samedi 9 juillet 2022

CGT : La couleur de l'argent À l’instant Cela est la surface de l'iceberg . Voir qui se bat pour une réelle démocratie entre travailleurs dans leurs luttes; Voir ce que font les délégués syndicaux permanents dans les assemblées de travailleurs. Voir qui parle réellement. Et quand des permanents honnêtes s'en prennent à la division entre statutaires et non statutaires ( contrats précaires, apprentis, stagiaires,intérimaires etc) ils sont tout simplement exclus du syndicat et ça arrive très souvent. Bien sûr la CFDT, FO,FNSEA et autres ne sont pas de reste, bien au , sur! Quand on n'est pas syndiqué et qu'on prend la parole dans des assemblées, quand on veut monter des comités de grève ( par exemple) alors on est menacé physiquement, voire même tabassé par ces soit-disant représentants syndicaux ! Quand on veut de véritables plans sociaux à égalité pour tous, en comptant les années d'ancienneté, on est menacé par ces dirigeants syndicaux qui, je le répète , jouent sur les divisions entre statutaires et non statutaires, entre ouvriers d'origine immigrés( les moins payés et la plupart : aujourd'hui : précaires) entre jeunes et vieux entre hommes et femmes . Cela a une histoire : Qui, effectivement, pour la paix sociale, entretient un climat de guerre civile qui favorise l'extrême droite jusqu'à Mme Le Pen et appuie , en fait la casse des services publics et les délocalisations ? Si des travailleurs de la RATP et de la SNCF, des hôpitaux, de la Poste, des services et commerces se battent dans la démocratie ouvrière, ce n'est pas grâce aux dirigeants syndicaux mais contre eux et contre le pire Patronat et contre des monstres étatiques . Comment en est-on arrivé là ? Les dirigeants syndicaux (là ceux de la CGT ont tiré leurs avantages comme des bourgeois d’État frappant à coup de barres de fer, ceux qui se révoltaient contre eux et cassaient ( par exemple) des ouvriers de Berliet ou de Renault en leur interdisant la parole ou en forçant ces ouvriers à rester sur leurs établis, sur leurs postes de travail pour des grèves de 24h pour des pourcentages de salaire ridicules pendant qu'eux touchaient des bénéfices et cela a été pareil, et demeure pareil dans les services publics jusqu'aux dernières grèves de la SNCF et de la RATP. Et pourquoi les grèves pour garder les retraites ont échoué parce que les fonds sociaux de la sécurité sociale et les caisses pour la retraite étaient contrôlées par eux (avec la CFDT et FO) et : c'est tout !

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