mardi 30 mai 2023

VOIR VRAIMENT LE ROIMARCHER https://twitter.com/JFaerber/status/1663440754834800640?s=20

 https://twitter.com/JFaerber/status/1663440754834800640?s=20

QUI SE VEND A SAUTE MOUTON Le 31-05-2023

Peinture :
 JaksonPOLLOCK

 

Le 31-05-2023



QUI SE VEND A SAUTE-MOUTON ?



O Peuple sur ton dos

Court arme : bas fardeau

Où tu vois Résistance

En Corps partout : repense :


Oui : Peuples contre Empires

Qui massacrent et tirent

Mais Peuples levés grondent

Où nuls rois ne comptent


Par ruines : non hantés

En courants, vagues, ondes

Pauvres rois : débordés

Empires les refondent !


Qui à tendre le cou

Pour quels rois se secouent ?

Pour State : « funambules »

S'la jouent à "Putscher" Lune !


Pour « ça » rivaux en « croix

D'feu » pour « Grand Tsar » roi ?

Rire où « ça » monte en guerre

Qui rit faux : empire serre :


En oublient Alep : corps morts

Partout pour tant de ruines

Diviser résistants mine :

Aux abois : Rêve en sort !!


Sait-il ce roi de faux art

Là tsar à l’œuvre mord

Massacre dare dare

Moteur clair : c'est la mort !


Malhonnête et complice

Qui n'en dit mot : nous visse

A l'épiderme nos corps

Gros profit moteur décore !


Ici s'exerce au « Golpe »

Le nôtre en va-t-en guerre

A nier Peuple en paix

Au pire l'entraîne et serre :

La vis pour mieux le mordre

« l'étranger » en lui « Désordre » !

Ce roi à tout chasser

Croit l'Histoire  casser


Oui ! Il faut l'Unité :

O Peuple en différences :

Voit tous rois bien hantés

Trésor en souvenirs le tanse

En Peuple : non achetés

Mais qui au « Golpe » s'exerce

Tous rois sur notre dos blessent

Oui : tous pour Peuple mater !


Et tous en grands rivaux

Pour qui : Ici : tout s'vaut

A « Putscher » pire s'enchaînent

A Tendre Armée s'entraînent !



Nient monter en Résistance

Où peuple oui se pense

Et fait pousser la graine

Oui : à murir sans haine :


Ni soupçon : Temps nouveaux

Tout empire se vaut

Devant Peuples debout :

Porte ouverte : « ça » boue :


Partout et « ça » remonte

Tous rois partout se comptent

Jusqu'au Top où « L'Honnête

Homme » ne fait la bête

Même à l'armée crie libre

Et fraternelle aux tripes !






 

JUSTE POUR MARCHER : CORPS S'EMAILLE ! Le 30-05-2023

Peinture : KUF and SHKEDUL




Le 30-05-2023



JUSTE POUR MARCHER : CORPS S’ÉMAILLE !


Escalade murailles

Où curieux tu t'émailles

A reprendre tes rêves

Oui : tu vas et t'élèves :


A diviser donc les ruines

Où vit multipliée

L’Énergie qui ravine

Jusqu'en tous sols à lier :


Savoirs : oui : tu questionnes

Au vif : tout ce qui sonne

En ton pas souple bu

Où l'intense en vie mue !


Rediviser sans cesse ?

Mais noms dans tout savoir

La pensée ne se blesse

A reprendre mémoire !


Écoute donc : Jeunesse

Où brille en firmament

Ta source qui redresse

Jusqu'en Fontaine-Aimant :


Où tu vis l'élégance

En toi belle jouvence

A t'inonder de vie

Tempétueuse et ravie !


Vas courir tes pourquois

Où les rois sont bien cois

Par leurs lois : ossifiés

Tu les sais bien noyés !


Pauvre humain en science :

Fausse : croit au corps vue

A se griser d'abus

Non vraiment : il ne pense !


En vaine guerre étouffe

Anthropos excentré

Perd repère et se bouffe

Au Vrai cru enterré


Pour tant d'autres sans gloire :

Qui rit où l'opprimé

Par qui : criant l'histoire :

La mord et dit l'aimer ?


Va-t-il prendre : multiple

L'Anthropos excentré

Qu'il l'aie prise pour cible

Ne voit plurielle y entrer :


Brune eau à rebrûler

O en godillots s'use

Où marcher va caler :

Au sol cramé en ruses !


