dimanche 31 mai 2020
EXIL MISÈRE : LA GUERRE NOUS FORCE EN NOTRE ÎLE - MAIS SUR LA TERRE SE NOUE AUTRE AMORCE FÉBRILE ...
Le 31-05-3020
EXIL – MISÈRE : LA
GUERRE NOUS FORCE EN NOTRE ÎLE
MAIS SUR LA TERRE SE NOUE
AUTRE AMORCE FÉBRILE !
OUI ! La guerre
qu'ils font en toi – tu l'useras
Et la gagneras – livrant
à ton vif silence
L'autre devant lequel –
plus tu ne frémiras
Avec qui tu partageras
vive présence
A l'amour dissymétrique –
mort cédera
Son mur même – à
s'écrouler devant le toujours
Sera occasion de danses - tu l'aimeras
Car – tu verras –
l'élan se fera en plein jour
Ce qui fait tant
disparaître dans le néant
Brûle son enfer devant
les métamorphoses :
Ce qui bruisse dans
l'apparaître – Ici Céans
A les couleurs de l'être
multiple des choses
Nous pouvons être à leur
école – incessamment
Le temps fébrile
n'empêchera l'abondance
Eole en Misère emporte ce
qui ment
Nous – un autre puis un
autre – toujours s'avancent
samedi 30 mai 2020
LE JEU D'OMBRES - DES VOIX - DU SILENCE ET DE LUMIÈRE
Le 30-05-2020
LE JEU D'OMBRES – DES
VOIX
DU SILENCE ET DE LA
LUMIÈRE
Je ne voudrais pas voir le
silence perdu
Sans avoir regagné les
traits de la présence
Que rut d'océan en ville
ne tait plus
Jusqu'à muter en nuit par
ce qui luit d'absence
Si la terre en ciel
s'évanouit dans l'obscur
Va danser dans les
branches la corne platine
Pour exorciser la veille
prise en les murs
Et mes rêves les plus
forts ne tombent en ruines
Tombant de p'tis abîmes :
voix mouillant romances
C'est pour départs neufs
qu'elles roulent l'infini
Des rires essayés
accoutumés d'errance
Font évacuer le pire en
leurs maigres nids
Or à la fenêtre du songe
on voit encore
Échapper au paraître qui
ronge – notre être
On voit s'enraciner bohème
dans les corps
C'est nuit de ramdam où
se perdent tous les maîtres
Mais qu'on s'abandonne au
feu restant de ce temps
Pour le traduire en poème
au jeu de l'instant
Les êtres du Démos n'ont
dit leurs derniers mots :
Ils sont l'écorce du
savoir et ses rameaux !
vendredi 29 mai 2020
jeudi 28 mai 2020
mercredi 27 mai 2020
A MA FENÊTRE - POÈME REPRIS DE L’ANNÉE 2016
A MA FENÊTRE
Le moucheté-frappé de la
bruine
Sur la bouche ouverte
A la solitude
De veille –
Grise un combat
Que le « Liederkreis »
Accompagne et engraine
De lignes de cœur
Branchées dans
Une pure
« Stimmung »
« Nichts ist
vorbei ! »
Le socle de la nuit est
bien gravé
Dans le silence en saillie
Sur le sol de ma
Propre voix
Il n’y a pas d’autre
rossignol
Que celui de ce chant
Fécondant
Ma joie au-dessus
De ma ruelle qui ruisselle
De clair-obscur …
Oui ! Rien est
passé !...
On n’est pas sans amour
…
« Nie mehr ! » :
le nid des haines
S’efface dans le secret
Complice de la ville
Qui veille sans
Rumeurs
Bientôt on recoudra la
laine
Du ciel avec la clameur
A chaque fois nouvelle –
Ecrite sur le tableau
évanescent
Des vitesses précipitées
Vers le « labeur »
Mais on n’attend rien
Et l’air est suspendu à
la toile noire
Nuées tendues sur les
toits …
Et le temps est sans autre
lien
Que celui du chant et de
Sa musique qui court –
court
Dans la nuit souveraine
D’où s’est évanouie
La bruine
On n’entend pas la
misère
Aux pieds d’argile
Et l’exil est
Sans air audible
Tandis que s’est
essoufflée
Toute rébellion à
siffler
Dans les cornes
De la promesse
D’un matin
Mutin
O Tranquille – trop
tranquille rideau
Qui rissole de lumière !
