LA FORME ET LE MÊME
Rien n’est vraiment le même sauf ce que l’on sème
Ecrire est à l’art ce qu’aimer est au hasard
L’on retrouve le même aux accents d’un « je t’aime »
Et le poème a part au désir qui démarre
Contre trop de fumée on tend à fulminer
Face aux rideaux l’on peste – qu’est-ce qu’il en reste ?
Oui ! Le poids des années qui nous ont malmenés
On le prend – on le teste – on ne change sa veste !!
Et tout prend ainsi forme quand on le transforme
Or la beauté des choses rencontre la rose
On découvre printemps par tous les mauvais temps
Tumulte de l’informe … Tu nous désinformes
Il est temps que s’impose en liberté – qu’on ose
Animer tant et tant
avec le bel instant
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