 

dimanche 28 mai 2023

PLUS DE RETOURNEMENT A L'IDENTIQUE MAÎTRISE ET POSSESSION S'Y PERDENT Le 29-05-2023

Paris Le 14-08-2022


I)


PLUS DE RETOURNEMENT A L'IDENTIQUE !

MAÎTRISE ET POSSESSION SE PERDENT !



Quand maître et possesseur

De Savoir : nie la source

Et ruine ses danseurs

Il vante ses ressources


Maître pour faible : traquant :

En désir impuissant s'aliène

Au seul émoi : craquant

Seul pour plaisirs distraits : peine


Sorti d'amour courtois

Commun des femmes lève

Avec serfs pour « Bon droit »

L'ouvrier voit droit et rêves


Homme-machine : industrie

En esprit sacrifié monte

Pour achat en bas prix

En empire : égal vanté




Belle â me en corps volé

Vois qui : ta source : épuise

Pour corps de femme immoler 

Au profit – savoir s'amenuise !


Dominateur : amour tué

N'est maître en jouissance

En p'tite mort : englué

Nie femme en délivrance !


Au plus loin : le péché

Au plus loin : sacrifice

Plaisirs du corps : sait cacher :

Pouvoir dans le Saint Office


Où maître et possesseur

De Nature : lamine :

Désir – femmes en sœurs

Tuent fétiches, les ruinent !




2)

Et qu'en Commune levées

Elles voient droits aux sources :

Napoléon paver

Mémoire : elles l'enfourchent



Morale perd bel horizon

Pour corps en sacrifice

Saint Dieu perd la raison

Femme en a vidé l'office


Où énergie-vie : montée

Souffrante créature

Perd Dieu  d'Eden vanté

Femmes en voient : vraie nature !


Où morale est fin : désir

Sur-humain voit multiple :

Couler vie en devenir

Où tout Saint n'est qu'Oedipe


Saints sacrifices ruinés

Saint Fils en femme idole

Que veau d'or aurait miné

Désir en saint père immole


Nature à posséder

Que maître en ses biens perde

Eden pour plaisirs hanté

Quand à lui Femme ne cède


Que corps volé voie dieux

Dans son âme en vrai souffle

Coupé de tous les cieux :

Mystère éthique au gouffre !


Qui morale en plaisirs

S'approprie : pour famille

En héritage : voit désir

Pour femme en savoir qui brille


Où femmes voient trésor :

Désir volé  : retrouvent :

Qui à guerre l'imole

Et caverne des corps : ouvrent


Où l'esclave : ombres : comptant

Où les siècles défilent

Soleil-raison : longtemps :

Epée-désir : là s'effile


3)

Qui corps et sols volés

Machine : énergie pille

Vie possède étalée

En saint droit qui l'habille



Ressentiment : partout :

En possesseur : corps ruine

Pulsions de mort : matou !

Fétiche en désir voit mine


Tendresse en signe abolit

Qui en chair nie la langue

De violence fa it son nid :

Jungle en plaisirs exsangues


Qui vante l'animal

Dit imiter Nature

Pour sélection banale

Vante homme fort futur


Femmes se montrent nues

Faibles sont ces forts princes

Elles ont leur fiel bu

Mis ce pouvoir en leurs pinces


Histoire mystifiée :

Qui plus à jouir fait guerre

Désir en femme : rayé

L'égal verse larmes amères


« Valeur » en consentement 

De femme qui au plaisir : chante

Pour lui ce pur sentiment ?

Il nie ce qui en elle : enchante !


Désir en homme structuré

Biologiquement par violence ?

Désir en femme structuré

Au manque en hystérie se pense ?


Nature idôlatrer

Ce sont plaisirs qu'on ruine

Guerre des sexes ferrés

Au profit qui les lamine


L'Humain : pur individu :

Inné : hors-commun existe?!

Savoir – plaisirs suspendus

A l'horloge en dons : mécaniste ?


4)

Ainsi s'efforce idéologie

Du profit pour force pure

Exalter – croit bien régi

Son moteur en Nature


En énergie : atomisés

Où corps se discriminent

Profit leur veut arasé :

Commun savoir qui le ruine


Moteur peine en corps volés

Qui pour machine défendre

N'est conséquent d'immoler

Vie pour « l'Homme neuf » vendre


Qu'électronique : homme neuf

En purs gène et cerveau tienne

La vie : de science est bien veuf :

Monopole où profits s'enchaînent


Dieu : immortelle vie

Morte : énergie vitale ?

