samedi 19 août 2023

"BANDE" de GAZA et CISJORDANIE ne sont colonies mais PEUPLE écartelé avec histoire niée : maintenant ça ne se pousse qu'au pire mais voir comment sortir du mépris et de la haine adsministrés et voir même pourquoi tant de morts et de ruines accablent ce peuple plus de Kafr kassem et autres tueries, et si ça recommence particilièrement depuis la mort voulue de RABIN : je pense qu'il est possible de refonder toute cette histoire en mettant en avant un seul Etat multi-confessionnel , multi langues avec histoire reprise aux pires empires pour le gros profit et pour leur guerre !


Conflit israélo-palestinien : 6 cartes qui montrent comment le territoire palestinien a changé au cours des dernières décennies

  • La Rédaction
  • BBC News Mundo
Tank avec le drapeau d'Israël (photo d'archive)

Crédit photo, Reuters

Plus de 70 ans après la proclamation de l'État d'Israël, les frontières de la région restent indéfinies.

Les guerres, les traités et l'occupation de territoires ont modifié la carte de ce qui était autrefois le mandat britannique de la Palestine.

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Dans ces six graphiques, nous expliquons comment son évolution s'est faite en près d'un siècle.

Carte 1 : Mandat britannique de la Palestine
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Le territoire qui allait devenir Israël a fait partie pendant des siècles de l'Empire Ottoman.

Après la Première Guerre mondiale et l'effondrement de l'empire, le territoire connu sous le nom de Palestine, dont la partie à l'ouest du Jourdain était également connu sous le nom de Terre d'Israël pour les Juifs, a été délimité et cédé par les puissances alliées victorieuses au Royaume-Uni pour son administration (peu après, avec l'appui de la Société des Nations).

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Selon les termes du mandat, les Britanniques sont chargés d'établir "un foyer national pour le peuple juif" en Palestine, à condition que cela ne porte pas atteinte aux droits civils et religieux des communautés non juives présentes.

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Carte 2 : Plan de l'ONU pour la partition de la Palestine
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La montée du nationalisme arabe palestinien, associée à la croissance rapide de la population juive de Palestine, moins nombreuse, surtout après l'avènement du nazisme dans les années 1930, a entraîné une escalade de la violence entre les deux groupes.

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Les Britanniques transfèrent le problème aux Nations unies, qui proposent en 1947 de diviser la Palestine en deux États, l'un juif et l'autre arabe, la zone de Jérusalem-Bethléem devenant une ville internationale.

Le plan est accepté par les dirigeants juifs de Palestine, mais rejeté par les Arabes.

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Carte 3 : Armistice de 1949
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Les dirigeants juifs de Palestine ont proclamé la création de l'État d'Israël le 14 mai 1948, date à laquelle le mandat britannique a pris fin, sans toutefois annoncer quelles seraient ses frontières.

Le lendemain, Israël est envahi par cinq armées arabes, ce qui marque le début de la guerre israélo-arabe, que les Israéliens appellent la guerre d'indépendance.

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Les combats se sont terminés en 1949 par une série de cessez-le-feu, produisant des lignes d'armistice le long des frontières d'Israël avec les États voisins et créant les frontières de ce qui est devenu la bande de Gaza (occupée par l'Égypte) et Jérusalem. Cisjordanie et Cisjordanie orientale (occupée par la Jordanie).

Les États arabes voisins refusent de reconnaître Israël, laissant ses frontières non établies.

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Carte 4 : après la guerre de 1967
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Le plus grand changement dans les frontières de la région s'est produit en 1967, lorsque le conflit connu sous le nom de guerre des Six Jours a amené Israël à occuper la péninsule du Sinaï, la bande de Gaza, la Cisjordanie, Jérusalem-Est et la plupart des hauts plateaux du Golan syrien, triplant ainsi la taille du territoire sous son contrôle.

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Israël a annexé Jérusalem-Est, revendiquant la totalité de la ville comme sa capitale, et les hauteurs du Golan.

Ces actions n'ont pas été reconnues par la communauté internationale, jusqu'à ce que les États-Unis changent leur position officielle sur la question sous le gouvernement de Donald Trump, devenant ainsi la première grande puissance à le faire.

À une écrasante majorité, l'opinion internationale continue de considérer Jérusalem-Est et les hauteurs du Golan comme des territoires occupés.

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Carte 5 : en 1982, après le traité de paix israélo-égyptien.
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L'une des frontières terrestres d'Israël a été officialisée pour la première fois en 1979, lorsque l'Égypte est devenue le premier pays arabe à reconnaître l'État juif.

En vertu de ce traité, la frontière entre les deux pays a été établie et Israël a retiré toutes ses forces et ses colons du Sinaï, un processus qui s'est achevé en 1982.

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Israël occupe alors la bande de Gaza, Jérusalem-Est et le plateau du Golan, dont les frontières (à l'exception de celles de l'Égypte) sont toujours délimitées par les lignes d'armistice de 1949.

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Carte 6 : Frontières actuelles d'Israël
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En 1994, la Jordanie est devenue le deuxième pays arabe à reconnaître Israël, officialisant ainsi sa longue frontière avec l'État juif.

Bien qu'il n'y ait pas encore eu de traité de paix entre Israël et le Liban, la ligne d'armistice de 1949 entre les deux pays sert de frontière nord de facto à Israël, tandis que la frontière avec la Syrie n'est toujours pas clarifiée.

De même, Israël a une frontière de facto avec Gaza depuis qu'il a retiré ses troupes et ses colons en 2005, mais l'ONU considère que Gaza et la Cisjordanie constituent une seule et même entité occupée, et les frontières officielles n'ont pas été déterminées.

Le statut et les périmètres définitifs de la Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est doivent être décidés lors de négociations entre Israël et les Palestiniens qui y vivent sous occupation israélienne, mais des décennies de pourparlers intermittents n'ont pas porté leurs fruits

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