérer dans
le Rien à faire Guerre à l'Art et à tout ce qui Résonne d'Amitié
pour
L'Humain à le faire Taire
en Tous Lieux pour un Paradis comme si d'ici il devait Sortir du
Chaos tant Espéré . Hommage au Courage qui Dit et Redit la paix
Sans Céder au Chantage aux Paradis Artificiels et au Chaos avec son
Pendant : la Mort de l'Humain et le Diktat !
UN AUTRE POÈME A DIRE ICI
ET MAINTENANT !
Frais vent pour l'automne
engagé– été s'efface
non hâté – près
d'orage comme retenu...
A hésiter- sa venue
étonne la place
Sous auvent – à son
aulne – on le sentait menu
Inventer hommage au son
revenu d'un temps
Qu'à vers cités ténus
une page s'envole
n'est à lente venue
d'hiver qu'or à l'instant
dans le nu du vert ramage
où rien ne s'étiole
Soleil versé des nuages
en corps : si doux
qu' assez tu veilles aux
décors et nous engages
à égayer pour accords où
– gage du mois d'août
on sait d'émois s'essayer
alors au redoux
Si étrange renaît ce qui
sonne des voix
Ce n'est à se ranger
grisonnantes en pierres
Qu'anges en sons :
raisonnent : au sens né d'envoi
en saison : on les voit
réengranger lumière !
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