Le 2-07-2023
REPRENDS TES SOURCES EN SAVOIR NON PERDUES DANS LE RIEN !
Atterré par Savoir
Perdu : qui croit reflet
Pour briller en Pouvoir
Notre histoire empaler ?
Pour guerre nous plier
Pour la jeunesse en ruines
Pour notre peuple scier
Pour si faux pleurs : qui couine ?
Mais l'espoir dans nos souffles
Pousse en nos vives voix !
Hors sacrifices
n'aboient :
Nos pensées sans
nul double :
N'ont représentation vide
Où leur scène n'est perdue
Rempli d'art non vendu
Mais au savoir limpide :
Grand fleuve issu de sources
Chargées de sève crûe
Tombée d'arbres : aux nues :
Pour nous multiple en secousses !
Allons-y voir nos fées
Qui ici en tous bords dansent
Nul « Baal » ou « Graal » n'avancent
Qu'en pauvre roi : surfaits !
Oui : Nous sans plus dragon
A vaincre : l'archange ne brille
L'épée rouille au lagon
Du fleuve où tout s'rhabille
Nous savons : puits sonnant :
Vie : en nous reprise
Pauvre fin n'a plus prise
Où savoir n'est enchaînant
Prince sera perdu
Où l'énergie n'est morte
En pensées non vendues
A un Machiavel d'escortes
Cité en toutes cités
Ne se perd en chair vive
Nos sens au corps l'écrivent
Au reflets en Nous sont beauté
Plus d'esclave en savoir
Repris à qui le vole :
Prince au vide s'isole
En haine sans encensoir !
Chouette et Colombe en vie
Où Minerve en paix appelle
Oui la nuit nous révèle
L'aurore en nous : ravie
Dividendes comptés
Prince écoute ses conseils
Pour nos âmes mâter
En fausse science : il veille
Se craquellent en fissures
Jusqu'à tomber nos murs
Que ça implose en Crack
Que le virtuel nous traque :
Banques fortunes enflent
Où « Monstre Froid » appuie :
Leur guerre en Nous ne luit
Où nos savoirs se rassemblent !
Jeunesse prends la vie
Que partout elle vole
Mémoires en toi n'ont rigoles
Perdues où l'enfer est ravi
Où colombe est attristée
C'est à te faire mourir seule
Qui veut en guerre veule
Savoir en toi : déserter
Prends tes fruits pour l'espoir
Que nul ne tend en corbeilles
Tu sens leur vie qui s'éveille
En toi enrichie d'histoire !
Tu vois le peuple réel
Monter l'échelle des rêves
Tu le sais : ils appellent
En toi et tous sans trêve :
Hors nuit de désespérance
Révolte et amour qui pensent
A sueur d'épuisement
Où la guerre nous ment
Il n'y a d'étrange qui compte
Ni paix de fourmi en conte
L'égal au différent se cherche
Nul pour boîtes en crèche
Cendrillon est en cités
En nuls cadeaux d'affaires
Jeunesse voyez sa beauté
Tu sais qui lui fait guerre
Nul silence de marbre
Où tant de murs enferment
Nul vrai dans pires ladres
Jeune : beau et juste : sème !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire