O MISÈRE SORS DE TES FERS ! VOIES ET FAIS TA MUSIQUE !
En pensant à la fontaine de Pétrarque ( dans ses sonnets ) et à la poussière du temps qui passe : Là Laura est passante souveraine ...:
La misère s'y reconnaît et sort de cette poussière du temps !
En pensant à la fontaine de Pétrarque ( dans ses sonnets ) et à la poussière du temps qui passe : Là Laura est passante souveraine ...:
La misère s'y reconnaît et sort de cette poussière du temps !
Souffle ta propre partition
Ô Misère ignorée !
Tout ce qui poussière
Te rentre dans l'âme
et peut te glacer où te brûler
Ne peut l'entailler !
Les ailes du temps
Reprennent tes airs
Et te font musique
D'être mise au tamis de l'instant
Que joie en de meilleurs vents s'étende
Dans ta voix d'où tes amis t'entendent
Et a prise en tes choix où ils tendent
Tu seras vraie et forte dans l'être
Si ici chantant à tes fenêtres
Tu te rappelles de la fontaine
Qui est en nos corps belle et souveraine
Celle qui toujours nous rafraîchit
Dans les plus hautes températures -
Celle qui réchauffe nos corps transis ... :
Et - en ton séjour - plus rien n'est dur
O Misère n'écoute pas l'écho
Qui ferraille contre ta musique
Il ondoie sans mesure : comme trique
Mais - toi - tu l'affines aux égaux !
Pétrarque qui chantait sa Laura
Savait qu'elle résonnait fontaine
Que sa planète y brille d'auras
En glissant au croissant son étrenne !
Qu'on t'entende donc au corps ici Misère
Et que ta vue d'horloge du temps
Relance aux décors - Âme hors des fers -
Ton étendard encore insistant !
Ô Misère ignorée !
Tout ce qui poussière
Te rentre dans l'âme
et peut te glacer où te brûler
Ne peut l'entailler !
Les ailes du temps
Reprennent tes airs
Et te font musique
D'être mise au tamis de l'instant
Que joie en de meilleurs vents s'étende
Dans ta voix d'où tes amis t'entendent
Et a prise en tes choix où ils tendent
Tu seras vraie et forte dans l'être
Si ici chantant à tes fenêtres
Tu te rappelles de la fontaine
Qui est en nos corps belle et souveraine
Celle qui toujours nous rafraîchit
Dans les plus hautes températures -
Celle qui réchauffe nos corps transis ... :
Et - en ton séjour - plus rien n'est dur
O Misère n'écoute pas l'écho
Qui ferraille contre ta musique
Il ondoie sans mesure : comme trique
Mais - toi - tu l'affines aux égaux !
Pétrarque qui chantait sa Laura
Savait qu'elle résonnait fontaine
Que sa planète y brille d'auras
En glissant au croissant son étrenne !
Qu'on t'entende donc au corps ici Misère
Et que ta vue d'horloge du temps
Relance aux décors - Âme hors des fers -
Ton étendard encore insistant !
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