Qui nie social ravi

Perd homme neuf total


Totale et pauvre Utopie

Où pour grand catéchisme

Profits rivaux s'épient

Se meurt leur idéalisme


Pour guerre à pousser mort

Impérialistes traînent

Pensées vides en corps

A chanter l'Homme neuf sans chaînes


Bornant l'évolution

De la vie qu'ils suspendent

A cette création

De « l'homme neuf » qu'ils vendent


O Fin d'Histoire et Beau Dieu

Tout le Commun des rêves

Meurt où profit bien pieux

Est fictif : virtuelle sève !!!


Bien au bout du rouleau

L'impérialisme perd prise

Taux de profit boit l'eau

Son bâteau perdu en crise



5)

Confiance dans le commun

Qui va lancer ses troubles

Plaisirs – savoirs : ciment

Organisent : vrai souffle :




Où marchandises sont corps

Socialisés que possède

Profit qui aime effort

Et savoir qu'à lui ils cèdent


Profit doit empire aimer

Partout en monde rival

Pour mauvais grains semer

En corps au blé voient l'égal


Profit, du « monstre froid »

Dépend car bel empire

Demande force et lois

Quand Finance l'attire


Où l'éthique est finie

En corps volés : commence

Pour le Commun : infini :

Libérant mystère immense :


Vie en révolutions

A chaque étape pour naître

Renforcent évolution

Où profit déjà n'est maître


Que déjà soit pensés

Par chacun en contrôle :

Sources et vie embrassées

Au commun qui l'épaule :


Désir pour plaisirs : non nié

A reprendre à guerre en partage

Où savoir pour maître est plié

Femme libère : courage


Où l'homme en guerre tue

Femme éreinte violence

Où de son désir : vertu

Corps sans fétiche se pense


Où les âmes en corps

Tuent l'angoisse : ils se lèvent

Contre ce qui les mord

Où tout cerbère en crève


6)

Source au rêve : liée

Le corps plus ne se vole !

En son âme non pliée :

Fleuve coule hors idoles



SUR BASE HISTORIQUE REELLE : UN PROJET PROSPECTIF :

Le travail divisé

Qui est donc aux commandes

Le profiteur avisé

Intellect dont les mains dépendent ?


Intellectuel manuel

En salaires se vendent

Au profit qui appelle

Hiérarchie à commande


Nul travail ne libère

Si au commun ne se source

Où la recherche se perd 

Sans aides ni ressources



Toute intelligence vaut

Entraide réciproque

Où tout travail s'équivaut

Différence égale est socle


C'est en savoir gratuit

Que tout dit fa ible ou manuel

Libérés en appui

Libèrent intellectuel


Sans maître ni rendement

Le salaire mis en cause

Du profit ne dépendant

Corps lui reprend la « chose »


Ce profit veut désigner :

Alors : un bouc-émissaire

A qui ,croit-il, veut gagner

Contre Commun : belle affaire


Etranger ou jeune ou femme

Le profit essaie encore

Pour son droit de prendre âmes

Mais : vain est son effort



8)

Fleuve d'innovations

Projets pour fonds : ressources

Appuient révolution

Chacun au commun voit source :


Commenceront déjà bien

A éteindre l'Etat

Corps contrôlant leurs biens

Repris au profit en tas


Et partout démos en voix

Montre ce qui divise

Ville campagne en voit

Aide réciproque et avisent


Crédits pour plan de production

Paysans les rejettent

Ressources et sol : gestion

Commune et plus de dettes


Plus personne à s'épuiser

Pour rendre en bêtes de somme

En entraide tout puiser

La vie d'engrais économe



Partout dans le pays

Au demos : l'initiative

Reprendre à qui l'a trahi :

Profit qui , divisions : avive



Qui se dit indispensable ?

