NE SE BRISE AU BRUISSEMENT
LA PRISE EN AIMANT !
Dans la moiteur de l'air
en été advenu
non hanté par ma panse en
ce « Comptoir Voltaire »
sais que boit à l'enfer
l'adversité si nue
mais hâté par dépense
histoire ne se pense
Et négligemment bruine
accompagne la soif
aimantant qui couine en sa
danse mais le rince
comme en ébriété au
silence et décoiffe
aimant l'aviner cette
épargne en beautés minces !
Bien ferrer l'ennui s'il
ne fait que se dresser
contre l'air qui re-luit
–et d'amère fortune
nous resserre en suie une
affaire à n'amasser
qu'éclairs qui s'enfuient
et se perdent à la tune
s'avère en tous ses bouts
lumière qui ne s'évente
aux travers où tant
brouillent les impairs sévères
qu'au bel air elle
s'ébroue et bruisse où s'invente
abri où debout l'on ne
prie en ses revers !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire