AU CRISTAL DE TRACES DANS LA VILLE
Toi ! Devineresse au cristal
Des feux précipités
Tu plonges
Doucement dans nos rêves
Et demeure là
Infiniment
Nous donnant la santé
Pour tout amour
Toi ! Brillante aimante des enfants
Qui ne te voit cheminant
Sur les traces des
Anges –
Soulevant la poussière
Du partage ?
Toi ! Passant les rives qui bordent
Les fleuves de la circulation
Et – des arbres en bordure –
Faisant signe avec
Le phare de
Tes yeux …
Toi ! Fée dans le foyer brûlant
Où s’évase le lointain
De la ville !
Tu poursuis le signal
Des amoureux
Qui embrassent
Les liserés de
La pierre …
Tu les poursuis Ici
Pour corser leurs baisers
Tu lances la perche
Des rencontres
Avec un vent
Qui sourit
On ne s’étonne que
Du charme étrenné
Par toi – entre
Les âmes
Et … Les courants de la parole
Perdent leur artifice
Pour paraboliser
Ton propre
Amour en
Chacune de leurs vagues
Toi qui chanterais le grand faune
Passant dans ta cache
De brume –
Tout un peuple de la nuit
Unissant pierre – béton et macadam
Rallierait les banlieues
Au centre pour
T’entendre
Animer ses
Veilles
Et tu ferais s’éclipser
Les âmes guerrières en
Convoquant des
Étoiles filantes
Dans leurs
Yeux qui
Attendent
Tant que se transforment
Les chaînes qui entravent
En maille qui se
Partage –
Tant que se lient les questions
Aux passions qui les animent –
Toujours toi ! Ma fée
Présenteras les
Réponses et
Pétriras les cœurs pour
Tant de mains qui
Se cherchent –
Pour tant d’aventures
Qui se lient
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