Reprendre tous nos biens

Tout ce qui nous est comptable

Partout façonnant : liens


Nous pouvons contrôler les prix

Et tout marché qui écoule

Marchandises pour profit

Qui sur le demos roule


L'appropriation partout

Démos et producteurs

Directement en tout

Directement acteurs




9)

La discrimination

Ne fera plus de ravages

C'est peste et division

La révolution est sage


Conseils, comités partout

Fleuriront de ces sources

En démos mettant tout

En débat ses ressources


On verra les plus fondés

Au commun alliés à la science

Elus en assemblées

Porter à connaissance :


Partout : leurs projets écrits

Du droit en institution

Pour le démos c'est sans prix

Neuve : constitution :



Fondement d'Etat bourgeois :

L'égal dans l'inégal

Où le profit fait loi :

Ouvrier et bourgeois se valent


La plus-value n'est privative

Qu'en ensemble de corps-atomes

Qu'Etat - pour profits vive

Napoléon en fut somme




Ces détâchés d'assemblées

Pour trois mois : postes tiennent

Ils ont l'essentiel ciblé :

« Tord absolu » pour qui peine


Cette jeunesse bientôt

Des quartiers en révolte

Contre qui défend « ghettos »

Avec le Démos verront récolte


Savoir réinventé

Au commun voit sa mine

Soins gratuits pour santé

De tant de corps qu'on ruine





10)


Et tous ces services publics

Qui se dérèglementent

Profit perdra musique

Où nos sources s'inventent


On voudrait tant l'acheter :

Ce démos pour « paix sociale »

Il ne sera maté

Par fouet en vide égal


On entend l'écho sourd

D'un monde en tempête

Un idéalisme lourd

Conspue les fortes têtes


Va-ton guerre empêcher ?

Des troubles dans le monde

Viendront y enclancher

Révolutions qui comptent


Aucune victoire assurée

L'impérialisme malade

En rivaux ne peut se serrer

Bientôt donc : l'escalade !


Dores et déjà : être prêt

L'intelligentsia soumise

Nul maître en apprêts

Là : résister est de mise !


Où maître et possesseur

De vie – pour catéchisme

Se croit le vrai passeur

Se tue en positivisme


Et les arts en banquet

L'infini en ses sources :

Mathématique appelée

Les sciences s'y ressourcent :


A nous sens et idées !

Qu'en meurent les fantasmes !

Le profit va céder

A nos corps liés en âmes


De matière : l'énergie

Et en tous corps : vitale

Prendre technologies

A qui la met à mal


11)

Nulle onde – ni moteur

Ne peuvent réduire qui pense

L'idéalisme meurt !

Chacun au commun avance !


 

EN INSTINCT DE BÊTE : QUI SE PERD ?? Le 29-05-2023


     Peinture  : DE KOONING


Le 29-05-2023




EN INSTINCT DE BÊTE : QUI SE PERD ??



Là s'agit : là guérie ?

L'âme à l'arme le Coupe 

Temps dû, ça lie attroupe

Secours au Mal : qui rit ?


Homme à jeu : pas sage

Dans ce « bond sang » rage

Nez :  ô Perdues chaînes

En voit par fin s'assène !!


Sas sous le vers barré

Tout en sens égarés

Y a plus de couacs s'marrer

Sauf au vide à s'mirer !


D 'où sert Pan cru futé

Flute tue temps bouche

Musique aura hantée

En tour ne vice accouche :


Comme à forer dans le mur!!

C'est vice en fruits bien mûrs

Comme à part tait rigoles

Pour aparté brun se gaule :


Mains tenant sont bien mures

Où valet tu dit nerfs

D'unis -vers s'avère :

Sous-venir en vue : naguère :


Nul Pape à l'ouïe n'en tend

Soif qu'à firme à fric prise

Ouï en Nous boit sa crise

Mise Unie vers s'attend !


Paix y panse Mémoire

Plus de Pape à Nous lier

Monte ça : l'escalier

Où Peuple monte : voir !




POUR QUI L'ASSURANCE SE PERD AU CHAOS DE SUR-PUISSANCE Le 29-05-2023




Le 29-05-2023



POUR QUI L'ASSURANCE SE PERD AU CHAOS DE SUR-PUISSANCE !




Sangler haut Vérité

Là d'ssus neuf policée

Qui veut bien y céder

Voit-il Vrai Neuf passer :


Leur dégoût hante jours

Pour science en art crus morte

Sont faisceaux et cohortes :

A voir bien qui est sourd ?


A torturer pensée

Qui veut la rabaisser

En Corbeaux mal lancés :

Poison s'est bien tassé


Qui jouit en Vérité

Nul ne pliera ses ailes

Pour César glorifier

Là d'ssus sans pitié !


