dimanche 6 mars 2016

Migrants en mer


Actu

En mer avec les migrants : l’incroyable reportage de France 2 (VIDÉO)

Mardi 15 septembre 2015 à 16h27 -

Dans le Journal de 20 heures de France 2 de ce lundi 14 septembre, une équipe de journalistes a effectué la traversée de la mer Égée au côté de migrants. L’un d’eux raconte à Télé 2 Semaines les coulisses de ce sujet très remarqué.

Pour comprendre le calvaire des migrants, deux reporters de France 2 ont décidé de rejoindre les côtes grecques depuis la Turquie dans une chaloupe sur laquelle avaient pris place une soixantaine de Syriens et d’Irakiens. Ce véritable document, signé Franck Genauzeau et Giona Messina, suit chaque étape d’une traversée de dix kilomètres, parsemée de dangers

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Ici la ville est à la ronde des paroles
Contre servile État de ce monde vampire
Et si toute frontière abolie de l'empire
Ne condamne à l'oubli exil en ses geôles...

C'est bien l'universel pour tout un beau pays
Et l'on prendrait le sel de la moindre des langues
Comme en un océan où plus rien n'est exsangue
Où plus un homme errant ne devrait être haï

Donc Salut à ta vague ! O Grand navigateur !
Pourtant qu'elle s'élague immobile et sans vent
Viens ici sous l'auvent trouver les latitudes

Et tu serais savant en prenant l'attitude
De l'amant essentiel malgré tous les grands vents
En partageant ton ciel et ta terre à toute heure !


Sur le courant du temps la belle liberté
Nous fera donc partant ici pour le voyage
En héros anonyme entrant sans un bagage
Sous le halo de rime ouvrant à la beauté

Quand surgit le hasard pour toutes les rencontres
Nous grandissons la part de l'art et de l'amour
Et nous tenons le sol pour l'accueil de toujours
Ce qui est encore école au soleil qui le montre

En avant la musique en cette belle aurore
Et qu'une juste éthique emplisse tous nos cœurs
Celle du grand éveil des passeurs de lumière

Et que chacun s'essaye à redonner sa pierre
Pour édifier la ville – abandonnant rancœurs
Pour être bien habile à trouver des trésors

Ici la ville est à la ronde des paroles
Contre servile État de ce monde vampire
Et si toute frontière abolie de l'empire
Ne condamne à l'oubli exil en ses geôles...

C'est bien l'universel pour tout un beau pays
Et l'on prendrait le sel de la moindre des langues
Comme en un océan où plus rien n'est exsangue
Où plus un homme errant ne devrait être haï

Donc Salut à ta vague ! O Grand navigateur !
Pourtant qu'elle s'élague immobile et sans vent
Viens ici sous l'auvent trouver les latitudes

Et tu serais savant en prenant l'attitude
De l'amant essentiel malgré tous les grands vents
En partageant ton ciel et ta terre à toute heure !


Sur le courant du temps la belle liberté
Nous fera donc partant ici pour le voyage
En héros anonyme entrant sans un bagage
Sous le halo de rime ouvrant à la beauté

Quand surgit le hasard pour toutes les rencontres
Nous grandissons la part de l'art et de l'amour
Et nous tenons le sol pour l'accueil de toujours
Ce qui est encore école au soleil qui le montre

En avant la musique en cette belle aurore
Et qu'une juste éthique emplisse tous nos cœurs
Celle du grand éveil des passeurs de lumière

Et que chacun s'essaye à redonner sa pierre
Pour édifier la ville – abandonnant rancœurs
Pour être bien habile à trouver des trésors

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