LE SECRET
Le pas du sens
Sous l’orbe fauve
Du ciel qui veille
La langueur où il erre
Contiennent le choc
D’une parole conflagratrice
Déjetée sous des amours
Qui rampent
Mais – Ici – si la musique
Fait son travail d’orfèvre –
Elle remplit tout
De la coupe aux lèvres –
Ecartelant le froid et unique chaos
En flammèches multiples pour cristal
Elle sait jouer avec le silence
Et couve la renaissance
Jusqu’à toucher la lune et le soleil levant
Dès de moment le sens trouve son chemin
La ville dit aussi son secret
En s’abandonnant à cette vivacité
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