À la rue, humiliés, déshumanisés, harcelés par la police, expulsés des squats ou des campements, ou détenus abusivement dans des Centres de rétention administrative, exilés et sans-papiers, particulièrement vulnérables aux canicules et aux aléas du dérèglement climatique, luttent pour leur survie. Dans les colonnes du Club, ils se font entendre, disent « la douleur de l’itinérance », et content les luttes pour le droit à la ville. Ce 26 août, le collectif Uni·es contre l'immigration jetable invite à une mobilisation en hommage aux sans-papiers violemment expulsés de l'église Saint-Bernard, le 23 août 1996.
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