Peinture : Chue Teh-Chun
Le 7-06-2023
L'INTENSE SORT DE L'ÂME ET DANSE EN VOIX !!
La volonté pour le saut en rigole du partage tient en mille voix qui viennent mouiller
en écho : le chant du monde. Lève-toi : faiblesse bien minée! Le temps des astres d'orgueil
est mort en tombant sur le cycle de la vie qui tant et tant résiste au monstre froid ! Oui : sur
ton vaisseau d'infortune : tu résistes où le temps trépasse pas à pas ! La vie en morceaux : les
égaux la prennent en mille sauts où toi : tu ne te perds en réseaux de faux sens si creux ! Or toi
à forer dans ton métier : l'énergie remonte en ta vie, vie qui n'oublie pas de trancher en forts mo-
ments le pain faux hors-espérance ; mais éclaircis toi de joyaux en plats riches qui font éclater de
lumière fraîche en ta chair ! O légère : tu la manges : en brillant de nouveautés ! Tu ne te perds aux
instants vifs ! Oui : Résiste à fond si meuble en beauté pour la pierre pleine de tous tes sens …
Casse ta solitude avec ce joyau alors de réel fond neuf habillé ! Franchis les frontières lunaires
de tes nerfs à vif sans étoiles ; mais tu les sentiras bien et les verras recentrés dans l'acier alors
trempé de ta vie montant en cours refondé par tout mystère en toi : inconnu à ne plier en sacrifices :
ta résistance en forceps du temps à rouvrir « le pré carré » de ton sol à l'instant vertical que tu vas
dresser jusqu'au caveau de ton inconscient : pour ta joie dans la tendresse ! Laisse donc cuver dans
ta pensée aux sens : le suc trempé dans cet instant qui ne peut brûler dans ta voix mise en bouche
pour tout ce bel augure plus jamais mécanique en écriture de tout poème où tu lies tes ratures dans
un beau ciel d'azur si neuf : dans toute écriture de, par et pour l'humain non succombé ! Tu prendras
alors comme étrennes : les plus vifs ressorts du monde libéré et non pétrifié dans la haine et la guerre : ce sont les diamants de la vie en prisme et grâce qui la font briller en éclats polychromes :
Rattrape la ; cette vie en toute distance pour la paix vive où tu traînes tes sens voraces pour faire
agenouiller ces temps rétrécis : dans l'espace indomptable, incomptable oui , dans ton pays comme
en tous autres où tu te dresses résistant pour un tableau d'orages proches en foudre à reprendre l'éthique en principes tant volés, aliénés, masqués par le prince : Beauté-Lumière où pauvre iné-
gal fait surgir Justice aux pavés de la Liberté levée en Fraternité qui n'est pas vainement rêvée !
Tu ne crèveras pas d'insouciance et dresseras le chiendent de l'envie pour lui prendre tout pour
tous en Partage ! Tu n'es pas morte : ô Félicité de ce Partage vorace ! Qu'on te tienne et fasse disparaître la moire en brouillard qui te mord et menace gravement où les fantômes crachent pauvre
compte d'un monde qui déjà crève ! Toi n'oublies pas, arrache, avales même au rébus des moments de fourche, la foudre en éclairs éclatée : ponctuelle et vas y enfiler et faire enfler la mesure de tes plaisirs qui se sentent partout en l'Humain Générique dans ces murs mitoyens de Cités en-
tières trouvant le neuf gonflant en ton pays déjà que tous vains empires où pour le pire profit croient nier pour la grâce fausse de tous ces pauvres rois dont le nôtre est si friant et servile. Toi et tout autre entrent déjà en veille pour ce grand vent qui monte et vient jusqu'en nos nids d'amour qui
s'éveillent : Gemeinheit, Freiheit für so klaren Sternen : allgemeinen, allen zusammeln in deinem
sebst so strengen Entschluss wirkliche und heute : genommen !
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