Le 14-05-2023
LA COURSE APRÈS MISÈRE EN PERD SES SOURCES
La misère est si belle
Quand elle entre dans l'âme
De la Paix et la scelle
Au désir d'Amour calme !
Ce n'est à nier tension
Où l'Homme en peuple : brille
De mille fleurs-passion
Où la misère scintille :
De toutes femmes levées
A faire sortir des chaînes :
Pensées mourant d' « Ave »
Leur vie prise aux « Amen »
Nul Désir sacrifié
Pour l'Amour : cristallise
En rêves déployés
Que l'enfant en Nous : prise
Toi : fais jaillir des rues :
L'âme d'océan-ville
En geyser qui habille
Ta vie déjà tant bue :
En Misère qui n'aboie
A qui lui fait la guerre :
Loin d'elle : non ne ploie
Et sait rêves-lumière :
Que nul prince ne voit
Sauf quand l'obscur le brûle
A perdre lustres en lois :
Esclave il perd calculs !
Et par grand vent soufflée :
Tant révolte se cherche
En nul Savoir troublée :
Reprise au feu sa mèche :
Par Mémoire-étincelle
Dans nul cierge allumée
Où prières s'emmêlent
Pour la mort : plus jamais !
Ce siècle à régaler
Du Beau Vrai : caresse
La vie neuve : sans cesse
Oui : en nul oubli : calée !
Spéculaire éclaté
En miroirs de tous princes
Jusqu'au nôtre : oui : grincent
Pour Grand Pur encore hantés !
Or qu'algorithmes perdent
Automate Absolu :
« ça » ne gène l'Entraide
Que Collectifs saluent :
Au vif là irruptif
En sources que n'enterre
Faux ciel ! Mais n'est hâtif :
Savoir Beau : NOUS : hors-guerre
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