LA TERRE DE LA VILLE EST
NOTRE CONFIDENTE
O Terre de la ville où
n'appartient personne
Il n'est nul temps servile
à nier ce qui sonne
Des paroles d'amis pour
lier le hasard
A tout réel semis où se
prend le bel art
Et tout contre la nuit où
forger leurs lumières
Ils attachent le bruit
qu'ils renvoient à la pierre
D'où naît l'écho qui
luit en arrachant leurs voix
Du chaos qui s'ensuit sous
l'auvent de la joie
Aux égaux sentiments dans
le vent en avant
C'est anonymement que l'on
devient savant
Dans la haute altitude où
l'aimer se partage
Sans plus d'autre attitude
qu'à tenir belle et sage
Nous ne fléchissons pas
dans la fausse distance
Et mesurons le pas en
avançant nos stances
Que notre amour retient
pour franchir toute vague
Où la parole tient sans
flancher dans le vague
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