Peinture : ERO- COREA
Le 27-08-2023
LA SAGESSE DE L'HUMAIN N'EST PAS DE SE TROUVER SANS SAVOIR ET EN PAIX FAUVE MACHINE A COLLABORER AU PIRE QUI LUI ABOIE SA GUERRE
EN FACE POUR EN FINIR AVEC L'HUMAIN ESSENTIELLEMENT !
Les vieux mots de sagesse
brillent dans le savoir
qu'ici neuf nom oui blesse
monstre masquant l'histoire
où vieux faux nom aboie
là partout pour des ruines
pour guerre aux bonnes lois
ici qui s'perd et s'avine
là-bas femmes insistent
monstre force l'humain
à guerre elles résistent
qu'ici sentie nos mains
non divisées démontrent
guerre en nous se montre
mémoire se reprend
à pauvre mythe errant :
partout même en trompe
d'éléphant oui se ruine
car peuples : il trompe
en races qu'il discrimine
où là Rien mort remonte
qu'ici donc en musique
cantique en cantique
en nous tous s'raconte
plus de débat là-dessus
vraie humanité compte
et reprend le dessus
d'où notre pays remonte
tout exil en sources devise
où le pays se divise
l' histoire en lui : sagesse
non l'humain ne s'y blesse
ici en vrai savoir
richesse du pays
qui ne peut-être haï
où l'oubli ne peut boire
plus d'Kollaboration au pire
monstre montant en guerre
où en faux droit il s'mire
en pays pris qu'il serre
pour les tuer sans mémoire ?
que disparaissent corbeaux
excités croyant voir
un renard monstre beau
aidé par eux : tyrans
qu'ils aillent errant
là bas trafiquant guerre
qu'au monstre ils se serrent
où son peuple revit
en sa colère il sévit
où monstre truque histoire
sa guerre révolte mémoires
ceux-qui portent en triomphe :
ce trafiquant oui qu'ils gonflent
pour sa guerre oui en victoire
coopérer à sa gloire ?
Ici tant d'voix se lèvent
d'excités s'enlèvent
mémoires qu'ils ne
dressent :
ces excités qui s'rabaissent
maintenant qu'elles sèment
sagesse en un neuf savoir
sortant là de la haine
plus de paix fauve à voir
où continents coopèrent
détruisant sale guerre
tous résistant vont l'voir
nul maître esclave à croire
là pour tout continent
qu'il divise et sépare
l'histoire en peuples : Néant
qu'on bombarde et gare ?
Qu'on chante ici le neuf
c'est sagesse qui brille
nulle mémoire en veuf
d'histoire : monstre l'habille
Peuple libre n'est néant
nul coup sur dos pour Rien
où ça trafique ses biens
des monstres ont céans
remonter fil de nos rêves
monstres y voient leur trève
nos mémoires l'éclatent
maintenant ils se gâtent
tapant du point « Scandale »
jouant coup permanent
non on résiste et n'avale
en nostalgie traînant
ce qui divise et tend
en savoir oui nié
pour nous mettre aux pieds
de monstre qui l'attend
pour qui on coopère
à paix fauve bêlante
qu'excxités nous serrent
eux en mort entêtante
perdus en farce d'histoire
bégayant en leurs mémoires
voix en pays les clouera
au silence où s'balaiera
vide en eux : fantômes
perdus pour mort de l'homme
qu'ils avaient fantasmé
là ruiné vie renait
dans nos pays ne crève
rêve en justes bonne lois
Plus d'excités qui aboient
Monstre meurt sans trêve
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