Lait d’or à ma
Fenêtre ouverte !
L’air – lui-même dort
Avec la douceur
Angélique et mélancolique
Du chant qui laisse
Macérer l’oubli
Dans la tête
Et toi ! Ma sœur !
Toi : mon humanité
Entends-tu le
« Liederkreis » ?...
En ce lundi dans mon pays
–
Paris est mon bail
Que la beauté
Du silence
Souligne
Avec tes doigts
De fée des sables
Toi ! Que l’âme de
la ville
T’installe sur le
piédestal où je veille –
Je te le dis : il n’y
a pas
De mur qui ne se
Surmonte …
Le merle chantera pour toi
A l’afut qu’il est de
tous les éveils
Nous mettrons l’aube
A notre service
Comme nous nous
représentons
Le lointain et le futur
Arracher toute
Barricade à
L’amour
Dès qu’ils rentrent
Dans nos rencontres
matinales
Les monstres n’entendent
pas
Le cœur de nos voix
Ils ne savent
Ecouter le
Silence
Ce « Liederkreis »
aura été
Une petite école pour
Nous apprendre
Que nous
Ne pouvons surseoir
A ce qui nous tient
Debout !
Il chante la solitude à
partager
Dans la jubilation
De nos désirs
Il est sans fin ce chant
Aux mille facettes d’une
passion
Ouverte comme l’est
Ma fenêtre où je
Suis enchanté
mardi 26 mai 2020
AU VIF ALLANT EN NUIT - L'INSTANT INCISIF LUIT
Le 26-05-2020
AU VIF ALLANT EN NUIT
L'INSTANT INCISIF LUIT
Le faîte des remparts –
l'écharpe d'or les rasât
Ramonant jusqu'au flux
inondé de silence...
Hirondelles ! Criez !
Mona Lisa
De sa tourelle vous prie
en sourires-lances
Un dernier chien d'écume
secoue de sa rumeur
Les monolithes blancs qui
sécrètent musique
Avant que – doucement –
le jour délité meure
Mais sur ces lèvres
fermées : lumière magique
lundi 25 mai 2020
dimanche 24 mai 2020
samedi 23 mai 2020
vendredi 22 mai 2020
mercredi 20 mai 2020
LES OISEAUX INDIQUENT LA LIBERTÉ SANS PRIX - LEUR RÉSEAU MUSIQUE EN CITE NOUS L'APPRIS
Peinture : Antoine MASSIANI
Le 21-05-2020
LES OISEAUX INDIQUENT LA
LIBERTE SANS PRIX
LEUR RÉSEAU MUSIQUE EN
CITE NOUS L'A APPRIS
Si je ne veux pas faire
tomber mon amour
Dans une cage pour
l'oiseau que je veux libre
Allumant ma page à la
flèche du toujours
J'incendierai l'enfer aux
feux de ce calibre !
Déployant les ailes
enflammées du silence
Aux abîmes d'âme de
l'océan urbain -
Dans le soleil de l'égal
perlant sa présence
Au creux des fenêtres –
me jetterai au bain
L'être de l'oiseau en
fraternelle envolée
Dans l'altitude des toits
– nos baisers cueille
Sans avec un paraître
vouloir les voler
Au soir il embrasse nos
maisons qui accueillent
O Chante ! Merle par
notre veille : affûté !
Dans la douce lumière du
jour qui s'incline
Tu déclines musique en
liberté fêtée
Par notre terre qui
tendrement s'en avine
A la nuit et toutes ses
lueurs en ballet
Un dernier vol de colombes
avec cris passe
Les bruits de toutes
rumeurs qui vont s'en aller
Avec lui et l'école du
monde en paix qu'il trace
mardi 19 mai 2020
lundi 18 mai 2020
Qu'En Est-Il De Notre Bon Robinson ? Sur Son Île Se Plaît-Il En Chansons ?
Le 19-O5-2020
Qu'En Est-il De Notre Bon
Robinson ?
Sur Son Île se Plaît-il
En Chansons ?
