Le 6/07/2016
S’ÉPANCHE EN SON SITE CE
QUI PENSE ET SE CITE AUX SONS
Ici défile...
Leurs amours ne craquent
pour un havre cherché
Sourds ne sont aux remous
et vaquent sans entrave
pour plaquer toute
enclave et courir haut-perchés
lors ne sont plus lourds à
divaguer en esclaves !
La vieille dame danse
attirée par bel art
elle y tire en veille
intense l'âme de ville
et vit en sourires sa
trame de hasard
qu'elle pense essayer en
lyre non servile
Qu'au spectacle ébruitée
– mystérieuse en reluit
cette rue pour nos yeux où
s'essuie son miracle
et qu'en lieu de cénacle
y soit vue belle nuit
mieux c'est d'y puiser
sans boire aux buts et sans claque !
Et là le fil...
Commun non réduit aux
solitudes liées
ne s'élude au calme
Un...Qu'il y luise : il éclate
tant ses âmes sur
elles-mêmes sont pliées !
Ici mille souffles en
clef ne le dilatent !
L'autre on ne peut le dire
que sans ennemi
si peu qu'on en transpire
- alors on ne chemine
qu'en Apôtre ou Sire pour
l'or des seuls amis
n'arrimant son corps que
là où mirent leurs mines !
Ne s'échappe des choses
qu'être à y saisir
et il n'y a que chape à y
poser en Maître
pour bien attraper ce qui
cause de plaisir
et ne se happe qu'à oser
y comparaître !
Terre est à l'Homme ce
qui au temps est plaisir
mais tant que s'y assomme
la pire misère
s'y mire – comme pestant
aux fers – le désir
où s'attend – détonnant
– l'empire de Cythère !
Or que la Vie coule ses
sources jusqu'en mer
s'y saoule - amer d'envie
- qui mord rassis des courses !
N''y cours si mots à rire
te visitent amers !
L'amour n'est qu'affaire
s'il la dévie en bourse !
Si las est le fil...
Si douce soit aux nuits
mon amie – épure n'est
que ce qui poussant
d'ennui en perd son allure
lors je ne puis mûrir de
ce qui d'elle nait
et ferre ses ailes sans y
glaner un futur !
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