Fini d'y aboyer

Beau Vrai à nettoyer

A saisir : s'employer

Et remonter l'escalier :


Jusqu'au Top que s'invente :

La beauté élégante

Belle lune en étrenne

Paix tendue qui s'démène


Qui voit haut : tend sa veine

Où Vérité belle est reine

A regagner Oui : s'embrasse :

Mémoire ne s'y chasse :


Ce sont baisers de lumière

Vraies Personnes s'y serrent !

Est-ce donc Utopie

Dans guerre qui nous pille ?


Mais : Non : recommencer

Pour le Pire : effacer :

Ces Arts d'ssus non passés

Fausse étoile Cassée !


Cézanne : porte ouverte

Toute en Nous liée sans perte

Au soleil ne s'égarent

Tant d'arts vrais prenant part :


Pour Nous tous se mesurent

Oui : pour eux prennent cure

En l'escalier bien montés

Leurs pas non enchantés !


Pour savoirs bien perdus

Corps volés non repus

Oui Ici renaîtra

Au vrai nu : l'Agora !


Où Démos s'encrera

En ailes reprendra

Pris là d'ssus découvert

Le beau vrai réouvert !


Et sans plus y courir

Qui saura s'en nourrir

Réel Égal l'habille

Où faux discours se grille !


Notre Démos non gâché

Par poète caché ??

Mais Allons le chercher

Le neuf en luit bien craché !!


 

Où Guerre Aux Peuples S'annule Où Faux Savoir Se Perd Le 28-05-2023

Le 28-05-2023




Où Guerre Aux peuples S'annule Où Faux Savoir Se Perd !



Où n'être écervelé

Pour pente où le vrai monte

Tous peuples bien calés

Sur leurs richesses comptent


Nul n'est ferré d'ennui

Où il passe et reluit :

Notre peuple hors des chaînes

L'étranger luit sans peines !


L'arène bousculée

Par Grand Vent de l'Humain

Est déjà si salée

Cette mer en ses mains


C'est tout lui traversé

Par mémoires en fleuve

Où vie en corps : neuve

En Passé n'est cassée


Où ces rois n'ont plus cour

C'est partout que vie court

Où assourdis ne brillent :

Oui « Leur Splendeur » qui grillent :


Leurs dernières cartouches

Comme enfants dans leurs couches

Car ces rois si naïfs

Ne voient notre sang vif :


Qui sort de tous leurs murs

Où ces rois ont sinécure

Jusqu'en Cités se perdent

Où Commun Bien ne cède :


Jeunesse à tous prix lève :

Bon droit :  à tous embrass

Le Vide qu'elle élève

Et remet à sa place :




Pauvres rois aguerris

Par Savoirs nuls s'annulent

Pour griller tant leurs bulles :

Le Bon Droit atterrit :


Où l'empire se meurt :

Toutes voix ont leurs chœurs

Où sol volé ne perd âme

« Bien Commun » prend sans drame

 

 Multiple : Énergie : vente :

Bientôt dans la tempête

Nul empire n'achète

Ces vies qui réinventent :


Où pauvres rois partout

Vont en si grand dégoût

Se barder de Grand'troupes

Qui du « Bon Droit » se coupent !


Mais partout les mal-nés

Savent qui va tout perdre

Et à nul roi ne cèdent

Leur désir qui renaît !


Est-ce Paix qui se vend

A qui mord : tue l'Histoire

Où Peuples oui Savants

Voient empires sans gloire :


Dégrossis en leurs bulles

Eclatant en calculs :

Pauvres serfs : beaux émules ?

En faux savoirs s'annulent !


Partout : froide colère

Même Ici prise aux nerfs :

Le « Bon Droit » les resserre

Peuples à qui fait guerre !

 

Peinture : Jean BALTRAN










 

mercredi 24 mai 2023

CE QUI CREUSE ET TEND A L'INFINI Le 25-05-2023

 

Le 25-05-2023



CE QUI CREUSE ET TEND A L'INFINI


Calme silence creuse

En moi en l'autre épais

Pour tous : chose heureuse :

Nous tend la Paix : Respect !


A bouillir en Nous : qui veut

Que tant de vies s'épuisent

A y chercher l'aveu

De qui les met en crise ?


Bien pauvres héros croient

Pauvres gens sans office

Pour nos corps : sacrifice

Où gros profit est roi :


Dans nos chairs à gauler :

Tous p'tits poissons qui crèvent !

Bonheur en Nous oui rêve

De ne plus être avalé !