Si la guerre est un
prestige pour les tyrans
Cythère – ô Prodige –
demeure dans les rangs
De Misère que tant guerre
oblige à l'éveil
Il sied qu'en nous elle ne
se fige en sommeil
Si liberté de la paix
habite nos pas
Pour l'égalité elle
implique bons repas
Où la fraternité
orchestre la musique
Sans qu'un maître nous
fasse céder à la trique
D'un travail harassant
sans mesure ni loi
Pour que le riche fasse
flèche de tout bois
Il n'est encore temps que
« grand mal » disparaisse
Qui a tant attendu avant
qu'il n'apparaisse
Sait qu'il peut se
répandre encore en ce pays...
Qui a donc ouvert une
nouvelle saillie
Dans le beau corps du
Peuple que tant il haït
Il déclare avec le Poulpe
qu'il n'a failli
« Soyez
volontaires : travail sans satiété !...
« J'ai atterré le
« mal » vaille que vaille en beauté »
Foule se presse dans le
métropolitain
Les masques tombent aux
masques qui chers se payent
Lui à nous s'adresse –
sachant qu'il n'est atteint
Lui ce bon « Robinson »
qui toujours sur nous veille
dimanche 17 mai 2020
samedi 16 mai 2020
MAL A LA TERRE ?? UN VIRUS CRÉE UN VETO D'OMBRES ?! CE SONT COURONNES ET ACCRÉDITEURS DU MONDE !!!
Le 16-05-2020
MAL A LA TERRE ? UN VIRUS CRÉE UN VETO D'OMBRES ?!
C E SONT COURONNES ET ACCRÉDITEURS DU MONDE !!
1) La terre irritée sur le fil de l'avenir
Glisse sur l'enfer avéré d'une présence
Qui louvoie avec elle sans y parvenir
La trouvant si belle qu'il lui enlève essence
2) S'en croyant maître il prend toute son énergie
Pour la livrer à toute puissance inhumaine
Alors qu'il n'y aurait vraiment nulle magie
A la donner pour l'égalité souveraine
Qui pourrait tenir un équilibre si fort
Entre êtres libres et la nature en accord
En respectant harmonie entre faune et flore
Oui ! Comme dans le nid où l'oiseau vient d'éclore
C'est à l'Humanité de renaître elle-même
Non aliénée par des puissances qui ne l'aiment
3) Non ! La terre n'est nullement notre ennemie
De même que la misère – elle est notre amie !
Une aube intranquille à l'aune d'un nouveau vent
Ouvre bien nos villes à un soleil savant
Séparé de tous esclaves qui s'y fourvoient
Ce sont agioteurs qui nous font perdre la voie
Nulle nature en ces flux virtuels qui font la ronde
Autour du futur des accréditeurs du monde
4) Ni mobilité flexible : Vacuité !
Ni leur fixité intangible : Surdité !
Les deux liées sont à la terre : le Léthé
Un fleuve déplié sonne Vie en Cité
Nous sommes ce fleuve – Rien ne peut l'arrêter
Toute étape à franchir est déjà nouveauté
Dans ce monde les rois tiennent à l'arrêter
Il sortira de terre avec lyre et beauté
Du mal sa ronde ira pour famine et misère
Noyer le véto en nombres qui les font taire
1) La terre irritée sur le fil de l'avenir
Glisse sur l'enfer avéré d'une présence
Qui louvoie avec elle sans y parvenir
La trouvant si belle qu'il lui enlève essence
2) S'en croyant maître il prend toute son énergie
Pour la livrer à toute puissance inhumaine
Alors qu'il n'y aurait vraiment nulle magie
A la donner pour l'égalité souveraine
Qui pourrait tenir un équilibre si fort
Entre êtres libres et la nature en accord
En respectant harmonie entre faune et flore
Oui ! Comme dans le nid où l'oiseau vient d'éclore
C'est à l'Humanité de renaître elle-même
Non aliénée par des puissances qui ne l'aiment
3) Non ! La terre n'est nullement notre ennemie
De même que la misère – elle est notre amie !
Une aube intranquille à l'aune d'un nouveau vent
Ouvre bien nos villes à un soleil savant
Séparé de tous esclaves qui s'y fourvoient
Ce sont agioteurs qui nous font perdre la voie
Nulle nature en ces flux virtuels qui font la ronde
Autour du futur des accréditeurs du monde
4) Ni mobilité flexible : Vacuité !
