L’ENCHANTEMENT
Quand - pusillanime
enchanteresse beauté –
Seule cette bonté magnanime t’anime –
Tu tresses alors tes cheveux sur l’âme anonyme
Tu lui ouvres les ailes de la liberté
Si tes yeux d’océan qu’un arc-en-ciel féconde –
Plongent devant un écran de brume sérieux
Là l’humain divague sans ton éclair précieux
Qui illumine les rives d’un large monde
Toi poète instruis-toi auprès de cette amante
Si elle danse autour du soleil rougissant
Et tance tout être qui s’apprête au sommeil
Toi construis la digue des rêves qui l’aimante
Cette beauté qui-
pour tout charme- renaissant –
Lance contre fer et sang l’écumant éveil
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