Moquer sa voix qui meure ?

Souffre en silence nié :

Chœur en Peuple plié ?

Qui vide Histoire a peur !


A cueillir en murs : tremblées :

Âmes au chœur soufflé

Qui reprend leurs blessures

A tout art les mesure !


Et nul à déployer

Armes à les broyer

Ne sera plus choyé

Que par Rois : employé !


Pour Peuple à conquérir 

Par l'épée à sourire ?

Tant et tant à courir ?

Mais c'est guerre à nourrir !


Sur mes lèvres : soupire :

Silence où Nous respire

Et je reprends ma lyre

Faisant fourcher le pire


Qui partout fait le deuil

Du savoir que Mémoire montre

Où tout Humain le cueille

Fleuve en fleurs démontre


Ma sœur de grand rêve

Toi Muse oui l'élève

Jusqu'au sel de la terre

Pour tous Édens t'affaires


A assommer la guerre

Partout nos souffles grondent

En peuples : belles ondes

Oui en ce Nous se serrent


Nuls à couper en faux

C'est Nous à grimper la pente

Qu'à l'Infini s'invente

Le beau et vrai qu'il faut :


A tout prix bien défendre

Sens et pensées : diamants

Sauront couper et fendre

Ce Savoir creux qui ment



















LE TEMPS D'UNE GRÂCE DEMANDEE AU POETE Le 25-05-2023

 

René Char : « Dans notre pays on remercie »




A Paris Le 26-04-2021


LE TEMPS D'UNE GRÂCE DEMANDÉE AU POÈTE




Cher poète ! Ce temps n'est-il pas « bonhomme » ?

Il te veut familier et ne te fausse compagnie.

Il se complaît à l'azur et chauffe ton nid sur ce banc...

Il dure le soir jusqu'à convertir la somme de ta prose

à la fête avec les oiseaux : tes alliés...



Toi qui n'est replet de ce futur à liquider les oiseaux

pour les bans bruyants du prince, peux-tu émettre

ce vœu singulier d'un instant de cristal où les blanches

pierres recueilleraient en leurs balconnades les enfants

délaissés pour qu'avec le doux soleil, ils chantent avec

les oiseaux : les complaintes du monde d'où ils viennent ?



Ce ne serait pas une plainte déposée sur les seuils mais :

vue en avalanche lancée à la cantonade pour pourfendre

cette faux verticale de ceux qui sont hantés par la maladie

du temps : ne pas penser la vérité à son seuil de soleil

mais à celui de l'ombre, prétendant pervertie l'innocence

de la misère qui est pourtant à l'arbre de la connaissance :

le halo de la vertu... Et c'est justement pendant cette fron-

daison et cette floraison lumineuses qu'on reconnaît cette

inversion obsessionnelle .

lundi 22 mai 2023

WORDS FROM YANNIS RITOS POET https://twitter.com/ngruszkiewicz/status/1660369156779253765?s=20

https://twitter.com/ngruszkiewicz/status/1660369156779253765?s=20https://twitter.com/ngruszkiewicz/status/1660369156779253765?s=20https://twitter.com/ngruszkiewicz/status/1660369156779253765?s=20https://twitter.com/ngruszkiewicz/status/1660369156779253765?s=20

OUI : MON AMOUR : DESIR DE TOI NE GRENOUILLE EN CROCS QUI S'ECLATENT ! Le 22-05-2023 Repris le 14-06-2023


 



Le 22-05-2023



OUI : MON AMOUR : DÉSIR DE TOI NE GRENOUILLE A GONFLER

EN CROCS QUI S'ECLATENT 

 



La vie : tous azimuts

Tout doux baiser l'effleure

Lui captant grains d'odeurs

A semer en soi : ne butte :

 

Contre obstacles : au mur

Qui crie la suffisance :

Ses nœuds de vie se pensent :

Dans l'arbre en Nous bien mûr !


Ne plus chercher des crocs

Pour tirer d'os : la moelle

Or la vie se dévoile

De la jungle aux accros !


Sur tes lèvres remue :

Rêve où mon corps s'agite

Vois donc où il habite :

Passe mon vide : nue !


Tu l'as pris : scintillant

Jusqu'au seuil de ta porte

D'éveil : bien brasillant :

Dans ton corps : m'emporte


Je la prends ta forêt

Qui abolit la jungle :

Enfant d'âme serré :

Bien pointé : tu m'épingles !


