LES QUESTIONS DU HASARD A
L'ARBRE DU SAVOIR
La part du poème
Où s'enfuient les
effluves
Du hasard
Ne peut obvier longtemps
A celles de l'art où
s'accueillent
Les « Je t'aime »
C'est toujours la
symphonie des voix
Que souffle le grand nid
Du silence …
Et cette porte de
respiration
Ouvre-la grande
A ce bruissement …
Tout le sens de tes
questions grandira
A la belle aube qui mûrit
Sans-cesse dans
Ta passion
Que l'arbre où se
tiennent les fruits
Ne pourrira jamais dans
Le marbre froid
De l'oubli …
Tu le sais … :
Ose donc tenir le hasard
Où se saisissent
Les baisers de
Tout art !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire