N'ALLONS PAS A TOMBEAU
OUVERT !
Si tu cours – cours
Pour l'arraché d'une
chance
Dans ta besace -
Sur ta ligne
D'arrivée
Et que l'aigle de la
finance
Te l'enlève pour
En drainer
Le sang cumulé
En énergie monétisable
sans toi !
Si chacune de tes
entreprises
Tu la soldais dans
La vitesse de la
Circulation et
Qu'à chaque fois
Des pitons en
Avalaient
La chair
Pour les recracher
Dans la pompe
A finances …
Si même la moindre
De tes initiatives rapides
Pour canaliser
La nourriture -
Trouvait
Devant elle
Un monstre pour l'arracher
A son indépendance
Toute ta belle
Subsistance
Tomberait
Vite
Dans l'exténuation
Et l'on sentirait le
pourrissement
D'une vie au travail
Et l'épée de
Damoclès
S'abattrait
Sur ta liberté
Et frapperait sur tes
muscles
Et sur tes nerfs
Jusqu'à les annihiler
Mais où est le partage ?
Toi ! Artiste –
Poète
Tu ne peux
Briller dans
Cette poussière d'argent
Ou alors tu en perdrais
Ton âme
Et une éloquence
transparente
Ne serait qu'un maigre
Ersatz dans ta
Fuite en avant
Où demeure le partage
S'il se débat sans-cesse
avec
Les plus rapides des
Flux d'énergie
Qui sans-cesse appellent
Le fictif et le mobile
A tout prix !
Nous irons vers le partage
Ou alors le monde
Des Satrapes et
Des hackers
Dévorera
Nos contrées
Et notre liberté mourra
Dans des convulsions sous
Le coup de nouveaux
Tyrans !
Tout est encore à
réinventer
Et à recréer :
Mieux et moins vite
Moins mais mieux :
Voilà peut-être
Comment
Nous retrouverons
« L'arbre au
savoir » -
Aujourd'hui
L'amitié et
L'amour
Pour dégager
Sens et orientation
Face au désordre
Qui devient
Chaos
Que nos sentiments passent
A la clairvoyance
De l'infini et
Rentrent dans le partage
De nos usufruits !
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