lundi 25 octobre 2021

"Départage Du Temps" Poème repris ce 26-10-2021


 




Texte repris ce 17/10/2016


DÉPARTAGE DU TEMPS



Dans ce qui fut douleur et...

Pesanteur

A lier plumes et armes

Et … Dans la nuit – grésilla éventé -

Grasseya encore en va-tout …

Fut terrifique

Jusqu'au feu des fascines !


Et … Tout à la gorge

Voulut – forge goulue – pétrifier

Ce qui – hors «  spitting-ruins »

Ne rentrait pas dans la mouise !...


Mais … Qui – gracile – hors-larmes

Et - spleen de pierre en deal -

Fit saigner comme Gorgone sans âme

Qui – de son utterance – ne fut plus calme

Métronome pour son règne en sex-appeal ?


Qui – sachant reflet laminé par l'étiage -

Cassa – rapetissa le miroir des âges ?



D'ailleurs Uranie ! Vous  n'embrouillez

La mémoire que d' un Narcisse

Comme en étang mouillé !

Vous êtes pour son livre

Sans grimoire

En nuit !


Or Il n'est ivre des étoiles

Et déchire les moires sanglantes

Où se hachaient les traces d'Humanité

Dont vous fîtes rouler

La calandre !


Qui – relâchant – retirant le feu du ciel

Pour le « pneuma » soufflant de

La liberté …

Calma sur terre lisse

D' incertitudes : son beau galop

Et vit en son luth

Ces vagues grosses

D'amplitude


Oui ! Vraiment … Jouant – jetant son dé

A mélanger – recoudre – cool – les courses humaines

On ne fait que ferrailler avec l'idée

Pour froids archanges qui leur somment dès lors

D'y manger tous leurs amens

Et font sauter les décors

Pour le pâle or

Sans sources pour l'étranger

Qui ici se perd en efforts

Qui s'oriente dans ces courses

Sans nulle bourse ou rente

Le voit cet autre comme lui perdu

Et il n'est bon apôtre

S'il n'est en voix

Pour prévoir ce qui pour eux deux

Leur est si ardu !


D'Uranie donc ou de cette Hélène

Onques ne sait qui fait sens

Quand passé à perdre haleine

S'est assez harnaché en ciel – terre et mer

Comme au ventre d'Oceano Nox !

On a mâché à son entre

Comme en boxe mécanique

Et toi – Hermes ! Tu n'es pas à la messe

Mais pour le poète – tu ne t'absentes

Et Uranie est à la fête

Quand Hélène

Elle voit près de toi :

Présente 

Elle amène le poète à la joie

Toute humaine dans

La musique !


Qu'il faille sonner rires et grâces

L'aède ne défaille à ne raisonner

En paraître pour aisé en monnaie

Railler Pâris et arraisonner ses traces


Qu'on les détache ces frasques

Et que les cœurs soufflant – du couchant

N'aient rancœurs si marouflés se masquent

Aux bâches et parapets les sons des chants


C'est bien qu'alors en ville sont arondes

Tenant paix en ciel et – si détachées

Elles vont en tant de kyrielles rondes

Si civiles pour en paix rattacher

« Ariel » de la « Tempête » dans le monde

Où se lance en fête : tête qui sonde !



N'a-ton pas bien vu le sans-prix

N'entend-on pas sens et mémoire

Pour chanter l'exil qui s'étrille

Quand « Hinterland » est sous la moire ?


Qu'on y cède et revient le chez-soi

Hors d'atteinte d'anciens pavois ...

Et n'est astreint pour tant de cendres

L'aède qui vient sans plus attendre !


On t'entendra avec des Pléiades

Tu chanteras autre cause que fable !


Quand le fileur d'étoiles hors de ses ombres

N'y voit liées ces voiles – plus il ne sombre

Il voit sa toile habillée par Éole

C'est qu'elle brille au nombre qui vole !


Oui sur cet étambot du temps sauvage -

Là – sans vague-à-l'âme – et en tangage -

Hors des antiennes qui font girouette

En lame à rabots – étranger ! Tiens tête ! 


En pays du bel Oceano-Nox

Tu es belle saillie pour l'équinoxe

L'aède en sait déjà sonner notre aurore

Qui aide à penser-chanter un coq fort !

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