Le 22-09-2023
CETTE HISTOIRE QU’UN FAUX COMMUN D’UN RIEN LE PEINE , QU’ON LE SORTE
DU RIEN QUI LE PEINE ET LA RETROUVE BRILLANTE DANS NOS MÉMOIRES VIVES HORS DU CHAOS VRAIE FICTION QUI L’ABUSE : CETTE HISTOIRE !
Toi : pensée non arrêtée
ne celle plus vérité
Moment va la brûlant
rien d’silence n’hurlant
qu’Humain dans sa machine
dont faux Commun s’avine
le gobant le volant
et va tant l'immolant :
qu'il glisse en ses ruines
où ça le peine : il s'abîme
comme objet réifié
crut en peuples pliés
l’infecter dans sa taule
de son vide cru rigole :
âme en faux commun Rien
que pour haine en liens
et qu’en ses rangs cachés
histoire qu’il sait gâcher
oui là masquée en mort
pour faux commun sans corps
sauf hydre à tête multiple
aspirant âmes libres
que devient Faux Commun
plus d'Bien en cœurs et mains
fantôme Histoire en haine
où peuple s’enchaîne !
aux coups du hasard
qui s’croit vainqueur dans l’art
du chaos oui s’égare
qui en rangs serrés se gare
perd Multiple en l’Unique
où il n'y a plus que Mimique :
aux circonstances liées
pour sang qu’il sait prier
fort qui vole et trafique :
clefs de fausses musiques :
ouvrant toutes les portes
des nids qu’violence il porte
croyant contrôler âmes
ruiner leurs vies sans drame ?
C’est folie dans cette hydre
où faux commun n’est libre
qu’au Rien faire chanter ?
Commun le fait sauter
et l’oiseau-lyre appelle
ce parapluie sans pluie
où déjà arbres pèlent !
en ombrelle il luit :
d’éclairs en ciel serin
pris dans l’amour aux reins
soleil en un grand spectre
vient hanter et s’mettre :
dans peau de tous pays
où« sainte Europe » haïe
pour spectre en vrai commun
plus de sauveur suprême :
qui haine d’Humain sème
lui qui reprend en mains :
toute l'Histoire aux monstres
de son suc d’usufruits montre:
plus de race que classe
non pure où peuple en grâce :
reprend savoir pillé
en plus d’Musée l’espoir
mais en troubles criés
revient lentement y boire :
que l'aveugle peut voir
que le sourd peut entendre
qu’histoire vainc l'chaos
et en plus d'fiction d’échos :
liberté au commun
singuliers voix en mains
sont déjà maints et maints
n’attendant lendemains :
même voilés croyances
savoirs volés se r'pensent :
pianos où nos doigts musiquent
en pays divers sans mimique
peuples chantent s’révoltent
contre vieux et leurs colts
spectre au neuf voit récolte
où peuple apeure colts :
qui tirent pour leur Rien
où vrai commun prend liens
ne se faisant d’mauvais sang
paix fauve fuit descend
où paix en peuple est vive
plus d’enfer qui survive !
à réveiller le temps
le suspendre à l’instant
c’est peuple en tous ses droits
qui crée de bonnes lois
écartant qui aboie
il n’est plus aux abois :
et plus d’travail en proie
même vieillesse y croit
et nulle retraite en croix
tout un peuple le voit :
pour Tous ses droits levé
femme immigré gravésen lumière : mémoires
à ne caser en armoires :
ou pays alors évanoui
rentrera dans la nuit
sera vainqueur : monstre en guerre
qu’un rien le peine oui serre
remontant faux commun
aille “mieux vendre peuple”
aux monstres qui s’en meublent
trop tard : peuple à ses mains
reprend ce spectre neuf
va les pourrir dans l’œuf :
augures de chaos
qui veulent tuer égaux :
Rien donc n’y fera plus
même où mensonges rongent
où leur charme ne plait plus
nul peuple ne s’allonge
pour maître possesseur
d’histoire : alors défait
par tous peuples en chœur
en nul monstre refait
mais qu’en terre promise
des âmes se divisent
où d’Éden ils s’enterrent
croissant d’étoile ne s’terre :
en croyances multiples :
les reprenant ils criblent
d’histoire en liberté belle
pour État neuf appellent :
à prendre histoire : unis
mer rouge en terre aux nids
d'oubli chassé où bouge
l’exil d’Éden : sang rouge
nom que la vie ouïe sort
en État uni très fort
qu'histoire ne balaie
peuple en terre avalée
où l’olivier de paix crié
par Personne volée
croissant étoile : violence
voix pressant le silence
ne libèrera des chaînes
quand d’étoile haine sème !
Réunifier au neuf : sources
qu'en toutes ressources
État uni si riche
qu’étoile en lune ne triche !
Histoire universelle
où tous peuples ont sel
ici et maintenant
qu’en bel éveil prenant :
toutes voix les libère
de monstres qui les serrent
et que sonne en grand chœur
démos en forums sans peur
où poussent tous les monstres
qu’en race pure oui ils montrent :
tuant insultant : peuples
dont libre Humain ne s'meuble
sorti des scènes vides
en cristal de voix limpides
cet Humain oui renait:
d’énergie émané
que d'Histoire en leçon
il reprend en moisson :
blés grains et toutes graines
et l’eau de vie en chaînes
monde repris par lui
en notre pays luit :
rendant l’obscur visible
possible l’impossible
sortant des incendies
d’où l’histoire en maudit :
peuple ouvrier n’est mort
et reprend vraiment corps
au pays droits repris
ne sera par monstre pris !
Peinture : Carolina ALOTUS : ‘”Vie Corps et Fruits”
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