Ni leur fixité intangible : Surdité !
Les deux liées sont à la terre : le Léthé
Un fleuve déplié sonne Vie en Cité
Nous sommes ce fleuve – Rien ne peut l'arrêter
Toute étape à franchir est déjà nouveauté
Dans ce monde les rois tiennent à l'arrêter
Il sortira de terre avec lyre et beauté
Du mal sa ronde ira pour famine et misère
Noyer le véto en nombres qui les font taire
vendredi 15 mai 2020
jeudi 14 mai 2020
travail - salaire - profit - emploi
https://www.arte.tv/fr/videos/083305-002-A/travail-salaire-profit-emploi/
Travail - salaire - profit - marché
https://www.arte.tv/fr/videos/083305-004-A/travail-salaire-profit-marche/
mercredi 13 mai 2020
Doit-On Détruire Le Monde de La Macronie Pour Construire Le Monde d'Après ?
https://www.youtube.com/watch?v=wN6ThIA8HOI
PROKOFIEV Songs and Romances
https://www.youtube.com/watch?v=XVqEyXgj-6Y&list=OLAK5uy_mSZaoyr63BBBdQmzGVpkfb72UDVsOR0tU
mardi 12 mai 2020
Barbara Hannigan et ses rêves de Hongrie
https://www.arte.tv/fr/videos/086139-000-A/barbara-hannigan-reve-de-hongrie/
FIGURES DE LA PENSÉE OUTRE SITUATIONS D'OPPRESSION
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/philosophes-emprisonnes-44-rosa-luxemburg-antonio-gramsci-varlam-chalamov-penser-a-lepreuve-de-la-violence
CE QUI EBRANLA LE MONDE !
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/philosophes-emprisonnes-24-parce-quelle-tourne-giordano-bruno-et-galilée
Deux œuvres majeures du romantisme français finissant
https://www.facebook.com/franceinter/videos/vb.122067514495044/1212076542296421/?type=2&theater¬if_t=live_video¬if_id=1589288472003927
lundi 11 mai 2020
TEMPS DE BELLE IRRIGATION EN ENERGIE QUI ÉTEND BELLE PROPAGATION SANS MAGIE - VENUE DE LA TERRE : L’IDÉE DE LA JUSTICE QUE LA MISÈRE ADVENUE FAIT ENTRER EN LICE ... DANS CE MONDE CLOS - AU MIROIR DE QUELQUES OMBRES : VOIR AU HALO DE NOS RONDES : CALQUE MOINS SOMBRE !
Le 11-05-2020
TEMPS DE NOUVELLE
IRRIGATION EN ENERGIE
QUI ÉTEND BELLE
PROPAGATION SANS MAGIE
VENUE DE LA TERRE :
NOTRE IDÉE DE JUSTICE
QUE LA MISÈRE ADVENUE FAIT
ENTRER EN LICE
DANS CE MONDE CLOS AU
MIROIR DE QUELQUES OMBRES :
VOIR AU HALO DE NOS
RONDES CALQUE MOINS SOMBRE !
La terre irritée sur le
fil de l'avenir
Glisse sur l'enfer avéré
d'une présence
Qui louvoie avec elle sans
y parvenir
La trouvant si belle qu'il
vole son essence
Il la salit en lui prenant
son énergie
Pour la livrer à toute
puissance inhumaine
Alors qu'il n'y aurait
vraiment nulle magie
A l'harmoniser avec
l'Egalité Reine
Qui ne pourrait tarir un
équilibre fort
Entre âmes libres et
leurs corps tout en accord
Et respectant harmonie
entre faune et flore...
Et comme dans le nid où
l'oiseau vient d'éclore
L'Humanité renaît – si
fière d'elle-même
Qu'en pensées coupées
des puissances – elle essaime
Non ! La terre n'est
nullement notre ennemie
De même que la misère :
elle est notre amie...
