En mer avec les migrants : l’incroyable reportage de France 2 (VIDÉO)
Mardi 15 septembre 2015 à 16h27 - par Thibault CealicDans le Journal de 20 heures de France 2 de ce lundi 14 septembre, une équipe de journalistes a effectué la traversée de la mer Égée au côté de migrants. L’un d’eux raconte à Télé 2 Semaines les coulisses de ce sujet très remarqué.
Pour comprendre le calvaire des migrants, deux reporters de France 2 ont décidé de rejoindre les côtes grecques depuis la Turquie dans une chaloupe sur laquelle avaient pris place une soixantaine de Syriens et d’Irakiens. Ce véritable document, signé Franck Genauzeau et Giona Messina, suit chaque étape d’une traversée de dix kilomètres, parsemée de dangers
PARTAGER SON CIEL ET SA
TERRE
Ici la ville est à la
ronde des paroles
Contre servile État de ce
monde vampire
Et si toute frontière
abolie de l'empire
Ne condamne à l'oubli
exil en ses geôles...
C'est bien l'universel
pour tout un beau pays
Et l'on prendrait le sel
de la moindre des langues
Comme en un océan où
plus rien n'est exsangue
Où plus un homme errant
ne devrait être haï
Donc Salut à ta vague !
O Grand navigateur !
Pourtant qu'elle s'élague
immobile et sans vent
Viens ici sous l'auvent
trouver les latitudes
Et tu serais savant en
prenant l'attitude
De l'amant essentiel
malgré tous les grands vents
En partageant ton ciel et
ta terre à toute heure !
Sur le courant du temps la
belle liberté
Nous fera donc partant ici
pour le voyage
En héros anonyme entrant
sans un bagage
Sous le halo de rime
ouvrant à la beauté
Quand surgit le hasard
pour toutes les rencontres
Nous grandissons la part
de l'art et de l'amour
Et nous tenons le sol pour
l'accueil de toujours
Ce qui est encore école
au soleil qui le montre
En avant la musique en
cette belle aurore
Et qu'une juste éthique
emplisse tous nos cœurs
Celle du grand éveil des
passeurs de lumière
Et que chacun s'essaye à
redonner sa pierre
Pour édifier la ville –
abandonnant rancœurs
Pour être bien habile à
trouver des trésors
Ici la ville est à la
ronde des paroles
Contre servile État de ce
monde vampire
Et si toute frontière
abolie de l'empire
Ne condamne à l'oubli
exil en ses geôles...
C'est bien l'universel
pour tout un beau pays
Et l'on prendrait le sel
de la moindre des langues
Comme en un océan où
plus rien n'est exsangue
Où plus un homme errant
ne devrait être haï
Donc Salut à ta vague !
O Grand navigateur !
Pourtant qu'elle s'élague
immobile et sans vent
Viens ici sous l'auvent
trouver les latitudes
Et tu serais savant en
prenant l'attitude
De l'amant essentiel
malgré tous les grands vents
En partageant ton ciel et
ta terre à toute heure !
Sur le courant du temps la
belle liberté
Nous fera donc partant ici
pour le voyage
En héros anonyme entrant
sans un bagage
Sous le halo de rime
ouvrant à la beauté
Quand surgit le hasard
pour toutes les rencontres
Nous grandissons la part
de l'art et de l'amour
Et nous tenons le sol pour
l'accueil de toujours
Ce qui est encore école
au soleil qui le montre
En avant la musique en
cette belle aurore
Et qu'une juste éthique
emplisse tous nos cœurs
Celle du grand éveil des
passeurs de lumière
Et que chacun s'essaye à
redonner sa pierre
Pour édifier la ville –
abandonnant rancœurs
Pour être bien habile à
trouver des trésors
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire