Le 5-07-2023
OUI : JEUNESSE EN PEUPLE A TOUTES SOURCES OUI ROI SE PERD !
« Europe » en Schiller briguant :
Échanges ! En elle sont rares
Où Bien et Beau sont tares
Juste n'est élégant
Pour histoire en faux drame
Bon roi : les âmes tend
A les violer en faux temps
Sa victoire sur corps acclame :
Pour guerre à tant d'mémoires
Il veut tant et tant boire
Qu'en comique en son miroir
Or vraie science n'est garce
Roi idolâtrant singes
Pour pourrir tant méninges
Les veut propres en Mars
Où violence en jeunes trace :
Balles ont déjà tué
Pire violence à ruer
Qui en miroir-pouvoir
Veut jeune mort et boire ?
A le forcer : faux rêve
Qu'en bulle il crève
Pour Capital sans gloire
A le perdre a vain espoir !
Dans « monstre froid » entrer :
Commun piller sans Histoire
Voulant le pénétrer
Qui se saoule à la boire ?
Dom Juan sans Marianne
O roi guerroie moulins
Non ne s'ouvre Sésame
A fermer n'est malin !
Qui " putsche" en nos âmes
Veut donc un vrai « Golpe »
C'est p'tit César qui trame
Son vide tricoté
Imitant tous rois princes
Partout où leur mal grince
Qui nous veut bien esclave
Oui partout nous entrave !
Bon mouton en vrai loup
Corps vole à tondre et mordre
Partout ça fait désordre
Qui va perdre à tous coups ?
Nulle romantique alarme
Où guerre est notre drame
Pire profit allant au crack
Son monde nous attaque !
« Plus jamais ça » ! Qui grille
Nos rêves : faisceaux sans trêve
En nos sens : oui s'étrillent
Car pensées
science art n'habillent :
Où on sait Vie r'démarre
Sans même crier gare
Nos corps ne vont baver
En nos mémoires gravés
Toutes fleurs en savoir montent
Bourgeons – surgeons se comptent
Leurs vies à mouler racontent
Toutes histoires en contes :
Aux nids de grands poèmes
Le temps suspendu se sème
Travail volé ne souille
Nos lèvres qui se mouillent
Poème : prends-y vrais décors
Arrosés par sueur aux corps
Nos vies qu'amour invente
En commun d'âmes : ventent
L'exil vient en Nous rappeler
Qu'en nos ombres : salé
Musique en notre sol : brille
Débroussaillé : elle scintille
Le vrai suinte en nos murs
Qu'ils reprennent allure
Ici en Colonie brûle
C'est notre
histoire en bulles !
O Nos vies dégrossir
En faux savoir ne pèsent
Qu'à nous vouloir assis
Mais notre histoire est ascèse !
La trime sonne en chœur
Où toutes vies s'estiment
Jeunesse sait : son cœur
Bat pour Justice : digne !
Europe en concurrence
Perd toutes ses sources
Qu'on la reprenne et pense
Hors de toute vaine bourse :
Où banques n'ont plus d'fleurs
Guerre oui tant affleure
Où en nous tend son heure
Taux d'crédit monte, écœure !
Pour tant de vies perdues
Pour Europe vendue
Allons donc bien la prendre
Pour nul peuple à vendre
Nos histoires recoulent
En nos mémoires se moulent
Où tout exil n'est conté
Qu'en toutes vies montés
Vraie richesse
achetée ?
Vraie vie à
rejeter ?
Où le pire s'acclame?
Mais en Nous oui s'alarme !
Esclavagiste en perd
Ses armes pour l'enfer
Vie noyée ou
ferrée ?
Pour « der des ders » serrée ?
Que la vraie vie triomphe
Que nul roi la défonce
O Nulle Rome en Ruines
Où vie en rois se débine
Mais qui va l'art reprendre
C'est bien en Nous à ne vendre
Que l'Histoire n'a pas de fin
Tous peuples en ont faim
Et tous faisceaux oui meurent
Où Nous chantent en chœur
C'est vie aux corps qu'on défend
Toute vie ne se fend !
Que plus elle ne chauffe
En ciel et sol
sont saufs :
Tous humains pour l'espoir
Et bonheur aux corps voir
Où tous empires s'arment
Où notre roi s'acclame
Europe en pire profit
Peuples en elle défient :
Tous monstres qui guerroient
L'Europe est-elle en croix
Pour tant de
peuples : proies ?
En ses puits tous
résistants !
Pour tout encore à venir
C'est neuve Europe à tenir
Sauf si on croit aux princes
Mais le vide oui les pince
Qui vend Europe aux empires
Nous voyons là qui la tire
Vers le bas : concurrents
En vain choix bien errant
Nos vies non étriquées
Vont là en découverte
Toutes portes ouvertes
Bien et beau embarqués
Où vérité se remarque
Peuples non ne vaquent
Leurs vagues ne s'alarment
Où empires tuent et s'arment
Qui a l'avenir en espoir
Voit partout "Rois en Poires"
Pour l'exil oui : ennemis
Mais collaborer en amis :
De tout empire ils grondent
Qu'ils ne cachent
leur honte !
Mais voyons :
nul choix qu'en honte !
Appuis à tous
résistants compte !
Mais voir travail creuser
Que bête immonde n'achète
Sueur sang le répètent
Mémoires ne sont
rasées !
Toute honte remue
Car l'histoire ne se tue
Jeunesse doit savoir
Où sa vertu veut boire
En elle est vrai miroir
En notre temps sait voir
Où s'accroît le pire
Oui c'est moteur d'empire
A la ruiner qui tire
Et tue : Navire coule
Pour faisceaux
d'empire !
Jeunesse en
fontaine roule :
Fraîchit travail qui libère
Oui bien : toutes nos voix
Oui jeunesse on te voit
Tu n'as plus donc d'enfer !
Qui fait briller neuf monde
Ne s'y brûlera
plus
A pauvre flamme en ondes
Où ombres sont
perdues !
Âmes ne sont esclaves
Où leurs corps sont volés
Oui leur vraie force est brave
Jeune ne va t'isoler
Monte en scène : tribune
Ton forum ne s'enlève
Démocratie n'a d'enclume
Qu'en vraie où tu l' lèves
Oui elle est si ridée
Que roi la veut au vide
Jeune ne sois timide
Fais lui procès en cité
Il nie tant ces faisceaux
Que de toi et nous se moque
Pour briller en son époque
Contre nous veut l'assaut
Il n'est pas aveuglé
C'est en manager qu'il
ruine :
Peuple en coupe réglée
Mais il en perd sa mine
Château de cartes s'effondre
Roi ne peut plus s'y fondre
Sa chasse à l'Humain se perd
Sa jungle n'a plus d'air
Calculs au probable : en guerre
C'est bien lui qui se ferre
Aux pieds dans ses boulets
Ses mains prises au collet
Il est perdu en procès
A se vider en lubies
En ses conseils : cassé
Roi d'Europe en
habit :
Perd peuple et jeunesse
Pour Rien : il courre encore
Europe il la rabaisse
Pour basse cour sans Corps :
Qu'à faire morale
en tout :
A effondrer les peuples
Pour désordre
partout :
Sa violence le meuble !
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