Une aube intranquille à
l'aune d'un mauvais vent
Ouvre halo en nos villes
pour soleil savant
Séparé de tous esclaves
qui les fourvoient :
Ce sont agioteurs qui nous
font perdre la voie
Nulle nature en ces flux
de virtuelles rondes
Et nul futur dans les
accréditeurs du monde
Leur flexible mobilité
tue tous nos droits
Leur fixité intangible
est mort de Nos lois
Les deux liées sont à la
terre le Léthé...
Un fleuve déplié donne
vie à Cité !
Nous sommes ce fleuve par
Nature apprêté
Et nous nous abreuvons du
monde hors du Léthé
La terre en sortira avec
Lyre et Beauté
Personne ne hantera plus
nos nouveautés
Et Famine et Misère
seront en nos rondes
Nul ne les fera taire avec
un veto d'ombres !
dimanche 10 mai 2020
samedi 9 mai 2020
ACTION D'UNE ASSOCIATION D'AVOCATS POUR LE RECOURS EN JUSTICE EN DROIT PÉNAL D'EXACTIONS CONTRE DES CITOYENS PAR DES RESPONSABLES ELUS
https://www.cabassocies.com/fr/reaction-19/?fbclid=IwAR1UotqawAx_3GMSOmn11kEdg63unt7FrZpZYyKIV62Ho2ivXFXv3o92cBY
UN APPEL A RASSEMBLEMENTS ET MANIFESTATIONS
https://openagenda.com/agendactions/events/toulouse-a-lappel-des-soignant-e-s-on-leur-fait-payer-leur-crise?lang=fr?lang=
vendredi 8 mai 2020
"Robin" Un film tout de positivité, de justice et de tendresse sur arte tv
https://www.arte.tv/fr/videos/071461-000-A/robin/
jeudi 7 mai 2020
DANS L'INSTANT LA DÉTRESSE QUI SE CONSUME ALLUME LE TEMPS DE LA TENDRESSE CONFINÉE
Le 7-05-2020
DANS L'INSTANT LA DÉTRESSE QUI SE CONSUME
ALLUME LE TEMPS DE LA TENDRESSE CONFINÉE
Matin doux …
Flirtant avec les toits : zig-zag d'ailes...
D'ailleurs... Et
soudain... : Par vagues : les hirondelles
Qui sans stridence rendent
léger le silence
Pour nous abréger le
temps de prendre présence !
De l'azur un elles
viennent poser les balises
De notre printemps pour
qu'il se revitalise
En ce commun exil forcé
derrière murs...
Que la pensée de la ville
prenne autre allure !
Avec elles ce poids du
lointain senti proche -
Que des nichées d'amour
épousent et approuvent -
Pèse moins que l'écrin
de plumes qu'on y trouve :
Ce secret jamais éteint
que notre âme approche
Or franchir de
l'océan-ville les distances
Y sentir la foulée du
monde en conséquences
C'est un pas d'aile
qu'hirondelle ne fait plus
Dés que posée sa ronde
en lieu qui lui a plu
Qui connait exil misère
labeur de l'Humain
Ne renait dans la ville à
l'heure de la « toile »
Et si du cri de
l'hirondelle il ne se voile
C'est qu'au soir il prise
ses ailes pour demain
Car si l'aube n'est pas
rancunière en amour
C'est qu'elle a toujours
été sobre en sa mémoire
Le cri des colombes la
mesure toujours
Pécunière Fortune n'y
impose moire !
mercredi 6 mai 2020
SUR SA CHAIR LISSÉE SE LIT ENCORE TOUT UN MONDE
Le 6-05-2020
SUR SA CHAIR LISSÉE SE LIT
ENCORE TOUT UN MONDE
Du vermeil des roses je
me hisse vers toi
Du soleil j'apprends à
épousseter les ombres
Et recueille son instant
passé sur les toits
Puis je t'accueille à
distance de ses décombres
De ma fenêtre l'obscur
disperse les bruits
Sauf celui du malin merle
qui nuit annonce...
Ton être musique en
silence comme en puits :
Pique salpêtre aux murs y
mêlant sa semonce
Mais ton étoile ne se
consumera pas
Vénus sur Paris a beau
être dans un voile
Elle est la cavalière-muse
de mes pas
Toi ! Dans
l'apparaître non usé de ma toile
Des naseaux de Pégase tu
as aspiré
Le souffle et tu l'as fait
valser dans les genièvres
Puis l'alcool de tes
baisers m'est monté aux lèvres
Que j'ai marouflées dans
un vase de spirées
Rien oublié de ce furieux
coup de hasard
Car les ailes curieuses de
ton art limpide
M'ont lié à ce rempart
contre les yeux du vide
C'était le pied volant en
lumière d'un phare
Paris cette nuit – en
poème naviguant !
