CE QU’IL Y A DE MYSTERIEUX
Fraîchement entré dans la corne des oracles
Je m’essouffle sans dieu pour la pêche aux miracles
Mais sur la place : ni aruspice – ni merle
Le double de l’ennui : c’est l’épuisante course
D’apparent chaos dans les vagues qui déferlent :
Passants – véhicules en fin de nuit et moi l’ours …
Puis … Au large : le précipice de l’aube …
Je suis – repu d’oracles – le jour et son orbe
S’épanouissant blanc sur pierres indigènes
Blanc persistant … Suit l’ultime étranger sur scène :
Petit enfant chantant dans la furie du monde
Me reconnais-tu roulant poème en ta ronde ?
Semant rêves et vérités belles à ton endroit
Qui te veut roi en tranchant dans le jour étroit ?
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