UN PAYSAGE DE PARIS ET ...
LA MISÈRE ... AVANT NOËL
Dans ce ciel de platine
d'où la pluie batifole
Viennent sillonner des
mouettes folles
Le marbre noir du macadam
affrète
Dame Paris où des arbres
halètent
De poinçons d'or
qu'allument des guirlandes
Au mercure ambré sur
gouttes brillantes
Fête ! Tu accroches
les promenades !
En tête se raccrochent
les parades …
Qui pense au bateau ivre
de Misère -
Au livre des souvenirs qui
la serrent -
Pendant qu'aux châteaux
rêvent les puissants
Ouvrons la page de mémoire
en sang !
Pour qu'elle ne blesse la
belle enfance
Cessons la guerre à toute
errance
Et … Si jamais – dans
ses pauvres foyers -
Nous trouvions dans
l'étranger son allié -
Nous verrions la bohème
illuminée
Du côté de l'espoir là :
rallumé
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