Paris Le 25-10-2021
LE MOUVEMENT QUI S'ENROULE EN SOURCE TROUVE LE POÈME
L'art impénitent prend source dans un poème
Où elle ne se tend en courses – sauf : mouvement
En avant dans l'écoute où ce qui perle et sème
Dans musique en route s'enroule en des aimants
Des rythmes jaillissent en taillant dans un sens
Qui se lime et se plisse aux voix en cœur qui baille :
Souffle d'où dérivent : timbres – couleurs qui lancent
La vie qui là n'esquive : aléas qui la taillent
Ce qui maille l'Ici : nid d'automne : bien vu
Tient – sonne et tant farcit en souvenirs : espérances
Que les murs-lumière les accueillent à nu
Pour prendre en bel air à la ville : leur essence
Remuent tant dans la nuit : sens qui goûtent et boivent
Que – tout proche – en reluit : l'inconnu partagé
Où – divisé : un chœur fuse sans qu'il déçoive :
Ville avisée au cœur que n'use l'encagé
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