PAROLE PRINTANIÈRE
La terreur qui moissonne
Pour un échanson du bonheur
Meurt de l’hiver arasé
Qui avait pesé
Si lourd
Pour l’amour dépiécé
Sens étourdis pour l’homme
à genoux
C’est en se dressant qu’il
Se désalourdit –
Cassant le roc avec la pique
De ses rêves
Et …
Des éclats de pierres
Ayant glissé sur
Le sable de
Son désir
Deviennent parole printanière …
Plus de fable qui apeure …
Autre oracle décisif ?
Il y aura eu un
Sisyphe
Heureux !!
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