FIÈVRE ET SILENCE
Silence … Ses palmes dans ton soupir
Font s’égosiller le merle
Juste à la corde
D’une vague
Et … La nuit s’assoupit … S’endormit
A la montée d’un sourire tien
Qui te releva aux croisillons
Ébréchés par la
Lumière … Sur
Un volet
Doucement … L’éveil … Les ondulations
Mais … Fièvre vue au cristal d’eau
De ton regard …
Qui a apprivoisé la chute
D’un cri par où
S’entendaient
Se consumer
Tes reins ?
Puis … Ton silence siffla :
Souple sirène sur
L’écume lente
Abandonnée sans reste
A l’océan glissé dans
Un devenir à
Fleur de peau …
Sans aucun roc d’affrontement …
Simplement mon plongeon …
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