Paris Le 26-10-2021
ENCORE UN EFFORT : POÈTES DE BRILLANCE VAINE
Faut-il faire la guerre à tous bouffons du poème ?
Non ! Car là on y perd le souffle en notre temps
Eux d'ennui éprouvent en vide qui les tend
Ce miroir qui s'ouvre sur l'hydre où ils essaiment
En roulant dans les feux d'arène : faux amours
Entraînant dans leurs jeux prostitués : ce qui vente
En toute leur moire le vain songe qui court
Éberluant le savoir sans un vrai qui se sente
Mais lumière en leurs vies c'est leur air en brillance
Où toujours est envie le clinquant d'être lu
Pour une éternité dans livre qui ne pense
Jamais à la beauté si ivre d'être nue
Et surtout ne s'ouvrir à Misère que l'on broie
Ce serait lui offrir univers qui l'enchante
Or en leurs vers libres ou non – vrai il ne croient
Jamais pauvre qui vibre à la pensée qui chante
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