SOLEIL ! VIENS !
REMUE LA MUSIQUE !
Si les gouffres de ville
étouffent
Quand toi-même – Vent –
t'y essouffles
Un miel en platine fondu
Se mélange aux nues
Qui polluent
Ici l'amitié désaltère
Dessoudant le ciel de la
terre
Oui ! Cela boue dans
les hauteurs !
Ici : balzanique
fraîcheur !
Soleil ! Viens !
Remue la musique
Ton œil branché sur nos
portiques
Avec ombres sur notre sol
Que respire notre arbre
A paroles !
Ici Temps ! Tu vas
doucement
Recueillant désir
désarmant
Pour gonfler poème
En haleines qui
Pulvérisent
Les phalènes
O Bel azur !
Libère-toi !
Avec le vent frais
Sur les toits !
Que la chair libre de nos
mots
Danse dans l'arbre
Et ses rameaux !
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