Fais donc vivre au Futur

Ta fantaisie qui sonde :

Où mon Désir en corps bonde

D'Amour pour toi a cure !


Pour cueillir à l'oubli

Ce qui passe hors des chaînes :

Ne vais crier amen

Où mon Désir se plie !


De surface creusée

Tout ton être remonte

Pour toi ne suis rasé

De tes souvenirs : compte



Cet étrange en ton âme

Respirant toutes femmes :

En voix : Oui : soufflées :

Je n'y vois pis-aller :


A pianoter Désir :

C'est chair d'Humain qui cherche :

Symphonie qu'il dépèche

 Symboles qui s'admirent


Où Nous en corps n'est lourd

Pour le Deux que prononce

Hors-pair Noms sans semonce

Pour nul faux Non en l'Amour !


Nos Noms en luisant liés : soufflent

Notre Intime sans croix

Ruse morte en Nos troubles :

Même prince en perd Proie !


Tout reflet capturé

Se brise en effusions

Où l'Enfance en arrêt

Fusion cherche Passion


Manque à jouir : division ?

Mais Nous Deux nous lions

Nos désirs à ne perdre :

Même moi en lion n'est raide :


Deux en Nous : plaisir vide ?

Nom de Non ne s'y ride

Sauf en couleurs perdues

Où tout se rend vendu


Qu'homme j'en sois tendu

Ai-je oublié que j'aime :

Oui : Chérie : ne t'aie rendue

Victoire au sort sans chaînes :


Me libère et vaincs mon corps

D'où je sens en toi : trésors

Plus au Tout sans décors

D'où ta belle âme sort

dimanche 21 mai 2023

PAUVRE SERF EN SUIF PANSE-T-IL SES BLESSURES ? Le 22-05-2023


 Peinture Jose Garcia NAREZO


Le 22-05-2023


PAUVRE SERF EN SUIF PANSE-T-IL BLESSURES ?



Pauvre serf à panse :

Blessure au cri souffré

En plus brûle et ne pense

Qu'à se vendre aux arrêts !


Pauvre éperdu à l'arme :

Veut-il croître en toujours

Dans des gaines aux femmes

C'est sérieux « ça » pour Amour ?


Mais où ? C'est « Estato Major »

Pour y chauffer « Vrai » : il grille

D'y pendre « El Fronte » « Senior » :

« Las Flores » qui tant brillent !


« Viva La Muerte » « Las Cortes » ?

« El Cane » : « Sense » : Déborde !

« ça » : Désordre à « Las Casas »

« No Pasaran » : « Mas : Jamas » !


Si « Tante » à mouche : Grâce

Sens et pensées : Nos Rêves

Mouillés : ne se glacent

En Paix sourcée ne crèvent !


« Polis » la grecque ne meurt

Nos cités : vent en chœur

Pour écho partout chante

Où Mémoires inventent !


Ami : en sol troué

A vider qui : tu cèdes

Pour lointain : partout perdre

Pour tous princes roués ?


La grand roue de l'histoire

En moyeux encrassés

A tourner en vain miroir

Peut le « Nous » embrasser :


Rêves trouvant Matière

L'ouvrent à diviser

Où Mécanique serre

Moteur en Nous basé :


Panne à Nous : menacer

Guerre en Nous : glacée

Si elle en Tout remonte :

Notre monde oui se compte


Guerre Partout explose ?

Pour ce Nous vu en chose :

« Viva La Muerte » cause

Pour quels rois fait la pause :


Pour moteur à briller

Pour le Nous : écraser ?

Putain d'Histoire liée

Pour sa Maison raser ?


Jungle aux grands : Bien : livre :

Que Bien Commun s'écrivre !

Politique en grève hante ?

Que peuple en chœur l'invente !


Les dés ne sont jetés

Sauf si Hasard s'achète

Que pauvre lune ne prête

Rêve en corps n'est maté !


L'adversité est là

Que vie en sol n'enlève

Pour alcool dans nos rêves ?

Biens perdus en Gala ?


Qui déjà s'en régala

Oui : jamais n'égala

Jamais même la mort

Toute âme levée en corps !


Vie en Nous la saluent

Sans opium pour vain sort

L'égal en différent : fort

Peuple en Bien l'évalue :


Nul Egal pour Palais

C'est en Nous à reprendre :

Bien Commun sans valet

Pour tous sols non aux cendres !