M'aidant d'un pari qui
luit à travers des vagues
Celui d'essaimer la vérité
qui s'élague
Au puits de ton amour :
je vais là l'irriguant
mardi 5 mai 2020
ARTICLE PASSIONNANT A LIRE ET ANALYSER
http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html
"Le discours du père" Emmanuel Macron -le coronavirus et les citoyens
https://www.tdg.ch/suisse/france-ecoute-discours-pere-suisse-assiste-reunion-famille/story/27566348
lundi 4 mai 2020
UN TRÈS FIN CONCERT A PARTIR DE RECOMPOSITIONS !
https://www.arte.tv/fr/videos/097445-007-A/hope-home-episode-34/
OR QU'A LAISSER ÉPANDRE NOTRE HUMANITÉ - NON-AUTRE ELLE DRESSE A SE TENDRE : SA BEAUTÉ !
Le 4-05-2020
OR QU'A LAISSER ÉPANDRE
NOTRE HUMANITÉ
NON-AUTRE ELLE DRESSE A
SE TENDRE : SA BEAUTÉ !
Passant outre
l'assèchement sous les langueurs
Nous nous assolons dans
les puits de nos solitudes
Qui se décèlent au creux
des mains en nos cœurs
Nous tissons fils aux
demains hors-désertitude
Les pas de tant d'êtres :
nous les rencontrons
Or – faisant fuir tout
paraître en notre bohème -
Nous savons qu'au mètre
qui sépare : mettrons
Celui de notre être
vigilant en poème
Pourtant la marée de
pauvres et travailleurs
Passe sous l'épandage
urbain en silence...
A retrouver le halo d'une
nouvelle heure
Hors de nos puits nous
lancerons la belle danse
dimanche 3 mai 2020
"MA NUIT CHEZ MAUD" de Rohmer sur arte tv.fr
https://www.arte.tv/fr/videos/001091-000-A/ma-nuit-chez-maud/
"LA BELLE NOISEUSE" de Rivette sur arte tv.fr
https://www.arte.tv/fr/videos/005166-000-A/la-belle-noiseuse/
Patrick QUILLET au mieux de lui-même !
https://www.facebook.com/patrick.quillier/posts/3893644737344124?notif_id=1588530951013840¬if_t=close_friend_activity
samedi 2 mai 2020
CONSTRUIRE LE BALLAST POUR LE TORRENT DE NOS CHANTS
Le 2-05-2020
CONSTRUIRE LE BALLAST POUR
LE TORRENT DE NOS CHANTS
Rumeur-silence ! Par
toi sommes affectés !
Si au bas d'échafaudages
un monde tremble
Prenons-le avec sa
saucée : dans la beauté
Qui – dans le sang de
son miroir – toujours rassemble...
Temps des primevères !
Terre déjà gonflée
Au souffle premier n'est
en guerre versatile
Contre gouffre de misère
– encore appelée
Paix mais étouffée aux
enchères mercantiles !
Eaux fortes imprimées sur
parchemin du mal
Montrez chemin qui flétrit
âme de science
Quand du charme fleuri
elle déserte le bal
Et ne sait qu'ouvrir au
prince son allégeance
Que se garde en mémoire
ce trou dans le temps
Que n'éprouve – fardée
au regard du mensonge
La pompe de gloire se
mirant en étangs
Comme faux trompe la mort
contre tous nos songes
Sur chevauchée du
printemps qui porte la vie
Arrachons traces du mal –
qu'il ne recommence
Son banal par nous chassé
qui plus ne sévit
Si partout à sa place
heureux égal avance
Un monde de « désastre
obscur » se consumera
Sous l'eau et l'astre des
rondes qui aux corps brillent
Qui au ballast en port
nouveau de chants verra
Encore scintiller étoiles
qui l'habillent !...
APPRENDRE ET PENSER : LE TRAVAIL MANUEL !
https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/travaux-manuels-0
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