Paris Le 21-11-2021
APULÉE NOUS ENVOIE SON ÂNE
Tu rues patte arrière si obéissant âne
A mate lumière sur ton patron insane
Prends alors bien garde à ses rictus si infâmes
Faux – il ne regarde que ce qui fric sonne âme
Toi qui toujours hennit et jamais le vrai ne vois
Aller bien vers ton nid – Ne rue ! Au Rien ne crois
Qui – cause en mal banal – toujours crée un écran
En causant radical en pattes dans le rang
Maintenant vois qui hurle tant contre paradis
Et toujours brûle qui révolté n'a radis
Pauvre âne ton espoir est-il encore à ruer
Contre grande moire ? N'en as tu assez sué ?
Et qui est aux anges quand le monstre redresse
En ta tête où se range : un pouvoir qui rabaisse ?
Bien sûr tu n'écoutes quand tu rues patte en l'air
A voix qui te déroute : un peuple sortant des fers
Tu te crois en peuple mais joues toujours pour poulpe
Si là dans ses meubles – patte en l'air tu bats coulpe
Tu attends quoi ? La guerre ? En quoi croies-tu ? L'enfer ?
Quand – épate au monde - rue encore l'immonde
Personne ne criera : tout pouvoir est aux monstres
Tout le monde rira : quand il perdra la montre
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